Histoires Des Invités

 

Rêves BDSM

Par Yannus

 

Chapitre 1

Je suis un jeune homme de 25 ans et j'ais depuis très longtemps le fantasme de la soumission. Mais je n'ais jamais pratiqué. Ce jour là, j'ai décidé de franchir le pas. Régulièrement, je cherchais des annonces sur le net de dominatrice cherchant un soumis. En faite pendant longtemps, le seul fait de chercher une dominatrice suffisait à m'exciter. Mais au fil du temps, je ne m'en contentais plus. J'ais donc décider de répondre à l'annonce d'une domina se prénommant Jessica qui me paraissait sérieuse. Plusieurs fois par jour, je consultais ma boite mail dans l'attente d'une réponse de ma future Maîtresse. Huit jours plus tard, je recevais enfin le message tant attendu. Il était clair et concis. "Si tu es réellement motivé, viens vendredi soir au 9 rue de Boterreau à Nantes à 21h pour qu'on commence ton éducation.". J'ais très longtemps hésité avant de me présenter au rendez-vous fixée. J'étais tiraillé entre la peur et l'envie d'y aller. Et finalement, le vendredi, je me suis présenté comme convenu. La maison de Madame Jessica était une petite maison en banlieue de Nantes relativement isolée. J'étais très nerveux devant la porte ne sachant pas ce qui m'attendais de l'autre côté. Je me faisais la réflexion que j'aurais pu au moins me renseigner un peu sur la personne chez qui j'allais. Je ne savais rien d'elle. Mais j'étais bien trop excité pour que ces réflexions me fassent reculer. J'ai donc sonné à la porte. Et rien. Aucun bruit, au bout de quelques secondes, je sonne une deuxième fois, toujours rien. Au bout de quasiment une minute, je m'apprête à partir, à la fois déçus et soulagé quand j’entends des bruits de pas derrière la porte. La porte s'ouvre et je vois une femme, probablement âgée d'une quarantaine d'année, vêtue d'une combinaison en latex et de hautes bottes à talon aiguille. Elle me regarde brièvement et me dit 'Entre!' d'un air sévère puis disparait à l'intérieur de la maison. Sans trop réfléchir, j'entre également dans la maison. A peine franchi le seuil, elle vérouilla la porte à double tour et me dit sur un ton méprisant: "Alors comme ca Monsieur est impatient, il sonne deux fois, il n'hésite pas à me déranger parce qu'il a froid dehors...". Je balbutiais des explications : "Non, Je pensais que vous n'aviez pas entendu..." pas le temps de finir ma phrase qu'elle me colle une énorme gifle qui me fait tomber au sol. Elle en profite pour m'immobiliser les mains dans le dos avec la paire de menottes qui se trouvaient à porté de sa main sur la table de l'entrée. Elle me cria au visage : "Tu oses contre dire ta maitresse?". Je la regardais d'un air ahuri. J'avais déjà lu des récits sur la soumission, mais je ne m'attendais pas à une telle violence. Sur un ton un peu plus calme, elle m'expliqua les règles de la maison: "Premièrement, tu dois toujours terminer tes phrases par 'Madame' ou 'Maîtresse'. Deuxièmement, si je décide de te faire attendre, tu ne dis rien et tu attends. Et pour finir tu ne me manques jamais de respect et tu ne me contredis jamais. Comme c'est ta première fois avec moi, je ne serais pas trop sévère." Je commençais à me rassurer un peu quand j'ais entendus derrière moi des bruits de chaine et d'autres objets que Madame prenait sur la tables. Elle se retourna vers moi avec à la main, un bâillon boule, une chaine avec un cadenas et une autre paire de menotte. Je sentais déjà que la nuit serait plus longue que prévu. Avant même que j'ai le temps de réagir, elle m'enfonçait de force dans la bouche le bâillon et serrait les lanières de cuir derrière ma tête. Je ne pouvais plus émettre que quelques gémissements en guise de refus. Les bras immobilisés dans le dos, je ne pouvais rien faire. Une fois le bâillon bien en place, elle m'expliqua : "Je fais ca pour ton bien. Tant que tu n'auras pas appris à me parler avec respect, tu garderas cette accessoire". Je tentais de m'expliquer mais les sons qui sortaient de ma bouche étaient incompréhensibles, entièrement étouffés par le bâillon. Elle sourit et me dit "Ne me remercie pas. C'est normal, je suis là pour t'apprendre les bonnes manières.". Ensuite, elle me mit la deuxième paire de menotte aux chevilles et relia les deux paires de menotte par une très courte chaine ce qui m'obligeait à relever le buste et plier mes jambes en arrière. Cette position était très inconfortable, mais impossible d'émettre la moindre objection. Après avoir vérifié que je ne pouvais pas me libérer, elle me lança un "Bonne nuit!" et s'en alla en rigolant. J'ais mis quelque secondes à comprendre que je passerais la nuit là, attaché, sans pouvoir bouger avec le bâillon dans la bouche. La vision de la nuit à venir ne m'enchantait pas. Je commençais à réfléchir à ma situation. Bizarrement, ça m'excitais, mais mon excitation retomba rapidement en sentant mes membres s'engourdir rapidement. J'étais allongé à même le carrelage et je sentais le froid du sol me pénétrer jusqu'aux os. Je réalisais aussi que je n'aurais pas du avoir la négligence de me présenter sans avoir manger. Je sentais déjà mon ventre me le reprocher. Je ne parvins à m'endormir que beaucoup plus tard dans la nuit.

Chapitre 2

Dès six heures du matin, Madame Jessica vint me réveiller d'un coup de cravache sur les fesses. Heureusement, j'étais vêtu d'un jean donc je ne sentis pas grand chose. Elle devait à peine se lever car elle n'avait sur ses épaules qu'une robe de chambre transparente qui ne me cachait pas grand chose de son anatomie. Elle détacha la chaine qui m'obligeait à me tenir recroquevillé puis me détacha les chevilles. Elle m'ordonna de me lever mais je ne sentais plus mes jambes. Une nuit complète plié en deux avait anéanti mes forces. N'exécutant pas son ordre assez rapidement à son goût, elle m'assena cinq coups de cravaches dans le dos. Cette fois la douleur fut bien réelle. N'ayant qu'un tee-shirt sur les épaules, je sentis la douleur m'irradier le dos à chaque coup de cravache. Toujours bâillonné, je ne pouvais pas crier. Je réunie donc toutes mes forces pour me mettre debout afin de ne pas déclencher une nouvelle ruée de coup. Elle m'ordonna de la suivre à la salle de bain. Je la suivais donc sans rechigner, espérant être libérer et profiter d'une bonne douche bien chaude. En entrant dans la pièce, elle me détacha effectivement les mains. J'entendis le cliquetis de la clef dans les menottes avec soulagement. Mais hélas cette amélioration de ma situation ne dura pas longtemps. Elle me saisie par la main et me tira dans la cabine de douche. Là elle enleva mon tee-shirt et m'attacha les deux mains au dessus de la tête grâce à un anneau fixé dans le mur. J'étais à nouveau prisonnier des mêmes menottes. Elle défit les boutons de mon jean ce qui eu pour effet de me déclencher une érection instantanée. Elle retira mon pantalon et mon caleçon ce qui fit que je me retrouvais entièrement nu devant elle. Hormis le bâillon boule dont les lanières de cuir me lacéraient le visage, j'étais nu. A la vue de mon érection, je la vis faire la moue. Elle me regarda d'un air méprisant. "Qu'est-ce que tu crois! Tu crois que tu vas pouvoir enfoncer ta bite dans ma chatte?! Tu te prends pour qui? Je vais te calmer moi...". Elle saisit la pomme de douche et arrosa mon sexe d'un jet d'eau glacé. De l'autre main, elle leva la cravache qu'elle avait gardée à la main et me frappa au niveau du sexe à de nombreuse reprise. L'effet ne se fit pas attendre, mon érection retomba aussi vite qu'elle était venu. Madame Jessica était satisfaite et arrêta d'abattre sa cravache sur mon gland déjà tout rouge. Je gémissais de douleur et elle m'expliquait d'un ton sévère. "Tu ne bandes que quand je te l'autorise". Elle se retourna et saisie une boite derrière elle en me disant "Je vais m'occuper un peux de toi... J'ai décidé de faire de toi ma soumise... je vais donc m'atteler à faire ressortir ta féminité." A ce moment précis, je sentis une sueur glacée me couler le long du coup. Je ne pouvais pas protester, toujours réduis au silence par mon bâillon. Madame Jessica saisie un pot de cire chaude et me l'étala abondamment sur les jambes. Je sentis que j'allais passer une rude journée et qu'il faudrait dorénavant que j'évite de me mettre en short en public. Au bout d'un certain temps, elle arracha les bandes de cires (et mes poils avec) ce qui eu pour effet d'irradier mes jambes de douleurs. J'en avais les larmes aux yeux. Ma maîtresse me regarda d'un air compatissant. "Je sais ce que c'est ma chérie. Mais il faut souffrir pour être belle! Maintenant on passe au torse puis on finira par le maillot...". A l'idée de recommencer cette opération au niveau de mon torse et autour de mon pénis me glaça d'horreur. J'aurais donné n'importe quoi pour que ca s'arrête. Mais Madame Jessica avait une idée bien précise en tête et à priori, elle n'était pas prête à s'arrêter si vite. Je me demandais comment j'avais pu être assez naïf pour me laisser attacher par cette femme. Mais j'aurais encore de nombreuses occasion de me poser cette question dans mon avenir de soumise. Après plus de 3 heures d'épilation, mon corps était lisse comme un miroir. On ne pouvait plus y détecter le moindre poil. Madame Jessica, très satisfaite de son travail, régla la température de l'eau de la douche et me lava longuement en me massant doucement. Malgré toutes les tortures subies depuis la veille, à ce moment précis, je ressenti une attirance notable pour cette femme, qui toujours en robe de chambre transparente, caressait mon corps de ses mains. Forcément, l'érection tant redouté ne se fit pas attendre. Je fis tous ce que je pus pour la retenir, ayant peur de subir à nouveau un châtiment à coup de cravache mais rien n’y fit. Bizarrement, Madame Jessica ne dit rien. Je vis bien la grimace qu'elle fit en voyant mon membre se durcir, mais elle ne dit pas un mot. Je pensais qu'elle avait pitié de moi et qu'elle estimait m'avoir déjà fait suffisamment souffrir. Mais je compris plus tard qu'il n'en n’était rien. Elle termina ma toilette puis sorti de la salle de bain en me laissant toujours attaché les bras en l'air. Vingt minutes plus tard, elle réapparu, vêtu d'une mini jupe en cuir et d'un corset noir, avec de haut talon aiguille. Elle avait à la main, un accessoire constitué d'anneaux et de chaine. Je n'osais pas comprendre ce que c'était. Elle prit soin de m'expliquer : "Ceci est une ceinture de chasteté. Comme tu n’es pas capable de garder ta queue entre tes jambes, je vais t'y forcer. Je ne veux plus voir cet organe disgracieux. Je vais donc t'enfiler cet accessoire et désormais, c'est moi qui déciderais si tu a le droit de bander ou pas. Mais n'espère pas trop. J'ai d'autre projet pour toi que de te laisser t'amuser avec ta bite". Sans pouvoir protester ni bouger, je n'avais pas d'autre choix qu'accepter les désirs de ma maîtresse. Elle me saisie donc le sexe et l'enfila dans les anneaux reliées aux chaînes qu'elle attacha autour de ma taille. Elle saisissa une troisième chaîne à laquelle était relié la série d'anneaux qui emprisonnent désormais mon pénis et l'attacha aux autres chaines en la faisant passer par la raie de mes fesses. Mon sexe fut ainsi ramené en arrière entre mes jambes sans aucune liberté de mouvement. Madame Jessica, admirant mon sexe mis en cage, eu un sourire de satisfaction suivit d'un petit rire sadique. "Voila c'est beaucoup mieux comme ca. D'autant plus qu'avec la tenu que j'ais prévu pour toi, cette bosse disgracieuse entre tes jambes n'aurais pas du tout été appropriée.". Après avoir passé une bonne partie de la mâtiné à m'épiler et après avoir enfermé mon sexe dans une cage, je craignais fort d'imaginer le type de tenue que madame avait pu prévoir pour moi. Elle se retourna pour fouiller dans un placard et en sorti un petit paquet qu'elle déposa à mes pieds. Elle m'expliqua : "Je vais t'enlever ton bâillon et je vais te laisser toute seule dans la salle de bain pendant 30 minutes. Quand je reviendrais, je veux que tu te sois rasé, maquillé, et que tu es revêtu les vêtements et les accessoires qui se trouve dans ce paquet. Si tu n'es pas parfaite au moment ou je rentre, non seulement, tu retrouveras ton bâillon mais en plus, tu tâteras de ma cravache...". Aussitôt, elle saisie tous mes vêtements masculin ainsi que mon portefeuille en m'expliquant qu'elle gardera tout ca sous clef bien en sureté jusqu'à mon départ. Ensuite, elle revint, m'enleva le bâillon et détacha mes menottes. Sans mot dire, elle sorti de la salle de bain et j'entendis la clef tourner dans la serrure. Je me retrouvais seule, sans beaucoup d'autres choix que d'exécuter les ordres de Maîtresse Jessica. N'ayant plus mon portefeuille et aucun autre vêtement que ceux qu'elle m’avait fournis, je n'avais pas la possibilité de fuir. D'autant plus que la porte était verrouillée. Je défis donc le paquet avec une curiosité mêlée d'une grande crainte. Dedans, il y'avait un nécessaire de rasage, une trousse de maquillage, des bas résille noir avec un bustier porte jarretelles également noir avec des rubans rose sur le devant, un string, des faux seins, des talons aiguille noir vernis, une minijupe rose bonbons, une perruque blonde, des grandes boucles d'oreilles créoles, une bague et un lot de bracelet doré. J'étais abasourdi devant toutes ces choses. Je n'étais pas habitué à revêtir des vêtements féminins. Et je ne me sentais pas près pour ca. Mais en même temps, je me rappelais des menaces de Madame Jessica. Entre la honte de paraître ridicule et le bâillon plus la cravache, mon choix se fit rapidement. N'ayant qu'une demi heure, je me mis tout de suite à la tache. Je décidais donc de commencer par me raser au plus près. La tache fut difficile, car j'avais la mâchoire complètement bloquée par les longues heures passées avec le bâillon boule coincé dans ma bouche. Je dus me masser longuement les joues avant de retrouver la souplesse nécessaire à toutes les grimaces obligatoire d'un bon rasage. Ensuite, je mis les faux seins en tendant bien les bretelles pour me faire une belle poitrine. Ensuite ce fut le tour du bustier qui lui me donna beaucoup plus de mal. C'étais un bustier serre taille. Je commençais donc par attacher les agrafes puis terminais par le serrage des lacets. Je passais en suite le string puis tendais les bas sur mes jambes toutes douces et lisse suite à la longue séance d'épilation que je venais de subir. Je n'avais aucune idée du temps qu'il m'avait fallu pour faire tout ca. Mais je sentais que je ne serais pas dans les temps. J’enfilais la mini jupe qui laissait apparaître le haut de mes bas quand je me baissais puis m'activais donc pour commencer mon maquillage. Hélas n'ayant jamais pratiqué ca, je n'avais aucune idée de comment m'y prendre. Je trouvais dans la trousse à maquillage, une multitude de pinceau, bâton de rouge à lèvre, brosse, far à paupière, crayon et autre chose dont j'ignorais totalement l'existence quelques secondes auparavant. Je saisie le premier bâton de rouge à lèvre que je trouvais au hasard et me barbouillais les lèvres sans aucune méthode. Ensuite, je pris un far à paupière noir et l'étalais abondement au dessus de mes yeux en débordant largement. En voyant le résultat, je pris peur. J'étais horrible. Je ressemblais plus à fétide Adams qu'à une jolie poupée... A ce moment précis, j'entendis la clef tourner dans la serrure. Mon sang se glaça. Mon maquillage était immonde, je n'avais pas mis mes chaussures, ni ma perruque, ni les boucles d'oreille, les bracelets et la bague. Je n'avais même pas ma perruque. Madame Jessica s'approcha sans mot dire. Elle fit le tour de moi. Je n'osais ni bouger ni parler. Je sentais que le moindre mot de ma part ne ferait qu'aggraver la situation. Au bout d'un long examen, elle me dit nous allons faire le bilan. En défaisant le nœud des lacets de mon serre taille, elle commença : "Ton serre taille n'est pas assez serré, une punition", je l'interrompais : "Mais c'est vous qui venais de ..." Je n'eus pas le temps de finit ma phrase qu'un violent coup de cravache s'abatis sur mes fesses pour me faire taire. Elle ajouta "On dira donc une punition pour le serre taille te une punition pour t'apprendre à ne pas contredire ta Maîtresse. J'ais même envie de te remettre le bâillon pour ça. Mais on verra plus tard." A ces mots, je compris que mon intérêt était de me taire. Madame Jessica continua "Tu n'as pas mis tes escarpins, tu n'as pas ta perruque. Don deux punition de plus. Je ne vois ni tes bracelets, ni ta bague, ni tes boucles d'oreille. Mais je vais être gentille, je ne te donne qu'une punition pour ces trois oublis. ET pour finir le maquillage..." A ce moment, Madame Jessica ne put retenir un rire plus que moqueur. Elle me regarda et me dit "Ma pauvre chérie, même un aveugle ne voudrais pas de toi". A ce moment, je me regardais dans un grand miroir et me vis. Je n'étais déjà plus un homme avec mes vêtements ultra féminins, mais je n'étais pas non plus une femme avec mes cheveux court et mon maquillage qui ne ressemblaient à rien. Je me sentais vraiment ridicule et regardais ma Maîtresse d'un air suppliant. Cela ne me gênait plus de ressemblais à une femme. Tous ce que je voulais, c'étais qu'elle arrête de rire et qu'elle m'aide à ressembler à quelque chose. Voyant mon désarroi, elle s'approcha de moi et me dit "Je vais m'occuper de toi". Ce fut pour moi un soulagement. Elle me dit "Pour résumer, tu auras donc le droit à sept punitions. Mais d'abords, on va s'occuper de te rendre plus féminine et plus attirantes." Elle saisie des lingettes démaquillante et effaça toutes les traces qui souillaient mon visage. Ensuite elle m'expliqua. On va accorder ton rouge à lèvre avec ta jupe. On va te mettre ce rose bonbon puis une couche de gloss. Tu seras magnifique. Ensuite, on va te mettre un peu de poudre sur les joues pour finir de faire disparaître ta barbe et donner un peu plus de couleur à tes joues. Pour les paupières, je vais te mettre du blanc à l'intérieur pour finir par du rose vers l'extérieur. Ca sera du plus belle effet. Ensuite un coup de crayon pour souligner tes yeux et on finira par une bonne dose de mascara pour allonger tes cils. Mais avant tout cela, je vais m'occuper d'épiler tes sourcils. " Elle saisie tous le nécessaire et commença à me redessiner les sourcils en les arquant au maximum. Je préférais ne pas y penser, mais je ne pouvais m'empêcher d'être inquiet quant à la réaction des gens quand ils me verraient avec les sourcils ainsi épilé. Plus ca allait plus je me disais qu'il serait difficile de cacher cette transformation par la suite. Une fois bien épilée, elle appliqua le maquillage tel qu'elle me l’avait expliqué. "Regarde biens comment je fais car la prochaine fois, tu devras le faire toute seule. Je ne serais pas toujours là pour m'occuper de toi.", le maquillage terminée, elle me mit mes boucles d'oreille, mes bracelets et ma bague. Elle enfonça la perruque sur ma tête. Au fur et à mesure, je voyais apparaître dans le miroir une femme plutôt jolie et plutôt séduisante. J'avais du mal à croire que c'étais moi. Pour peu, je serais tombé amoureux de moi-même. Voyant mon sourire, Madame Jessica me sourit à son tour. "Voilà. Tu es beaucoup plus jolie comme ca.". Ensuite, elle sortie un vernie rouge vif qu'elle appliqua sur mes ongles. "Pour finir je vais te resserrer ton corset pour affiner ta taille, et tu n'auras plus qu'à mettre tes chaussure!". Elle se mit derrière moi et commença à serrer au maximum les lacets du corset, je senti l'étau se resserer sur moi. A tel point que j'en avais du mal à respirer. "Allez encore un petit effort, tu dois avoir la taille fine, si tu veux être jolie. Rentre le ventre." Je fis mon maximum pour rentre mon ventre pourtant déjà pas bien gros. Elle serra encore un peux plus le corset et fis un noeud. Je me sentais totalement compressé. Les baleines du corset me rentraient dans la peau. Je ne pouvais respirer que par petite bouffé. J'étais tellement serré que je ne pus même pas me pencher pour mettre mes chaussures. Ce fut donc Maitresse Jessica qui me mit mes souliers. Seule problème, les souliers étaient des escarpins fermés de pointure 41 et je faisais du 43. Je ne pensais pas pouvoir rentrer dedans. Cependant, grâce à un chausse pied et à de nombreuse contorsion de mes doigts de pied, je finis par rentrer dedans. Je crus que j'allais mourir. Entre le corset ultra serré et mes pieds prisionnés de ces chaussures beaucoup trop petite, je sentais que j'allais vivre l'enfer aujourd'hui. "Mais Madame Jessica parut fort satisfaite. Elle prit du recul et me demanda de me lever. Ce que je fis aussitôt. Sauf que n'ayant jamais marché avec des talons, ce fut très difficile pour moi de tenir droit. Elle m'en fit la remarque et me promis une séance d'entraînement pour apprendre à marcher avec des talons. Cette idée ne m'enchanta pas vraiment. "Pour parfaire ta tenue et faire de toi une vraie pute, voila une ceinture noir vernie avec une grosse boucle sur le devant et cette petite veste transparente pour couvrir tes épaules.". Cette fois ci, ma préparation vestimentaire était belle et bien terminée. Je me regardais dans un grand miroir et, effectivement, Madame Jessica avait raison. Au lieu de voir apparaître l'homme que j'étais, je vis une belle pute, blonde, ultra maquillée et ultra provocante. A ce moment j'eus vraiment honte de moi. D’autant plus que depuis quelques heures, j’avais une affreuse envie d’uriner. Ne pouvant plus guère me retenir, je me vis obligé de lui demander ou se trouvais les toilettes. Cela la fit beaucoup rire. « Tu as envie de pisser ! Très bien ca sera l’occasion de t’acquitter d ta première punition. » Elle sorti à nouveau de la pièce et revint avec un grand seau en plastique jaune. « Va-z-y ! Pisse là dedans. ». Je restais figé sur place. N’exécutant pas sont ordre assez rapidement, elle m’assenât 3 bon coups de cravache sur les fesses qui me firent réagir. Je lui dis : « Il faudrait m’enlever ma cage de chasteté pour que je puisse uriner. ». Cela déclencha une nouvelle vague de rire chez maîtresse Jessica. « Pourquoi je t’enlèverais ta cage ? Tu vas faire comme font toutes les femmes depuis des milliers d’années. Tu va te mettre accroupis. Je veux que tu te sentes femmes. D’ailleurs à partir de maintenant, tu ne répondras plus qu’au nom de Nadia. C’est ton nouveau nom. En tant que pute de luxe, tu ne pouvais pas garder ton patronyme actuel. ». Ne voulant pas recevoir une nouvelle tournée de coup de cravache, je fis ce que Madame Jessica me demandais. Je m’accroupis sur le saut et commençais à uriner. Malgré mon envie pressante, j’avais beaucoup de mal à me soulager. Je n’avais pas pour habitude d’uriner accroupis devant une femme, moi-même vêtue comme une poufiasse. Une fois terminé, elle me demanda de me relever, pris le seau et me le tandis. « Bois ». Je la regardais consterné. « Bois, c’est ta première punition ». Je me sentais totalement incapable de faire ce qu’elle me demandait. Elle m’expliqua. « C’est simple, sois tu es une gentille fille et tu bois tout de suite ce que ta maîtresse t’offre. Sois tu fais ta vilaine et tu seras à nouveau punis et bien plus violemment que tout ce que tu peux imaginer et tu finiras quand même par boire. ». Après un petit temps de réflexion, je compris que je n’avais pas le choix. Je portais donc mes lèvres maquillées au bord du seau et l’inclinais jusqu'à recevoir les premières gorgées du liquide salé. La première gorgée me donna envie de vomir. Ma gorge se révulsait. Mais je réprimais mon dégoût pour continuer à boire. A peu près à la moitié, Madame Jessica me dit que je pouvais arrêter. « Tu vois c’étais pas si terrible que ca. Ca valait pas le coup de faire tant de chichi ma p’tite Nadia ! Alors qu’est-ce qu’on dit à sa Maîtresse ?». je balbutiais un « Merci Maîtresse » bien à contre cœur.

ŠLE CERCLE BDSM 2009