Histoires Des Invités

 

Les Aventures De Coralie

Par Jujudoka

 

Chapitre 1. la rencontre.

Ce soir était un soir comme les autres pour Coralie. Elle était devant son ordinateur, elle surfait sur un site où
Elle avait pris l'habitude de se rendre lorsqu'elle se sentait seule, lorsqu’elle était un peu déprimée.
Elle papotait avec les autres internautes par le forum et le chat, ça lui redonnait un peu de courage, de tonus. Depuis la rupture avec pierre, elle s'était
Renfermée, se sentait complètement invisible et ne se sentait plus capable de plaire.
Pourtant, cette jeune fille de 22 ans était une petite brune aux yeux bleus, très bien faite, ni trop grosse, ni trop maigre, des formes là où il faut, une
Poitrine assez volumineuse, des fesses bien rondes... le type même de la silhouette d'une femme comme la plupart des hommes les aiment.
Depuis quelques temps, elle avait sympathisé avec Sylvie une autre fille du site, avec qui elle parlait par email en parallèle.
Elle ne savait pas pourquoi, mais elle avait raconté à Sylvie ses tractas, ses soucis, sa rupture difficile avec pierre,
Comme si elle la connaissait depuis toujours.
Ce soir, Sylvie parlait sans retenue et posait des questions à Coralie sur sa sexualité d'avant, d'aujourd'hui.
Et sans comprendre pourquoi, ce qui la poussait à faire cela, Coralie
Répondait sans mentir.
Au fur et à mesure de la discutions, Coralie fini par dire que ce qu'elle appréciée c'était de suivre et non de conduire le jeu de la relation sexuelle.
Sylvie ne sembla pas se troubler de ça mais n'en dit pas tellement plus.
Lorsque Coralie s'endormit, elle pensa aux questions de Sylvie et cela la troubla de plus en plus. Comment avait elle pu se confier comme cela à une femme qu'elle connaissait à peine.

Quelques jours plus tard, Coralie reçut un mail de Sylvie lui disant :

" Coucou Coralie,
Je dois pour des raisons professionnelles, me déplacer dans ta région, si cela te tente on pourrait se rencontrer et manger un morceau ensemble
Tiens-moi au courant
Bizou
Sylvie"

Coralie sourit en voyant cela et répondit immédiatement à cette invitation :

" Coucou Sylvie,
Ça sera avec plaisir que nous pourrons nous rencontrer donne moi tes disponibilités et je m'en accommoderai.
Bizou"
Coralie « 

Le rendez vous fut fixer dans un petit café restaurant, et au jour dit, Coralie, se rendit alla rencontre de Sylvie.
Lorsqu’elle rentra dans le café restaurant, Coralie chercha du regard son amie, dont elle avait eu une photo afin qu'elle puisse la reconnaître.
Elle ne la trouva pas et s'assis donc à une table libre.
Quelques minutes à peine être assise elle sentit une main sur son épaule.

«  - "Coralie?

- euh oui? Répondit-elle.

- bonjour c'est Sylvie."

Coralie se retourna et découvrit Sylvie debout derrière elle. Elle se leva et les deux femmes se dirent bonjour comme si elles se connaissaient depuis leur tendre enfance.
Elles finirent par s'asseoir l'une en face de l'autre et commandèrent à boire et à manger.
Elles dégustèrent leurs repas tout en discutant de tout et de rien.
La main de Sylvie frôla celle de Coralie, et celle ci déjà troublée d'être en face de celle à qui elle avait tout révéler d'elle, se sentit de plus en plus submerger par le trouble et l'émotion.
Le genou de Sylvie vint se glisser entre ceux de Coralie, qui la laissa faire, complètement hypnotisée par son amie.
La main de Sylvie passa sous la table et frôla la jambe de Coralie, puis la caressa à plusieurs reprises.
Les deux femmes se sourirent
Au bout de quelques moments, et après avoir bien discuté, Sylvie regarda sa montre :

" Je vais devoir y aller j'ai un rendez vous pour une réunion, mais j'espère que la prochaine fois nous pourrons nous voir plus longtemps?
demanda Sylvie en souriant.
- oui bien sur j'aimerai beaucoup. Acquiesça Coralie. « 

Sylvie se leva et embrassa Coralie. Sa main vins caressé les fesses de la jeune fille qui tressaillit mais se laissa faire.
Les deux femmes se séparèrent devant le café après avoir payer.

Après les quelques minutes de trajet qu'il fallait à Coralie pour rentrer chez elle, celle ci arriva devant sa porte.
Elle entra, se mi alaise, s'Assi et repensa à ce repas auquel elle venait de participer et où elle s'était complètement laissée engloutir par son envoutante amie.
Elle resta pendant plusieurs minutes immobile, plongée dans ses pensées les yeux perdus dans le vague comme après avoir pris un tranquillisant.
Après quelques minutes, elle sortit de son songe contemplatif et se dirigea vers son ordinateur.
Elle s'installa en face, l'alluma, et lorsqu'il fut prêt, consulta ses mails.
Ses mails apparurent au fur et à mesure, elle les parcourut rapidement. Il ne semblait pas avoir de choses importantes.
Elle s'apprêtait à fermer sa messagerie lorsqu'un mail arriva qui attira son attention.
C’était un mail de Sylvie.
Elle l'ouvrit et lu :

" Coucou ma petite Coralie,
Je t'écris car je veux te remercier de ce très agréable moment passé à tes cotés.
Et pour être tout à fait franche avec toi, je crois bien que nous sommes faites pour nous entendre. Si tu es d'accord j'aimerai que l'on puisse se revoir. Ainsi je t'invite à passer une journée chez moi pour que nous fassions plus connaissance et repasser un bon moment.
Si tu es d'accord réponds-moi, sinon je ne t'en voudrais pas.
Je t'embrasse
À bientôt
Sylvie"

Coralie resta perplexe. La proposition de Sylvie lui faisait très envie mais elle ne savait pas trop quoi faire.

"Après tout, je ne risque pas grand chose"

Coralie décida donc d'accepter la proposition de Sylvie et lui répondit favorablement.
Le rendez-vous Fu fixé au surlendemain.

Le jour dit, Coralie se prépara et monta dans un taxi pour prendre la direction de chez Sylvie.
En arrivant devant chez son amie, Coralie découvrit une maison imposante, et isolée.
Sylvie l'accueillit à la grille du parc qui entourait la maison.
Coralie suivit son amie dans la demeure.
Elles s'assirent toute deux au salon en buvant un verre puis deux et en discutant.
Elles mangèrent tranquillement puis burent un café.
Sylvie dit :

« - Nous nous distrairons après.
- oui bien sur comme tu veux. S’empressa de répondre Coralie."

Pourtant quelques minutes après Coralie commença à avoir la tête qui tournait, à ne pas se sentir bien.
Tout se troubla et tout bougea devant ses yeux, se fut le noir, elle tomba évanoui.
Chapitre 2. la prise en main.

Lorsque Coralie se réveilla, sa première impression fut celle du froid.
Elle essaya de bouger, pas moyen, elle n'y arrivait pas.
Elle sentait ses mains dans son dos mais elle n'arrivait pas à les bouger. Ses jambes, pareils comme si elles étaient comme dans un étui duquel elles ne pouvaient sortir.
Elle ne pu pas commander ses yeux non plus, le noir absolu régnait.
Elle voulu appeler, quelque chose dans sa bouche la bloqua.
Peu à peu, elle se rendit compte qu'elle était complètement attachée et ne pouvait pas faire le moindre mouvement.
Le froid qui la piqua lui révéla qu'elle était nue.
Ne pouvant faire quoi que ce soit, elle se résigna à attendre.

Après un temps qu'elle ne pu définir, Coralie entendit un bruit de clé et un pas qui descendait des escaliers.
Le pas se rapprocha, et quelque chose la frôla.
Elle frémi.

Une voix qu'elle n'osa reconnaître dit:

« Ah je vois que tu es réveillée?
Je t'avais dit qu'on se distrairait et bien voilà.
On va pouvoir passer à autre chose maintenant que je te tiens. »

Des mains saisirent fortement Coralie par les épaules, et la firent se mettre à genoux.
Une main se posa sur sa tête et elle entendit un bruit de fermeture éclair derrière celle-ci.
Elle sentit quelque chose qui glissa vers le haut et ses yeux retrouvèrent leurs capacités.
En levant ces derniers, Coralie découvrit Sylvie qui avait complètement changer de tenue.
Une combinaison intégrale de vinyle noire la recouvrait, elle portait de longs escarpins, et tenait une longue cravache souple à la main.
Sylvie tapota la joue de Coralie avec le bout de sa cravache en disant :

« Qu’est ce que tu es belle tu sais comme ça?
Je ne me lasse pas de te regarder.
Tu vas voir maintenant tu es en mon pouvoir nous allons vivre de bons moments. »

Elle s'éloigna et revint avec un collier métallique, qu'elle passa au cou de Coralie, et le referma avec un petit cadenas.

« Tu n'es plus rien maintenant; plus rien qu'à moi.  Annonça-t-elle. »

Coralie aurait voulu s'enfuir disparaître, elle se maudit de ne pas être restée chez elle.
Sylvie attacha une chaîne au collier, et libéra enfin les jambes de Coralie.

« Debout dépêche toi nous avons beaucoup à faire! S’écria-t-elle. »

Coralie hésita.
La cravache siffla et vint s'abattre sur ses fesses, ce qui lui enleva son doute immédiatement.
Elle se leva péniblement
Sylvie referma une paire de menotte sur les chevilles de Coralie, et tira sur la chaîne qui la reliait au collier en disant

« Suis-moi ! « 

Coralie t'en bien que mal suivit sa gardienne, monta l'escalier, et manqua de tomber.
En effet la chaîne des menottes était juste assez longue pour lui permettre de marcher à petit pas, et de monter les escaliers.
En arrivant en haut elle passa la porte, et se retrouva dans le jardin. Le vent qui soufflait la fit frissonner. Ce moment de déconcentration la fit tomber à genoux.
La cravache la rappela à l'ordre immédiatement.
Elle poussa un cri qui fut étouffé par la boule qu'elle avait encore dans la bouche.
Les deux femmes traversèrent le jardin et entrèrent dans la maison.
Sylvie fit descendre sa prisonnière dans un sous sol par un petit escalier.

« Voilà te voici dans ta demeure ! déclara-t-elle.
Viens ici et couche-toi là! « 

Coralie obéit tant bien que mal, et Sylvie lui attacha poignets et chevilles en croix, sur la table sur laquelle elle venait de s'allonger.
Sylvie pris sur un meuble à proximité, un nécessaire de toilette, et commença à raser et à épiler intégralement la pauvre Coralie, qui ne pouvait rien faire ou dire pour l'empêcher.
Lorsqu’elle eu fini, elle détacha sa prisonnière et la tira vers un placard d'où elle sortit une petite robe très courte, une paire de bas et des escarpins vertigineux.

« Enfile ça et dépêche-toi! Plus vite que ça. »

Coralie regarda les vêtements que lui tendait Sylvie, les pris et les enfila.

« Un vrai petite saloppe, c'est parfait. »

Sylvie rattacha les mains de Coralie dans sons dos, et la tira par la chaine toujours attaché à son collier, vers un coin de la pièce.
Elle la fit mettre à genoux, et lui enleva la boule qui bloquait toujours sa bouche.
Elle déposa devant Coralie une assiette avec de la nourriture.

«- Mange tu en as besoin, dit-elle en regardant la jeune fille.
- Mais ! Mais ! Mais ! Je ! Je ! Balbutia Coralie.
-Si tu ne mange pas, plus rien avant de min lui renvoya Sylvie.
- Mais je ne peux pas manger comme ça? Protesta la jeune fille.
- Et pourquoi pas ? répondit sévèrement Sylvie, tu n'es qu'une petite chienne, une esclave maintenant c'est ton statut et tu ne mérite pas de manger autrement alors dépêche toi. »

Accompagnant les paroles de Sylvie une paire de grands coups de cravache vinrent s'abattre sur le cul de Coralie.
La jeune femme, complètement anéanti, se plia donc à la volonté de Sylvie. Elle s'allongea, et comme elle pu, mangea le contenu de l'assiette.

« À genoux si tu as fini souillon! Cria sa gardienne.
Tu va avoir droit à un dessert. »

Sylvie s'approcha de Coralie, et d'une main vint pousser la tête de celle ci pour venir la mettre entre ses cuisses.

« Lèche maintenant! Souffla-t-elle.
Lèche ta maitresse! 
Aller exécution! »

Coralie tenta de tourner la tête, mais Sylvie l'attrapa par les cheveux et de l'autre main lui administra une paire de gifles magistrales

« Comment tu n'obéis pas? Je vais t'apprendre à obéir moi. Cracha Sylvie. »

Des larmes coulèrent des yeux de Coralie.
La min de Sylvie lui recolla la bouche sur sa vulve.
Coralie pleurant anéanti par la violence avec laquelle elle était traitée, sorti la langue et commença à lécher.
Très vite, le bassin de Sylvie commença à se balancer, son mouvement s'accélèra, et Coralie reçut un jet de plaisir de Sylvie.
Elle voulu retirer sa tête, mais la main la maintint coller.

« Nettoie moi ça petite gouine! »

Coralie se soumit donc.
La main défit son étreinte, et la lâcha.
Coralie retomba sur le sol, elle pleurait toutes les larmes de son corps.
Sylvie s'accroupit et lui caressa la joue.

« Là c'est tout c'est tout, murmura-t-elle doucement.
C’est fini.
Tu viens de passer le cap c'est normal.

Sylvie prit Coralie dans ses bras et la berça doucement. Elle approcha ses lèvres de celle de Coralie et l'embrassa tendrement.
La pauvre fille, vidée de son énergie, et ne pouvant résistée se laissa faire.
Peu à peu elle se calma, Sylvie la relâcha, et se remit debout.
Elle tira sur la chaîne du collier en disant

« Aller viens te reposer, tu en as besoin, et demain sera une rude journée pour toi. »

Coralie se leva lentement, et suivit sa kidnappeuse jusqu'à une petite cage.

« Déshabille toi ! »

Coralie s'exécuta sans chercher à comprendre, après que Sylvie lui eu détachée les mains.

« Mets toi à quatre pattes! Ordonna Sylvie.
Ne bouge plus!
Là écarte un peu les jambes!
Comme ça! C’est bien!
On ne bouge plus ! »

Sylvie s'accroupit à coté de sa prisonnière, lui passa autour de la taille une ceinture, de laquelle partait une chaîne qui passait entre ses jambes, pour remonter derrière elle en s'insérant entre ses fesses.
Elle prit deux petits godes en métal, qu'elle planta dans la chatte et l'anus de la jeune fille toujours immobile.
Coralie sursauta en poussant un cri de surprise et de douleur.
La main de Sylvie s'abattit sur la fesse gauche de la jeune fille.

« Je t'ai demandé de ne pas bouger, alors arrête. dit-elle sévèrement. »

Sylvie tendit la chaîne de la ceinture, et la bloqua avec un petit cadenas. Elle posa un autre cadenas sur la ceinture en elle même, et bâillonna Coralie qui n'osait plus bouger tellement elle était paralysée par la peur.
La jeune fille rentra dans la cage sur l'ordre de sa maîtresse, et celle ci lui rattacha les mains par des menottes.
Puis elle referma la cage à clé.
La cage était de dimension telle que Coralie ne pouvait s'y allonger complètement, ne s’y asseoir confortablement.
Elle eu du mal a trouvé une position dans laquelle elle était à peu près bien.
Sylvie sorti, éteignis la lumière, et ferma la porte à clé.
Coralie, seule attachée dans cette cage, complètement à la merci de cette femme qu'elle croyait son amie, n'arriva pas à trouver le sommeil immédiatement, mais la fatigue, les derniers évènements, eurent bien vite raison de sa résistance et elle s’endormit enfin.
Chapitre 3. l'apprentissage au quotidien.

Un bruit infernal tira Coralie de son sommeil.
Elle ouvrit les yeux et pendant une fraction de seconde se demanda où elle était.
Mais les menottes, le collier, son bâillon, et les godes qu'elle avait en elles, lui rafraîchirent aussitôt la mémoire.
Sylvie se tenait près de la cage, et tapait sur les barreaux de celle-ci à l'aide d'une règle de bois.

« Ah ça i est? Tu te réveille enfin ! »

Sylvie posa la règle, détacha Coralie et ouvrit la porte de la cage.
Elle l'en fit sortir, et la fit lever.
Elle lui passa des menottes aux chevilles, puis fixa une chaîne au collier.
Elle passa sa main entre les jambes de Coralie, et constata avec satisfaction que la jeune femme montrait des signes d'excitation.

« Petite vicieuse tu aimes ça hein?  Demanda-t-elle en la fixant en souriant.
Aller dépêche toi suis moi! »

En disant cela elle saisit la chaîne fixée au collier et entraîna Coralie vers l'escalier.
Elle la conduisit à travers la maison, jusqu'à une grande salle d'eau.
Elle lui enleva la ceinture et la chaîne qui retenait les godes, la libéra des entrave qui bloquaient ses cheville et ses poignets, la tira vers la baignoire, la fit grimper dedans après lui avoir retiré le bâillon.

« Voilà de quoi te laver, dit-elle, du champoing, du savon, une brosse à dents, du dentifrice, je mets une serviette ici, tu te nettoie minutieusement, et tu te sèche. Je reviens dans 15 minutes te chercher alors, dépêche toi. »

Sylvie sortit
Coralie se lava et se sécha donc, en pressentant bien que si elle ne faisait pas ce que lui disait Sylvie ou si elle n'était pas prête au moment où celle ci reviendrait, elle aurait de gros ennuis.
Sylvie revint bientôt.
Elle lui repassa les menottes aux chevilles et aux poignets.
Elle la tira hors de la pièce et la fit redescendre dans la pièce qu'elle lui avait indiquée comme sa demeure.
Elle la fit revenir près de l'assiette et elle lui dit.

« Aller mange petite chienne, tu dois avoir faim? »

Coralie hésita pendant une seconde mais le souvenir de la cravache effaça instantanément son doute.
Elle se pencha donc et lapa le contenu du plat que Sylvie avait posé par terre. Puis elle bu comme elle pu.
Sylvie attendit que Coralie finisse pour la relever.
Elle l'amena près de l'armoire et en sortit plusieurs vêtements.
Coralie regarda Sylvie préparer ces vêtements et la suivit jusqu'à une petite table d'examen médical.
Elle s’assit sur la table à l'ordre de Sylvie.

« Quand j'étais petite, lui dit-elle, j'ai beaucoup joué à la poupée et j'aime toujours ça. Alors comme tu es devenu la mienne, je vais un peu joué avec toi. »

Coralie lança un regard suppliant sa maîtresse d'arrêter cette humiliation.
Sylvie fixa Coralie dans les yeux et sourit.

«- Tu feras une très jolie poupée tu vas voir. Déclara Sylvie.
- Mais qu'aller vous faire de moi? S’inquiéta Coralie. »
-
La main de Sylvie s'abattit sur la joue de Coralie.

« Madame Sylvie je t'ai déjà dit. S’écria-t-elle.
- Madame Sylvie qu'allez vous faire de moi? Murmura Coralie angoissée.
- Tu verras bien sois obéissante pour le moment.lui répondit-elle simplement.
- Bien madame.dit la jeune fille d’une petite voix. »

Coralie baissa la tête.
Sylvie prit les vêtements qu'elle avait préparé, et les enfilas à Coralie.
Bientôt celle ci se retrouva en string bas et robe très courte avec un décolleté très provoquant.
Puis Sylvie lui mit aux pieds des escarpins, avec un talon de 10 centimètre environs.

« Ne bouge pas je reviens. »

Elle revint vite avec une trousse de maquillage, et décora le visage de Coralie.
Enfin elle la coiffa, et se recula pour admirer son œuvre.

« Humm tu sais que je t'aime comme ça?
Une vraie petite catin. »

Sylvie relia les mains de Coralie avec une chaîne qui passait dans un anneau au niveau de sa taille, lui permettant de faire des mouvements, mais en l'empêchant d'écarter les bras plu que la largeur de ses épaules.

« Aller debout petite pouf, tu as du pain sur la planche! Commanda-t-elle. »

Coralie se leva.
Sylvie lui passa un petit tablier et la tira vers l'escalier.
Arrivé au ré de chaussée, elle l'emmena dans une petite pièce et lui dit en montrant une armoire un peu plus loin.

«- Je veux que tu fasses le ménage complètement et que tu prépare à manger pour ce midi.
Tout ce que tu peux avoir besoin se trouve là.
Je suis dans mon bureau je t'ai à l'œil.
Gare à toi si tu fais une erreur.
C’est bien compris? »
- Oui acquiesça Coralie. »

Une paire de claque s'abattit sur les joues de Coralie

« - Oui qui connasse? Gronda Sylvie.
- Oui madame Sylvie. Chuchota la jeune fille apeurée.
- Ah! Quand même! Aller file! Grommela Sylvie. »

Coralie s'éloigna et commença ses travaux.
La matinée passa assez vite.
Sylvie vint jeter un coup d'œil sur sa jeune soubrette.
Lorsque Sylvie vint vers 11 heures, Coralie finissait ses travaux.

«- Voila la fiche qui te donnera les instructions pour le repas de ce midi. Annonça-t-elle
- Bien madame. Répondit Coralie. »

Coralie prépara le repas de Sylvie et lui apporta après avoir mis le couvert.
Sylvie la fis se mettre à quatre pattes à coté d'elle le temps de déguster son déjeuner, puis la fis redescendre.

« Je dois sortir cette après midi, annonça-t-elle,
Alors tu resteras là. »

Sylvie enleva la chaine qui reliait les poignets de Coralie et la remplaça par une chaîne beaucoup plus courte.
Elle lui fit enlever les escarpins qu'elle portait aux pieds, la tira au milieu de la pièce et lui attacha cette chaîne à un crochet pendu à une corde descendant du plafond.
Après avoir hotté les menottes qui lui emprisonnait les pieds, elle lui fit écarter les jambes, et lui attacha les chevilles à une barre qui obligea la pauvre Coralie à garder les cuisses largement écartées.
Elle lui mit un bâillon bien solide dans la bouche, puis lui posa sur le nez, une paire de lunettes possédant des verres un peu brouillés à travers desquels la jeune fille ne distinguait plus bien les choses devant elle.
Elle compléta l'équipement de Coralie en lui retirant le string et le remplaçant par la ceinture qu'elle avait dû porter la nuit précédente.
Elle augmenta le diamètre des godes qu'elle enfourna dans le vagin et l'anus de son esclave.

Coralie hurla de douleur lorsque le gode lui transperça sa fleur annale, mais le bâillon étouffa totalement son cri.
Enfin, Sylvie, après avoir fixé la chaine pour assurer la bonne fixation des godes, appuya sur un interrupteur.
Coralie senti ses mains monter, et elle se retrouva bientôt pratiquement suspendu par les poignets, n'ayant plus que le bout des pieds qui touchaient le sol.
Sylvie se recula et contempla la jeune fille.

« Il manque quelque chose? Dit-elle pensive.
Ah oui je sais! »

Sylvie alla chercher une paire de pince métallique, et passant la min dans la robe de Coralie, vint lui fixer sur les tétons.
Coralie eu l'impression qu'on lui arrachait la poitrine, et mordit son bâillon de plus belle.
Sylvie lui tapota les fesses avec une expression de contentement.

« Je m'en vais à toute à l'heure petite poupée. »

Sylvie appuya sur un bouton avant de sortir, et referma la porte derrière elle.
Un carré lumineux se dessina devant la figure de la jeune fille, et des formes étranges comencèrent a défilaient en se fondant entre elles devant les yeux de Coralie.
Au fur et à mesure les yeux de la jeune femme se troublèrent les formes flottant devant sa tête apparaissant et se fondant dans l'obscurité et la lumière du carré en étant amplifiées par les verres des lunettes.
Coralie resta donc ainsi à moitié suspendue, ne pouvant plus faire le moindre geste.
L’étirement qu'elle subissait lui était difficilement supportable.
Elle sentait ses entrailles comme déchirée par les deux objets qui la remplissaient.

Lorsque Sylvie revint, après une durée que Coralie ne put définir, elle fit disparaître le carré lumineux, enleva les lunettes de la jeune fille qui lui déformaient la vue.
Sylvie était revêtue d'un ensemble de latex et tenait sa cravache à la main.

Elle lui enleva les pinces des seins ce qui fit gémir de plus belles la pauvre jeune fille.
Elle appuya sur l'interrupteur après avoir longuement regardé sa jeune esclave qui la suppliait du regard.

Lentement la corde se détendit et Coralie retrouva pied sur le sol.
Sylvie la détacha de la corde et de la barre.
Coralie tomba à genoux.
Sylvie lui caressa les cheveux.
Elle lui rattacha les mains et les chevilles, puis la fit remonter à la cuisine.
Coralie dut préparer le repas pour sa maîtresse, comme le midi, mais au lieu de devoir se mettre aux pieds de Sylvie celle ci, lui ordonna de s'allongé sur la table.
Coralie se retrouva donc couchée sur le dos, sur la table, à coté de l'assiette de Sylvie.
Celle ci lui relia les pieds avec une barre rigide de fer, de sorte que la jeune fille ne pu pas serrer les jambes, puis lui attacha les poignets en passant sous ses genoux
Les trous de Coralie furent donc exposés complètement à la vue de Sylvie.

« Je souhaite dîner aux chandelles, mais je n'ai pas de chandeliers c'est donc toi qui va jouer ce rôle, dit Sylvie en riant. »

En disant cela, Sylvie planta profondément dans le cul et la chatte de Coralie deux bougies de cire rouge.
Coralie poussa un petit cri.

« Oh arrête un peu tes trous sont encore dilatées ça rentre tout seul!  Grommela Sylvie agacée.»

Sylvie alluma les bougies et commença à manger.

Au bout de quelques instants, Coralie sentit la bougie qui commençait à fondre, puis les premières gouttes de cire tombèrent sur ses lèvres et coulèrent sur son corps.

Elle aurait voulu s'enfuir, retirer ses bougies qui la brulait et lui infligeait la plus terrible des torture.

Sylvie la regardait se tortiller vainement.

« Arrête un peu, lui ordonna-t-elle, tu va tomber!  Lui»

Après quelques minutes les bougies avaient coulées abondamment sur la fente, le cul, le pubis, de Coralie.
Sylvie détacha sa prisonnière, après avoir fini son repas, et la fit redescendre dans sa demeure, après que Coralie eu débarrassé le couvert.
Arrivée en bas, Sylvie passa sa main entre les cuisses de Coralie.

« Mais tu mouille ma cochonne! S’amusa-t-elle.
Pour ta peine, interdiction de te laver avant demain matin. »

Sylvie lui remit la ceinture avec les godes puis verrouilla le tout avec un cadenas.
Elle la tira dans le coin où se trouvait la gamelle, et fit manger Coralie comme le matin.
Lorsque celle ci eu fini, elle l'emmena devant sa cage et la fit se déshabiller avant de l'enfermer.

« Dors tu en as besoin. Lui dit-elle doucement»

Coralie, épuisée par ses travaux, ses postures inconfortables tenues pendant un temps interminable, ses brulures, s'endormit immédiatement.

Le lendemain Coralie se réveilla et Sylvie vin la chercher peu après.
Comme la veille elle dut manger et aller se laver.
La cire avait complètement durci pendant la nuit, et Coralie eu énormément de mal à décoller la pellicule qui s'était formé, sans se faire mal.

Sous la conduite de Sylvie, elle redescendit dans la pièce à vivre, celle ci l'habilla comme si elle était une poupée, et elle dut recommencer ses tâches ménagères.

Les jours passèrent et Coralie dut apprendre son rôle de soumise.
Chaque matin était consacré au tâche ménagère et l'après midi, Sylvie lui appris toutes les postures à adopter, la façon de se comporter en présence et en l'absence de sa maîtresse et de personne invitée.
Peu à peu Coralie s'habitua à sa vie nouvelle et pris presque goût à cela.

Mais un jour que Sylvie vint jeter un coup d'œil sur sa soubrette qui faisait le ménage, elle la trouva en train de se toucher et de se masturber.
Elle repartit sans bruit et sans que Coralie ne la voit.

Une fois que Coralie eu fini et que Sylvie eu déjeuné, les deux femmes descendirent dans la pièce qui servait de donjon à Sylvie et de salle de vie à Coralie.

« Déshabille toi! »

Sylvie avait un ton plus dur que d'habitude.

Coralie s'exécuta.

« Mains dans le dos!  Ordonna-t-elle.»

Sylvie passa une longue gaine de cuir qui recouvrit et enveloppa les deux bras de Coralie et les immobilisa dans le dos.
Puis elle la bâillonna et lui fixa un masque de latex sur les yeux.

« Allonge toi ici sur le dos allez dépêche toi!  S’écria-t-elle impatiemment.»

Coralie s'agenouilla se demandant ce que Sylvie allait encore inventer pour l'humilié, puis s'allongea.

« Lève tes jambes! Commandât-elle. »

Coralie obéis et Sylvie lui passa une autre gaine de cuir lui immobilisant également les jambes.
Sylvie prit des menottes qu'elle passa aux chevilles de Coralie puis fis descendre la corde du plafond.
Elle fixa la corde sur la chaîne de la menotte et appuya sur l'interrupteur.

Immédiatement Coralie sentit ses pieds monter, sans pouvoir s'arrêter.
Elle sentit son bassin faire de même, et bientôt se retrouva complètement suspendu la tête en bas.

La tête à environs 50 centimètres du sol, elle ne pouvait plus bouger ni échapper à sa maîtresse.

« Alors comme ça on se tripote sans me demander la permission? Demanda Sylvie d’un air cynique. »

Coralie compris soudain qu'elle avait été prise sur le fait, et devina qu'elle allait regretter amèrement d'avoir faibli.
Le silence qui régnait maintenant ne lui annonçait rien de bon.

Un sifflement, et une horrible douleur à la fesse' gauche qui irradia de plus en plus, fit savoir à la jeune fille qu'elle venait de recevoir un grand coup de la part de Sylvie.
Soudain c'est sa fesse droite qui commença elle aussi à bruler.
Elle mordit son bâillon pour ne pas hurler de douleur.
Les coups se furent réguliers, tantôt très lourd et brutaux, tant léger et piquant.
Les chocs firent osciller le corps de la jeune fille qui se balança sans pouvoir échapper aux morsures des coups.
Elle se tortilla de douleur et serra le plus possible son bâillon mais ne put s'empêcher de pousser de petits cris plaintifs.
Sans pouvoir se contrôler elle tournait sur elle même ce qui n'aidait pas la jeune fille.
Les coups ne se localisaient plus maintenant que sur ses fesses mais sur son dos ses épaules, ses hanches, puis son ventre, ses seins.
Coralie pleurait maintenant comme jamais elle n'avait pleuré.
Tout son corps la brûlait, elle sentait les zébrures et les marques que les coups lui avaient laissé, lézarder son corps.
Au bout d'un long moment la pluie de coups s'arrêta enfin.
On entendait plu que la pauvre jeune fille qui pleurait à chaud de larmes.
Sylvie saisit les godes de métal et les enfoui dans la vulve et l'anus de Coralie.
Celle ci ne pu résister.

« Là comme ça  tu ne pourras plus te toucher petite saloppe! Hurla-t-elle.
Si tu veux aller la toilette tu devras avoir mon autorisation! »

Sylvie fis redescendre sa prisonnière, la détacha et fixa la ceinture afin de bloquer les gode dans la chatte et le cul de Coralie.
Elle lui enleva son bâillon et le masque.
Elle garda le silence jusqu'à ce que Coralie se fût enfin arrêtée de pleurer.

«- Maintenant j'espère que tu as compris? demanda-t-elle avec un air plus doux. 
- Oui madame renifla Coralie.
- Bien je crois que là tu ne peux t'en prendre qu'à toi même n'est ce pas?
- Oui madame c'est vrai c'est de ma faute je n'aurais pas du sans vous demander la permission.
- Tu va passer le balai ici! Aller file! Ordonna Sylvie en souriant d’un air étrange. »

Coralie recula lentement et remonta rechercher son balai.
Les marques des coups la mordaient profondément, sons corps bouillait comme si elle sortait d'un bain bouillant.
Soudain alors qu'elle revenait le balai à la main, elle se contracta violemment.
Les godes vibraient en elle.
Elle dut s'appuyer contre le mur.
Elle reparti mais dut s'immobiliser une fois encore l'excitation qui montait en elle prenait le dessus sur sa douleur.
Elle gémi. Les mouvements s'arrêtèrent.
Elle repartit avec difficultés.
Lorsqu’el arriva dans la pièce, Sylvie était assise dans un fauteuil

«- Et bien tu en as mis du temps? Demanda Sylvie.
- Je m'excuse madame mais… bredouilla Coralie.
- Il n'y a pas de mais dépêche toi souillon! Répondit Sylvie. »

Coralie commença à balayer. Les vibrations recommencèrent et se furent de plus en plus pressantes

« -Qu’est ce que tu as? S’enquit Sylvie.
- Madame…. Articula la jeune fille. »

Coralie ne pu parler plus longtemps, elle tomba à genoux tellement le plaisir montait en elle avec une vitesse sidérante.

Elle parvint à articuler

«- Oh madame sil vous plait faite moi jouir faites moi jouir je vous en supplie!
- Ah! Ah! Tu jouiras quand j'en aurai envie! S’esclaffa Sylvie.
Tu oubli que tu m'appartiens et que tu ne décide de rien!
- Oh madame je vous en supplie! Blêmit Coralie.
Vous me contrôler! Je le sais! Je! Je! Je! »

Coralie ne put parler plu, le spasme lui ôtant toute capacité d'articuler
Après quelques secondes, Sylvie fit un mouvement, Coralie se contracta et dans un grognement joui violemment.
Après quelques instants, Coralie repris difficilement ses esprit, tellement l'orgasme qui venait de la parcourir avait été violent.
Sylvie regarda Coralie

« Alors qu’as-tu à dire? demanda-t-elle.
- Euh! Merci madame de m'avoir permis de jouir. Répondit Coralie encore sous le coup du choc émotionnel.
Pff c'et tout? Tu va devoir apprendre à t'appliquer si tu veux que je sois satisfaite. Soupira Sylvie.
À quatre pattes maintenant! Fini de rire! »

Coralie obéit.
Sylvie attacha une laisse au collier de Coralie en disant

« Je veux que pour l'après midi tu sois une vraie chienne obéissante, soumise, et disciplinée. Lui dit-elle.
- Bien madame. Vous faites ce que vous voulez de moi. Répondit Coralie.

Une grande claque s'abattit sur la joue de Coralie

« Les chiens ne parlent pas? Enfin je n'en né jamais entendu, alors si tu veux parler tu abois comme un chien! Compris ? s’exclama Sylvie. »

Coralie regarda Sylvie interdite.
Et fini par dire timidement

«- Ouf ! Ouf !
- Comment je ne t'entends pas?
- Ouf! Ouf! Ouf! »

Coralie jappa comme un chien, aussi fort qu'elle le pu.
Elle se senti plus ridicule que jamais.
Sylvie la promena dans la pièce, s'arrêtant de temps en temps, puis repartant.
Les poignets et les genoux de la pauvre fille rougissaient déjà à force de heurter le sol dur de la pièce.
Après quelques minutes Coralie se laissa prendre au jeu et lorsque Sylvie s'arrêta elle lui lécha la main.
Sylvie sourit

« Là brave chienne c'est bien.
Tu as mérité de pouvoir te détendre, on va aller jouer dans le jardin. »

Coralie en entendant cela reçu comme un coup de marteau sur le crâne.
L’idée d'être à l'extérieur et de pouvoir être vu, l'effrayait totalement.
Mais Sylvie ne lui donna pas le choix, et l'entraina vers l'escalier, lui fit monter, et toute deux traversèrent la pièce et sortirent.
Sylvie détacha la laisse du collier, et imprima une claque sur le postérieur de Coralie en disant.

« Aller va jouer! Aller file! »

Coralie s'éloigna de quelques mètres. Les bruns d'herbe lui piquaient les jambes et les mains.
Sylvie alla s'asseoir dans un fauteuil et après quelques minutes elle siffla.
Coralie devina qu'elle avait intérêt à rejoindre sa maîtresse sous peine de sanction immédiate.
Lorsqu’elle arriva aux pieds de Sylvie, elle lui lécha les chaussures délicatement.
Ce comportement fit sourire Sylvie
Elle lui flatta la tête.

« Là brave fille c'est bien! Félicita Sylvie.

« Ouf! Ouf! Ouf!  Jappa-t-elle.»

Le jeu continua comme ça pendant quelques minutes.
Sylvie laissait la jeune fille s'éloignait, et Coralie revenait auprès d'elle lorsque celle-ci la sifflait.
Les godes qui étaient en elle, en bougeant, à cause des chocs provoqués par la marche sautillante de la jeune fille, travaillaient sa chatte et son anus et la faisaient souffrir.
Après avoir rattaché Coralie à sa laisse, Sylvie rentra dans la maison et fit redescendre Coralie.
Elle lui apporta une gamelle d'eau que Coralie bu sans hésiter.

Les jours continuèrent à passer. Coralie poursuivit sans tellement sans rendre compte, son apprentissage de soumise se pliant parfois de gré, et parfois de force aux jeux de Sylvie.

Un soir Sylvie sonna la petite cloche qui indiquait à Coralie qu'elle devait être au garde à vous devant elle.
Coralie arriva immédiatement, se mit à genoux, cuisses légèrement écartées, mains sur la tête, cambrant les reins et bombant la poitrine puis baissa la tête, comme elle l'avait appris.

«- Ma petite poupée, lui dit Sylvie, tu vois, au début tu ne voulais pas, tu ne savais pas, et maintenant te voilà complètement soumise.
- Oui madame. C’est vrai, je suis à vous, et je vous obéis, vos désirs sont des ordres. Répondit Coralie docilement…
- Mais ton éducation n'est pas complète, précisa Sylvie, mais ne t'inquiète pas je vais remédier à cela. Maintenant file! "

Coralie se prosterna et déposa un baisé sur les pieds de Sylvie avant de reculer lentement et de sortir de la pièce.
Elle descendit dans la pièce qui lui servait de chambre.
Elle vérifia son épilation avec précision, se rafraîchit à un petit lavabo.
Sylvie la rejoignit et la fit se déshabiller
Coralie regarda Sylvie, hésitante, mais celle-ci ne réagissant pas, elle n'osa pas protester.
Celle ci la fit entrer dans sa cage pour la nuit.

Le lendemain, Sylvie vint délivrer Coralie et l'envoya faire sa toilette.

Lorsque Coralie redescendit, Sylvie lui remit sa ceinture ainsi que les godes, qu'elle verrouilla au cadenas.

Sylvie la fit manger comme à l'accoutumé dans la gamelle.
Une fois fini, elle lui attacha une clochette au collier qu'elle portait autour du cou, et la tira à l'extérieur.
la jeune fille eu bientot l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds, et suivit Sylvie en titubant.
Cette dernière ouvrit le coffre d'une voiture garée devant le perron de la maison.
Coralie sentit ses jambes s'écrouler ne soutenant plus son corps, et s'éffondra dans la voiture, inconsciente.Chapitre 4. séjour éducatif.


La voiture roulait depuis maintenant un long moment.
Coralie enfermé dans sa boîte réfléchissait à ce qu'elle était devenue en quelques semaines. Alors qu'elle avait était jusqu'à ce qu'elle rencontre Sylvie, une jeune fille jolie, appréciée, et même si elle avait était seule, elle avait était libre,
Maintenant, elle obéissait à une femme, dont elle devait se l'avouer, dont la beauté la subjuguait. Elle était devenue une femme objet, une bonne à tout faire.
Son esprit, son corps obéissaient pratiquement mécaniquement aux volontés de Sylvie.
Pendant qu'elle analysait les évènements de sa vie, la voiture s'arrêta, et le moteur fut coupé.
Elle entendit la portière claquer, puis le silence.
Après un moment, le coffre s'ouvrit, et Sylvie apparut.
La nuit était tombée, et La jeune fille pu sortir de sa prison, à l'ordre de Sylvie.
Elle se dirigea vers la maison, monta le perron et entra.
Coralie observa les alentours, l’endroit ressemblait à une grande propriété. Un grand bâtiment semblait être la maison principale, des bâtiments se dressaient un peu plus loin, mais il faisait trop sombre pour qu'elle puisse discerner leurs formes.
Sylvie sortit de la maison et rejoignit Coralie.

« Aller viens je t'amène à ta chambre. Annonça-t-elle. »

Sylvie accrocha une corde au collier de Coralie et l'entraina vers les bâtiments se dressant au bout d'une allée.
Elle s'arrêta devant une lourde porte de bois, l'ouvrit, et poussa Coralie à l'intérieur. Après avoir marché pendant quelques secondes, elle ouvrit une grille et fit entrer Coralie dans une cage, puis la verrouilla à l'aide d'un cadenas, et ressortit.
Coralie entendit du bruit non loin d'elle. Elle essaya de percer l'obscurité et parvint à discerner des formes humaines dans d’autres cages.
Coralie finit par s'endormir.

Elle fut réveillée en sursaut par un coup de sifflet.
Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle vit une femme vêtue de cuir une cravache à la main.

« Allé réveiller vous bandes de fainéantes! Aller on se dépêche! Hurlait-elle. »

La femme ouvrit toutes les cages à l'exception de celle de Coralie.
Au fur et à mesure de la progression de cette femme , des jeunes filles la tête et le corps criblés et enserrés de lanières de cuir formant sur ceux-ci un enchevêtrement compliqué d'arabesques se coupant et s'entrecoupant à plusieurs reprises, et les pieds vraisemblablement enfermés dans de lourd cônes rigides, en sortirent et partirent en trottinant.
La femme leur appliqua un bon coup de cravache à leur passage.

Elle sortit enfin sans un regard pour Coralie.

Après quelques minutes, Sylvie entra, libéra Coralie, et la fit sortir par l'extrémité opposé à celle par laquelle elles étaient arrivées la veille.
Le vent frais donna des frissons à la jeune fille.

Sylvie conduisit Coralie à la femme qui était entré dans le bâtiment où avait dormi la jeune fille.

La femme examina Coralie minutieusement.

«- Elle est en parfaite santé apparemment! C’est bien! Apprécia-t-elle.
Mais je vois qu'elle n'est pas immatriculée?
- Non je n'ai pas eu le temps encore. Répondit Sylvie, c'est encore tout récent.
- Oui mais tu sais que si tu as un contrôle tu risque gros? Demanda la femme.
- Oui je sais. Acquiesça sylvie.
- Nous allons le faire ce matin même comme ça tu n'auras pas à te soucier de ça. Déclara la femme en souriant.
-Ok ça marche je te laisse faire ma chère. »

Sylvie se tourna vers Coralie.

« -Ma petite Coralie, dit-elle, je te laisse dans les mains de mon amie Diane, que tu devras considérer comme ta maîtresse également.
- Bien madame. Répondit Coralie en baissant la tête.
- Tu verras elle fera quelque chose de toi! Je lui fais confiance! »

Sylvie donna la chaîne à son amie qui la saisit et entraîna Coralie vers une aile du bâtiment qui ressemblait plus à une étable.
Elle tira la jeune fille jusque dans une pièce qui sentait l'hétère et le désinfectant.
Elle la délivra des ceintures, et entraves qui décoraient le corps nu de la jeune fille, et la fit allonger sur une table médicale.
Elle lui attacha les poignets au dessus de la tête et les chevilles de part et d'autre de la table.
Coralie vit la femme s'éloigner, puis revenir près d'elle, et lui appliquer une grande compresse sur le nez et la bouche.
Coralie tenta de fuir de ce paquet odorant qui lui emprisonnait le nez, la gorge, et qui gagnait progressivement sa poitrine, mais elle ne pu résister longtemps et perdit conscience après quelques secondes.
Lorsqu'elle se réveilla, la tête lui tourna un peu, et la jeune fille ne se rendit pas compte de ce qui s'était passé.
Les éléments se remirent petit à petit à leur place dans sa tête, et elle gémit en sentant son épaule la brûler affreusement. Elle tenta de bouger, mais réalisa qu'elle était toujours immobilisée dans la même position, et que ces efforts seraient vains.
La femme apparut bientôt auprès d'elle, la délivra, la fit se relever, et l'équipa de la même façon que les jeunes filles que Coralie avait vu sortir le matin même de là où elle avait du passer la nuit.
Coralie fut bientôt enfermé dans une toile complexe de lanière de cuir qui lui enserraient la tête, descendaient sur les tempes et sur le nez, dessinaient des escarboucles sur ces joues, entouraient ses oreilles et sont menton, tombaient sur ses épaules, se fixaient sur d'autres boucles, qui maintenaient ses épaules vers l'arrière, rehaussaient ses seins, quadrillaient ses flancs, son ventre et son dos, l'obligeant à rester droite, et agrippaient sa taille pour plonger dans ses entrejambes, s'insinuer entre ses lèvres intimes, et remonter entre ses fesses pour gravir son dos.
Elle avait la bouche obstruée par une épaisse barre métallique, qui la contraignait à saliver abondamment, ne pouvant avaler correctement ses sécrétions buccales.
De part et d'autre de ses yeux, se trouvaient des plaques métalliques qui empêchaient Coralie de voir sur les côtés, et qui pouvaient se rabattre complètement sur ses yeux, l'aveuglant de ce fait intégralement.
La femme vérifia le serrage de chaque lanière afin de s'assurer que le corps de la jeune fille ne pourrait se soustraire à ce harnais compliqué.
Elle lui enferma les tibias, et les pieds, dans d'étranges tube rigide de forme conique, qui obligèrent Coralie à rester sur la pointe des pieds, et a marché maladroitement.
Ainsi commença le séjour de Coralie, elle apprit pendant trois jours les travaux d'un poney girl, en compagnie d'autres jeunes filles équipée de façon identique.
Après ces trois jours, Diane lui enleva les cônes et le harnais, pour lui faire enfiler une épaisse combinaison de fourrure, qui obligea la jeune fille à se tenir à quatre pattes. Puis elle lui fit desserrer les dents pour lui enfiler un appareil simulant la dentition d'un chien, et qui était montait sur un lourd masc. lui aussi recouvert de fourrure.
Coralie sentit bientôt un épais repli de la combinaison se refermer sur sa tête, la cloitrant intégralement dans cette combinaison. El sentit que des mains repliaient et bloquait la fente de la combinaison sur ces lèvres intimes, lui permettant si elle en sentait le besoin, de se soulager.
Le masc. possédait deux lentilles translucides, à travers lesquelles Coralie voyait son environnement en noir et blanc, de façon floue, ce qui lui procura un sentiment troublant, qui lui fit perdre ces repères.
La combinaison qu'elle portait donc à présent étant épaisse et hermétique, Coralie commença à sentir la chaleur l'envahir, et frissonna lorsque la transpiration commença à perler sur son corps.
Bientôt elle haleta pour tenter de trouver un PE d'air, sa poitrine sursautant convulsivement sous la chaleur qui la submergeait.
Un collier de cuir épais lui fut passé au cou, et elle dû suivre sa maîtresse, qui la tirait par la laisse fixé au collier.
Elle fut emmenée dans une grande cage, où elle se retrouva face semblait-il à d'autre jeunes filles, recouvertes elle aussi, d'autres combinaison.
Durant les jours qui suivirent, Coralie dû jouer le rôle, d'une petite chienne de compagnie, et apprendre toutes les règles et les obligations qui découlaient de ce statut.

Lorsqu'elle pu retirer sa combinaison après une semaine, elle n'eût pas le temps de se reposer, car elle fut rééquipé par un harnais compliqué du même type que celui qu'elle avait dû porter précédemment, à la différence, que celui qu'elle portait laisser ses seins libre et qu'elle devait se tenir à quatre pattes.
Elle fut conduite dans une petite pièce, et y fut attaché à un anneau celé au mur.
Le sol de la pièce était recouvert de paille, ce qui diminuait les chocs de ses genoux, et lui évitaient des douleurs insupportables.
Elle attendit plusieurs heures, immobile, ne pouvant faire le moindre geste, seule, l'esprit complètement anéantie de toute résistance qu'elle aurait pu encore posséder en arrivant dans ce domaine.
Elle comprit pourquoi sa poitrine était libre, lorsque Diane vint la voir quelques heures plus tard.
Celle-ci s'accroupit au coté de Coralie, et lui caressa les seins du bout des doigts.
La jeune fille frémit, en sentant sa peau parcourut ainsi.
Diane vint placer sur chacun des tétons un petit tube, relié à une machine, et appuya sur un bouton.
Aussitôt Coralie sentit ses tétons se durcir malgré elle, et grandir, et enfler.
Elle gémit en sentant sa poitrine aspirée dans ces tubes, et les plaintes remplacèrent les gémissements.
Les larmes vinrent bientôt rejoindre les cris de la jeune fille.

" Il faut te traire ma fille, tu as des mamelles de vache tu sais? s'exclama Diane."

Lorsque elle arrêta la machine, et qu'elle retira les tube de la poitrine de la jeune fille, les tétons, restèrent pendant plusieurs minutes ainsi, violacés, étirés, et très sensibles.
Diane sortit laissant seule Coralie, encore larmoyante du traitement qu'elle venait de subir.
Les jours suivants, Coralie se fit traire de la même façon deux fois par jours.

Au soir de la quatrième journée, après le même traitement, Diane fit enlever le harnais que portait Coralie, et la laissa inerte, sur le sol, trop fatigué pour réagir.


Le lendemain, Diane vin la chercher mais ne lui remit pas son harnais.
Elle la fit sortir du box, et la conduisit dans une petite salle.
Elle lui passa des sangles qui tombaient du plafond, et qui lui interdirent bientôt tout mouvement.

Elle enfonça ensuite une grosse boule de latex dans la bouche de Coralie.
Celle ci cru étouffer tellement la boule était enfoncée profondément.

Coralie vit Diane s'éloigner et revenir avec une seringue à la main.
Elle la regarda affolée

« Ne t'inquiète pas ma jolie, tu va voir ça n'est pas grand chose.dit Diane en souriant lugubrement. »

Coralie essaya de reculer, mais les sangles l'empêchèrent d'éviter ce qui l'attendait.
La jeune fille sentit l'aiguille s'enfoncer dans sa cuisse droite et tomba endormie quelques secondes après.
Son corps bascula en avant, et tomba lentement, ralenti par les sangles, et enfin se posa sur le sol.
Chapitre 5. transformations, et retour en enfance.

Lorsque Coralie se réveilla elle ressenti immédiatement une vive douleur sur le bout de ses seins, et entre ses jambes.
Elle ne pu pas bouger.
Elle tourna la tête et se rendit compte qu'elle était dans une petite pièce où en son centre se trouvait une table sur laquelle elle était t allongée.
Elle constata que la pièce n'était pas celle dans laquelle Diane l'avait conduit juste avant que celle ci la pique et que Coralie ne s'endorme.
Ne pouvant pas faire le moindre mouvement, elle attendit donc patiemment.
Le temps passa sans que personne ne vienne. La douleur était de plus en plus présente et intense au fur et à mesure que son corps se réveillait.
Elle finit par sentir des larmes couler le long de ses joues.
Elle pleura de plus en plus fort.
La porte s'ouvrit soudain et Diane et Sylvie entrèrent.
Les deux femmes s'approchèrent et Sylvie caressa la joue de Coralie en essuyant les larmes qui coulaient encore.

«- Et bien et bien ma belle ! Pourquoi pleures-tu encore?  Demanda Sylvie.
- Mais que m'est il arrivée madame s'il vous plait expliquez moi. J’ai mal j'ai mal. Sanglota Coralie.
- Ça n'est rien ma jolie, dit Diane d’une voix rassurante, j'ai juste fait en sorte que tu sois plus belle que lorsque tu es arrivé chez moi en accomplissant le souhait de ta maitresse.
Je t'ai juste percé les tétons et les lèvres de ta fleur intime pour y poser des petits anneaux.
Ne t'inquiète pas je vais vérifier tes pansements, et les changer. »

Diane joignant le geste à la parole retira d'un coup sec les pansements des tétons de Coralie.

« Bien regarde moi ça comme elle est belle! S’écria Diane. Bien sur elle est encore un peu gonflé par le choc mais ça va disparaître assez rapidement.
- Oui en effet ça risque d'être pas mal. Acquiesça Sylvie.
- Je vais désinfecter tout ça et changer les pansements mais il faudra que tu le fasses deux fois par jour jusqu'à ce que ça soit complètement cicatrisé.
- Oui bien sur c'est évident. »

Diane nettoyât les seins de Coralie, refit ses pansements et fit de même avec le pansement qui couvrait la chatte de la jeune fille.
Après avoir fini, Diane donna un cachet à Coralie

«- Tiens ça calmera tes douleurs après tu mangeras. Dit Diane. »

Coralie pris les cachets bien volontiers.
Puis elle fut dessanglée, et Sylvie lui donna à mangé à la petite cuillère.
Coralie fut rallongées, puis les deux femmes sortirent après l'avoir sanglé, et fermèrent la porte à clé.
Coralie, encore à moitié assommé par la piqure qu'elle avait reçu et les médicaments qu'el venait de prendre, s'endormi.
Elle fut réveillée par un bruit.
El ouvrit les yeux et vit Sylvie et Diane suivit de deux jeunes filles portant un grand coffre.

«- Nous devons partir maintenant ma chérie. Annonça Sylvie à Coralie. Je te demanderai de remercier Diane pour tout ce qu'elle t'a appris durant ton séjour.
- Merci madame pour tout ce que vous m'avait enseigné je vous dois beaucoup et ne l'oublierai jamais. bredouilla Coralie.

- Mouais tu m’as déjà habitué à mieux! Mais on mettra ça sur le compte des médicaments. Répondit Sylvie en faisant la moue.
Comme tu ne peux pas marcher, vu ta faiblesse, nous allons t'aider à sortir.
Allez! »

Sylvie se recula, les jeunes filles s'approchèrent, retirèrent les sangles qui entravaient Coralie, la saisirent, la soulevèrent, et la déposèrent dans le coffre qu'elles avaient ouvert.
Coralie s'enfonça dans la mousse contenu dans le coffre.
Celle ci se modela autour d'elle et l'empêcha de faire le moindre mouvement.
Diane lui fit ouvrir la bouche et lui introduisit un tuyau de caoutchouc assez profondément dans la gorge, si bien que Coralie ne pouvait que le garder.
Les jeunes filles déposèrent des grandes plaques de mousse, qui recouvrirent Coralie intégralement.
La jeune fille était maintenant complètement ensevelie sous la mousse, qui lui empêchait maintenant tout mouvement.
Elle ne voyait plus rien, la mousse qui l'entourait étouffer énormément les sons et atténué fortement son audition.

Elle ne pouvait respirer que par le tube qu'elle avait dans la bouche
Elle senti que quelques choses coulissait puis se fut le noir complet.
Elle se senti soulever et balancer. Elle comprit que le coffre dans lequel on venait de la mettre avait était soulevé et qu'on le déplacer.
Puis après quelques instants elle senti qu'on posait le coffre et qu'on le faisait glisser sur un planché.
Elle senti un moteur qui démarrer, et elle comprit que le véhicule dans lequel le coffre avait était mis, commençait à rouler.

Coralie fini par se rendormir.
Elle se réveilla en sueur.
La voiture roulait toujours lui semblait il.
La douleur à sa poitrine et entre ses jambes était moindre.

Après quelques minutes, la voiture s'arrêta, et le moteur fut coupé.
La jeune fille senti qu'on la soulevé et qu'on déplaçait le coffre dans lequel elle était enfermé.

Elle sentit quelques secondes après qu'on la posait et que quelque chose coulissait au dessus d'elle.
Puis les plaques de mousse furent retirées, elle entendit la voix de Sylvie dire

« Lève toi allez sort de là!  S’écria Sylvie.»

Coralie se redressa lentement.
Elle réalisa qu'elle était dans le salon de Sylvie. Tout son corps dégoulinait de transpiration.

« Aller sort de là dépêche toi. répéta Sylvie impatiente. »

Coralie sorti de la boite et se trouva assise par terre.
Les deux filles qui l’avaient mise dans le coffre étaient là, accompagnant Sylvie et Diane qui se tenait en retrait.
Elles ramassèrent les plaques de mousses, les remirent dans le coffre, et le fermèrent avant de l'emmener hors de la pièce.

Diane embrassa longuement Sylvie et les deux femmes se séparèrent après que Sylvie l'ai raccompagné à la porte.
Coralie toujours assise par terre, entendit un bruit de moteur qui démarrait et qui s'éloigna peu après.

Elle observait le pansement qui recouvrait ses seins et sa chatte.
Sylvie revint.

Elle s'assit dans un fauteuil, et fit mettre Coralie à genoux à ses pieds.

Elle lui caressa la joue, puis les cheveux en disant:

«- Alors ma chérie tu es contente de ton séjour?
- Oui madame répondit Coralie…
- Tu a beaucoup appris et beaucoup progressé tu sais.
- Oui madame je sais et je vous en remercie. Souffla la jeune fille.
- Mais ne te fais pas d'illusions, tu ne connais pas tout, et tu découvriras toujours des choses nouvelles dans ton rôle et dans ta mission de satisfaire ta maîtresse.
- Oui madame je ferai de mon mieux pour vous convenir en tout point.
- Oui je te fais confiance pour ça ma chérie.
Mais pour l'instant, je vais te laver et te faire manger, et nous ferions mieux de nous coucher, car demain est une autre journée, qui risque de compter dans ton apprentissage et ta progression, comme toute les journées qui se sont écoulées depuis que tu es là, et comme celles qui s'écouleront encore.
Allez! Maintenant, va préparer la salle de bain, pour que je te nettoie.
- Bien madame. »

Coralie partit après avoir embrassé les pieds de sa maitresse, dans la salle de bain, où Sylvie la rejoignit quelques moments plus tard.
Celle ci nettoya la jeune fille intégralement, et lui renouvela ses pansements.

«- Le pansement à l'épaule nous pourrons l'enlever d'ici deux ou trois jours. Déclara-t-elle.
Nous verrons pour les autres selon la cicatrisation. Tu verras tu seras toute belle après.
- Oui madame, si ça vous fait plaisir de me voir ainsi je le serai. »

Après avoir finit la toilette et les pansements de sa protégée, Sylvie la conduisit dans sa chambre, et la fit comme à l'accoutumée manger, et l'enferma dans sa cage pour la nuit.

Le lendemain, Coralie repris les habitudes de la maison en faisant les tâches ménagères le matin, et en obéissant aux fantaisies de Sylvie l'après midi.

Les jours continuèrent à passés lentement, et les pansements de Coralie furent enlevés.
Les petites cicatrices aux tétons et aux lèvres intimes de la jeune fille ne la faisaient plus souffrir, tant que celles ci n'étaient pas trop mises à l'épreuve.

Coralie arborait donc maintenant un petit anneau qui pendait aux tétons, quatre autres sur chacune des lèvres de sa fleur intime, et enfin un dernier sur son clitoris.
Le tatouage de son épaule avait lui aussi complètement cicatrisé, et Sylvie fit revenir Diane afin que celle ci puisse raviver l'encre de ce dernier lorsqu'il pâlit.

Diane trouva que la jeune fille avait embellit avec les anneaux qu'elle lui avait posé, et fit remarqué à Sylvie que pour véritablement marqué sa propriété de son nom, elle devrait faire tatoué son emblème sur la poitrine ou les fesses de Coralie.

Sylvie sourit:

« Mouia tu as raison c'est quelque chose à envisagée. »

Une semaine après que Diane soit venue confirmer le tatouage de Coralie, Sylvie fit venir Coralie et lui présenta un petit livret.

« Ma petite chérie, dit-elle, il faut que nous parlions sérieusement. Car comme tu l’as déjà compris, le matricule qui t'a été posé sur l'épaule, donne, et affiche ta condition et ton statut aux yeux de tous.
Cependant, voici par ce livret, le document officiel qui défini ton appartenance à moi, ou une autre personne.
Il te faut choisir, si tu veux devenir officiellement à moi, ou si tu décide de refuser mon offre. Au quel cas, je devrais te confier à un placeur qui te vendra au marché au plus offrant.
Et là, soit tu seras juste bonne à faire le ménage chez des personnes qui ne se soucieront pas forcément de toi, ou autre possibilité, tu seras prostitué dans un bordel de la ville, et sera considéré comme objet à plaisir.
Alors, que choisis-tu?
- Euh je ne sais pas ! Je ! Je… bredouillai la jeune fille.
- Tu dois choisir ma chérie. Reprit Sylvie.
Mais je t'avoue sincèrement, que je me suis attaché à toi, et que je t'aime. Ça me ferait donc beaucoup de peine de te perdre.
Ma décision dépendra de toi, car je ne veux pas te forcer, bien que je le puisse totalement, car normalement je n'ai pas à te demander ton avis.
C’est pour ça que si tu refuse, tu accepte en même temps de te livré a n'importe qui.
- Euh madame, je vous aime aussi, et je ne veux pas tellement tombé avec des gens méchants.
- Alors si je comprends bien tu te confie à moi? Demanda Sylvie.
- Euh ben je préfère madame vous confier mon corps et ma vie plutôt que de risquer de trouver moins que ce que j'ai maintenant.
- Bien je vois. Alors nous irons chez l'avocat demain en fin d'après midi pour remplir le livret et valider officiellement le document. »

Le lendemain, Sylvie fit descendre Coralie dans sa demeure, comme elle aimait appeler la pièce qui lui servait de donjon et de salle de jeu avec sa soumise, et l'habilla de bas, d'une jupe très courte en cuir, et d'un haut moulant qui faisait ressortir la poitrine de la jeun fille.

Elle la fit monter à l'arrière de sa voiture, après l'avoir maquiller, et l'avoir chaussé de talon aiguille.

Elle lui attacha les mains par des menottes, elles partirent, et après plusieurs dizaines de minutes, arrivèrent en ville, et se garèrent dans un parking.
Sylvie fit descendre Coralie de la voiture, et lui mit une laisse à son collier;
Elle la guida jusqu'à un bureau.

Sylvie s'adressa à la secrétaire.

« -Bonjour j'ai rendez vous avec maître DURL.
- Oui je vais le prévenir de votre présence. Asseyiez vous je vous prie. Répondit la secrétaire. »

Sylvie s'assis donc en laissant Coralie debout à coté d'elle, et en la tenant toujours par la laisse.

Une porte s'ouvrit, et un homme sorti.
Il accueillit Sylvie, et fit entrer les deux femmes dans son bureau.

« -Bien c'est pour? Demanda-t-il.
- Pour une validation d'appartenance pour mademoiselle. Répondit Sylvie.
- Bien, bien. Nous allons procéder.
Je vous rappelle qu'après avoir signer ce document, vous serez lié l'une à l'autre et il n'y a que la mort qui pourra rompre l'effet de ce document devant la loi.
Êtes-vous décidé à accepter cette condition?
- Oui moi je le suis.dit Sylvie.

- Et vous mademoiselle.

- Euh oui monsieur.
- Bien alors signez ici et vous ici. »

Sylvie signa à l'endroit indiqué et Coralie en fit de même.
Il reprit le livret et commença à le remplir.

« -Elle a déjà fait des stages? demanda-t-il.
- Oui au centre de dressage équestre de madame OURILAN.
- Bien, d'autres?
- Non.
- Vous savez qu'il en faut au moins deux>?
- Oui je le sais. Acquiesça Sylvie.
- Vous connaissez donc la procédure, si vous voulez que je valide définitivement le document.
- Oui bien sur. »

Il sortit un classeur et le feuilleta.

-« Bien elle ira donc au centre de l'enfance. annonça-t-il en consultant une feuille.
- Bien.
- Le stage se fera pendant deux semaines. Continua-t-il.
- D’accord, quand doit elle partir?
- Je peux l'insérer dès tout à l'heure il reste de la place.
- Bien oui, au moins ça sera fait. »

Il referma son classeur, finit de remplir le document, et le tendit à Sylvie.
Celle ci se leva et le rangea dans sa poche.

«-  Bien laissez la moi, je la ferai partir avec les autres.
- D’accord. »

Sylvie donna la laisse à l'homme, embrassa Coralie, puis sorti.

La jeune fille ne comprenait pas ce qu'il se passait.
L’homme tira sur la laisse en disant

« Aller suis moi toi! dit-il. »

Il l'emmena dans une petite pièce, et lui dit:

« Maintenant tu te déshabille, et tu mets toutes tes affaires dans ce sac. reprit-il.
Et tu te démaquille complètement, là au lavabo, voici du produit.
Et tu te tiens tranquille. »

Coralie obéit. Il lui passa un collier de cuir au cou, qui était relié par une chaîne, à des sangles qu'il fixa au poignet et aux chevilles de la jeune fille.IL lui enfourna un bâillon dans la bouche qu'il serra derrière sa tête.
Il lui fit descendre un escalier, et la conduisit dans une petite pièce où d'autre jeune fille étaient enchainé l'une à l'autre.
Il saisit les chaînes de la dernière jeune fille de la file, et enchaina Coralie par les chevilles, les poignets, et le collier, à cette dernière.
Il sorti ensuite, et quelques heures après, revint avec d’autres jeunes filles qu’il enchaina de la même façon derrière Coralie.
Au total, Coralie compta 10 jeunes filles.
Elles furent emmener, et conduites à travers le couloir puis, les rues de la ville.
Les passants les regardaient en les pointant du doigt, en faisant des remarques sur elle, s'imaginait Coralie.

Elle dut monter sur la plate forme d'un camion, qui partit peu après, pour s'arrêter devant un grand bâtiment en périphérie de la ville.

Coralie et ses compagnes de voyage, furent débarquées, puis amenés dans une grande pièce.
Elles furent détaché les unes des autres, et attachées chacune à un anneau celle au mur.
L’une après l'autre, les jeunes filles étaient emmenés hors de la pièce, et ne revenait pas.
Bientôt se fut le tour de Coralie.

Un homme la détacha, et la tira hors de la pièce, pour la conduire à travers les couloirs
Elle entra dans une salle, et l'homme lui enleva les chaines qui lui entravaient les mains et les pieds, et lui hotta le bâillon qui lui bloquait la bouche.
Il lui fit un geste, en lui indiquant qu'elle devait s'allonger sur une table au fond de la salle.
Coralie obéit sans dire un mot, trop terrifié de ce qui pouvait l'attendre.

L’homme lui attrapa les bras puis les pieds, qu'il attacha en croix par des sangles de cuir.
Il actionna un bouton, et Coralie senti que ses mains et ses pieds s'écarter de plus en plus.
Lorsqu’elle fut complètement étiré, et incapable de faire le moindre mouvement, il stoppa le mécanisme.

Il lui ouvrit la bouche, et lui fit mordre dans une patte molle, qui se fixa sur ses dents.

La chatte, l'anus, et les seins de Coralie, étaient complètement à découvert, et complètement offerts.

L’homme inséra un spéculum dans la chatte de Coralie, et un autre dans son anus.
Il dilata complètement les orifices de la jeune fille, qui geignait de douleurs.
Après quelques minutes, et après plusieurs manipulations sur les trous de sa pauvre prisonnière, l'homme lui provoqua plusieurs orgasmes consécutifs.
Coralie avait la tête qui lui tournait, tellement les sensations et les émotions avaient étaient fortes et intenses.

Lorsqu’elle eu repris ses esprits, et à peu près repris sa respiration, l'homme nettoya son intimité, et lui posa un lange comme elle en avait eu étant toute petite.
Puis il actionna le mécanisme, afin de lui détendre les jambes et les bras.
Il lui passa des sous vêtement de protection, et une grenouillère comme elle en avait vu porté par les bébés.
Il lui mit un petit bonnet sur la tête, avant de la glisser dans un sac de couchage, qui se finissait par des bretelles, qui lui enfila.
La jeune fille ressemblait à) un bébé qu'on aurait préparé pour le coucher.

Il lui fit rouvrir la bouche, et constata que la patte avait durci.

Elle essaya de parler, mais ne pu sortir que des sons monocordes.

Il la prit dans ses bras, et la conduisit dans une pièce aussi grande que
Le box qu'elle avait occupé lors de son séjour chez madame Diane.
Il la déposa dans un lit à barreau et lui mis dans la bouche un biberon.
Coralie bu avidement le contenu, affamée, après cette journée pleine d'émotions.

Lorsqu’elle eu finit, la main de l'homme lui enfourna une tétine dans la bouche, qu'il fixa derrière sa tête.

Une fois fait, l’homme s'éloigna, et Coralie senti quelle
Descendait, et bientôt les barreaux du lit l'entourèrent.

La lumière s'éteignit, et une musique douce se fit entendre doucement.
Le lit commença lentement à se balancer.
Coralie ferma les yeux, et se senti alaise pour la première fois depuis qu'elle était arrivé chez Sylvie.
Elle se sentait retomber en enfance, et était bercer par la musique.
Elle s'endormit profondément.
Chapitre 6. le stage.

La nuit fut douce pour Coralie, qui se reposait pour la première fois dans un lit, depuis maintenant plusieurs mois qu'elle était arrivée chez Sylvie.
Lorsqu’elle se réveilla, la douceur des habits de nuit qu'elle portait, lui donnèrent des sensations agréables, qui ne la tirèrent pas de ses rêves brutalement, comme les réveils habituels.
La lumière s'était éteinte, la musique s'était arrêtée, elle avait chaud, elle se sentait vraiment retomber en enfance.
Elle sentait que les anneaux qu'elle portait ressortaient sous les tissus de sa grenouillère.
Elle entendit du bruit dans une pièce assez proche. Puis une voix féminine.

« Mais c'est bien! C’est une grande fille, elle a été propre! C’est bien ma puce! Demain! À l'école! »

Après quelques minutes, la porte de la pièce où se trouvait la jeune fille s'ouvrit.
Une femme entra.
Elle s'approcha du lit de Coralie.

« Ah! Tu es réveillé? C’est bien! Aller on va aller se changer. Dit-elle. »

Coralie senti qu'elle remontait. Elle vit les barreaux de son lit diminuaient.
La femme passa ses bras sous le corps de la jeune fille et la souleva. Elle la porta sur une petite table, sur la quelle elle la posa.
Elle lui enleva ses habits, et Coralie se retrouva bientôt en couche, allongée sur la table.
La femme saisit les pieds de Coralie, et les fixa dans des étriers, qu'elle fit remonter, et écarter, afin que le bas du dos de la jeune fille ne touche plus la table, et que ses jambes soient écartées.
Elle lui enleva la couche, puis la jeta, en disant.

« Et bien ça n'est pas très bien! Les deux! Bahhhhhh! On va nettoyer tout ça. vilaine. »

Elle tapa par deux fois sur les fesses de Coralie. Celle ci senti bientôt la fraicheur d'un gant de toilette humide passer entre ses cuisses, sur sa fente, ses fesses, et son cul. Elle senti également qu'on lui appliquait une crème, puis du talk.
La femme remit une couche à la jeune fille, puis lui enfila une autre grenouillère, après avoir remis des sous vêtements de protection.
La jeune fille fut bientôt rhabillée, puis emmenée dans son lit.

« Je reviens. Je vais chercher ton petit déjeuner.  Déclara-t-elle.»

La femme sorti, et revint un instant plus tard, en tenant un biberon dans la main.
Elle reprit Coralie dans ses bras, s'assis sur une chaise, la tint sur ses genoux, et lui donna le biberon après lui avoir enlevé la tétine que la jeune fille avait toujours dans la bouche.
Après avoir bu le contenu du biberon, Coralie tenta de parler mais comme la veille la patte qui s'était fixé sur ses dents, ne lui permit que de sortir des sons gutturaux.
Elle fut remis au lit et se rendormi peu après.
On la réveilla et on la mit sur une chaise afin de lui donnait à manger à la petite cuillère. Puis elle retourna dans son lit et elle reçu un biberon après avoir dormi encore. On la changea pour la nuit, avant de la remettre au lit.
Quelques jours passèrent comme ça, et Coralie perdit la notion du temps.
Cependant, la femme qui s'occupait d'elle, lui dit un jour.

« Bien! Demain tu dois entrer à l'école pour la deuxième partie de ton stage au centre de l’enfance. Donc plus de pipi au lit cette nuit sinon tu ne pourras valider ton stage et devra en recommençait un dans un autre centre. C’est ta propriétaire qui risquerait de ne pas être satisfaite de toi. »

Ce soir là, Coralie s'endormit en se demandant ce que lui réservait l'avenir, et qu'elle pourrait être la deuxième partie de ce stage dont elle se disait que cette première partie avait été fort agréable.

Le lendemain, quand la femme revint la changer, celle ci lui dit.

« Bon c'est bien, tu es grande maintenant, tu n'as pas fait la dégoutante. On va se préparer, et je t'emmène à l'école du centre. »

Elle la déshabilla, la nettoya, et lui enfila une petite culotte blanche de coton, une chemise et des bas blancs, ainsi qu'une veste et une jupe lui tomba au niveau des genoux de couleur bleue foncée. Elle lui mit aux pieds des souliers.
Enfin elle la coiffa en lui faisant deux couettes de chaque coté de la tête.

Coralie n'osait pas se regardait dans le miroir qui se trouvait à quelques pas d'elle, tant la honte l'envahit lorsque la femme la fit mettre debout et lui dit.

« Voilà! Tu es toute belle! Aller! Suis-moi. »

Elle lui enfila sur le dos un petit cartable d'écolier, et l’entraina dans des couloirs.
Après avoir marché pendant quelques minutes, la femme s'arrêta devant une porte et frappa.
Un bref

« Entrer! »

Lui répondit. Elle ouvrit la porte et poussa Coralie dans la pièce.

« Voilà une nouvelle élève.  Dit-elle.»

Une jeune femme répondit

« Bien, je m'en occupe.
Laissez la moi. »

La femme sortit, et Coralie resta seule avec celle qui allait devenir, elle l'avait compris, sa professeur.

« Assois-toi! lui dit l’institutrice. »

Coralie enleva son cartable, et s'assit à un petit bureau que lui indiquait le professeur.

«- Je suis madame ISA, reprit la femme, je suis ton professeur particulier, et toi comment t'appelle tu?
- Coralie madame. Répondit Coralie gênée.
- Bien Coralie. Sors tes affaires nous allons commencer le cours. »

Coralie ouvrit son cartable, et sorti son contenu sur le bureau.
Un crayon, un cahier, des feuilles, une règle...

« Nous allons commencer par une dictée, afin d'évaluer ton niveau. Entama la professeur.
Prends une feuille, un crayon, et écrit! »

Madame ISA commença à dicter, et Coralie à écrire en s'appliquant.

La dictée finit, madame ISA prit la feuille de Coralie et lui dit.

« Debout maintenant! Et là bas les mains sur la tête! Pendant que je corrige ton travail. »

Coralie la regarda hésitante.

« Et bien quoi! Il faut que je t'aide peut être! ! Exécution! Aboya la maîtresse. »

La jeune fille se leva lentement, se mit dans le coin, leva les mains et les posa sur sa tête.

« Retourne-toi! Je ne veux pas te voir! Cria la femme. »

Elle obéit, et fit demi-tour.
Les souliers qu'elle portait, lui rappelaient les bottes qu'on lui avait fait enfiler lors de son séjour chez madame Diane, tant ses pieds étaient serrés à l'intérieur des chaussures.

Elle entendait le bruit du crayon sur la feuille de papier.

« Viens ici! Dépêche-toi! »

Coralie revint près de son professeur.

«- Et bien! Il va falloir t'améliorer! Tu n'as pas un niveau très bon. Tu a quand même fait 12 fautes. Tu connais le tarif? Demanda l’institutrice en fixant Coralie.
5 coups de martinets par fautes.
- Euh ! Euh ! Euh... balbutia la jeune fille.
- Et si tu proteste c'est le double!
- Euh non mais madame s'il vous plait… continua %%Coralie.
- Mais tu va arrêter de gindre? Vociféra la femme.
- Mais madame je, je ...
- Sale gamine! Hurla-t-elle.
Viens ici dépêche toi  « 

Coralie ne bougea pas, trop surprise par la violence de la réaction de son professeur.
Elle comprenait maintenant pourquoi la première partie de son stage avait été aussi agréable.
Elle ne vit pas arriver la main de madame ISA, qui la saisit par ses couettes et la tira vers un coin de la pièce, où se trouvait un petit portique que Coralie n'avait pas remarqué en arrivant.
Elle posa la tête de Coralie dessus, et rabattit une pièce de bois par dessus celle ci, ce qui eu pour effet de bloquer totalement la tête de la jeune fille.
Coralie avait poussé un cri strident, lorsque madame ISA l'avait saisit par les couettes, et des larmes coulaient sur ses joues;
Elle se tenait maintenant penché en avant, la tête prise et bloquée.
Madame ISA releva la jupe de Coralie, lui abaissa sa culotte, et recula de quelques pas.
Elle frappa longuement sur les fesses de la jeune fille qui se tortillait pour tenter vainement d'échapper aux coups.

Quand madame ISA s'arrêta, Coralie pleurait toutes les larmes de son corps. Ses fesses brûlaient.
Madame ISA lui remit sa culotte, lui rabaissa sa jupe, puis lui libéra la tête.

« Aller! Retourne à ta place! Et arrête de faire ton bébé salle gosse! »

Coralie retourna à sa place, tout en essayant de se calmer, et d'essuyer ses larmes;

La journée passa lentement pour Coralie, madame ISA lui donna des exercices, et à chaque fois que Coralie se trompait, elle avait droit à 5 coups de martinets par fautes.
Au bout de la journée, Coralie savait à peine s'asseoir sur sa chaise.
Lorsqu’elle ressorti de la classe, elle fut conduite à une petite chambre dans laquelle elle dina, se déshabilla, et s'endormi très vite.
Le lendemain, elle dût réenfilait ses vêtements d'écolière, et retournait en classe avec madame ISA. Les jours continuèrent à passé à ce rythme.
Coralie faisait, d'après sa maîtresse, de gros progrès, mais les fesses de la jeune fille montraient que malgré cela, il restait beaucoup d'efforts à faire pour que Coralie rende ses travaux parfaitement faits.


Un soir, après plusieurs jours, Coralie revenue dans sa chambre, se reposait de sa journée de classe, lorsque la femme qui l'avait soignée pendant la première partie de son stage, entra.

« Ton stage est validé, lui dit-elle, C’est très bien! Tu deviens donc à partir de maintenant une femme appartenant à ta maitresse.
Celle ci viendra te chercher demain dans la journée. Je t'apporterai les vêtements qu'elle désire te voir porter demain matin. Pour l'instant, repose-toi. »

Coralie ne s'endormit pas très vite, tellement l'excitation de sortir de ce centre, et de retrouver Sylvie la réjouissait.

La femme lui apporta des vêtements le lendemain matin, puis sortit, en disant

« Tu te prépare, et tu reste là tant que ta maîtresse n'est pas arrivée. »

Coralie restée seule, considéra les vêtements qu'on lui avait apportés : des bas en résille crème, un string de vinyle rouge vif, un haut moulant à décolleté plongeant très prononcé, et une mini jupe très courte en cuir. Une boîte contenant des escarpins vertigineux l'attendaient également.

Elle enfila tout ça rapidement, et attendit patiemment qu'on vienne la cherchait.
La journée passa sans que personne ne vienne.
Enfin, vers 20 heures, la porte de la pièce où se trouvait la jeune fille s'ouvrit. La femme entra.

« Aller debout! Ta propriétaire est là! »

La femme attacha une laisse qu'elle tenait dans la main, au collier de Coralie, puis l'entraina derrière elle.
Lorsque Coralie arriva dans un hall, qui semblait être le hall d'accueil du bâtiment, elle vu Sylvie qui se levait et venait à sa rencontre.
Lorsque les deux femmes rejoignirent Sylvie, celle ci embrassa longuement Coralie.

« - Voilà je vous la laisse, déclara la femme à Sylvie, elle a été très discipliné pour la plupart des exercices, sauf peut être un peu pendant les cours avec madame ISA.
- Bien, bien. Ça n'est pas très grave du moment qu'elle a apprit et qu'elle a progressé.., répondit Sylvie.
- Oui je crois que vous remarquerait quelques améliorations.
- Bien tu dis merci ma chérie? Demanda Sylvie en regardant sa soumise.
- Merci madame de m'avoir accueilli dans votre établissement, et de m'avoir permis de pouvoir profiter de votre savoir. Je vous en suis très reconnaissante.  Dit Coralie gênée. »

Sylvie sourit

«-  C’est bien ma chérie. Aller nous allons partir maintenant.
Tu dis au revoir?
- Au revoir madame, dit la jeune fille, j'espère avoir été à la hauteur de votre rang et de m'être comporter correctement. Merci encore à vous de tout ce que vous m'avez appris.
- Merci madame à bientôt, compléta Sylvie.
- À bientôt mes dames et merci répondit la femme en les regardant s’éloigner. »

Sylvie fit demi-tour, et sortit avec Coralie, qui la suivait.

Elle la conduisit jusqu'à la voiture, où elle la fit monter à l'arrière.
Lorsque la jeun fille s'assis sur la banquette, la jupe qu'elle portait remonta et découvrit les plis de ses entre cuisses, et la lisière de son string.
Sylvie se mit au volant, et planta sur la tête de Coralie, une longue perruque blonde, et la maquilla outrageusement.
Puis elle démarra en disant.

« Pour fêter notre alliance définitive, nous allons passer la soirée en ville. »

Chapitre 7. soirée en ville.

Après avoir roulé pendant quelques temps les deux femmes se garèrent dans une grande rue du centre ville.
La nuit tombait et les rues s'emplissaient peu à peu de bandeaux.
Sylvie descendit de voiture et ouvrit la portière arrière. Coralie sortit à son tour du véhicule.
Elle suivit sa compagne et toutes deux entrèrent dans un restaurant.
Elles s’installèrent à une table.
En s'asseyant, la jeune fille ressentit encore les lancinantes morsures des coups qu'elle avait reçu pendant plusieurs jours, lors du stage qu'elle venait de suivre.

Sylvie caressa la main de Coralie en la regardant dans les yeux.

« Alors ce stage ma chérie? Tu as appréciée? »

Coralie baissa la tête.

«- Euh oui madame. Répondit-elle.

- Raconte-moi ça ?demanda Sylvie. »

Coralie relata l’évènement depuis que Sylvie l'avait laissé chez l'homme qui devait officialiser son appartenance.
Comment elle avait été emmené avec d'autres jeunes filles au centre, comment elle avait été examinée à son arrivée, son séjour en nurserie, puis son séjour à l'école, les leçons qu'on lui avait données, les punitions qu'elle avait reçue à la moindre erreur qu'elle faisait.....
Sylvie sourit.

« -Qu’en tires-tu de ce stage, ma chérie?
- euh que je dois obéir en tout point à ce qu'on me dit ou demande, que mon esprit et mon corps ne dépendent que de la bon volonté de la personne à qui j'appartient et que je dois satisfaire, dit la jeune fille se surprenant elle-même de ses paroles..
- Ça me semble bien pour un premier ressenti. Se réjouit Sylvie. »

Un serveur pris leurs commandes, et après quelques moments déposa deux assiettes devant les deux femmes.

« - Vassy mange ma chérie. Invita Sylvie. »

Coralie pris sa fourchette, hésita et resta immobile.
Sylvie fit un geste.

« Allez mange, tu peux ma chérie! Pour une fois! Mange! Mange! Vassy! »

Coralie baissa la tête

«- Merci madame de me permettre cet honneur. Je vous suis reconnaissante de bien vouloir m'accepter à votre table et de me traiter ainsi.
- Allez dépêche toi, insista Sylvie, ça va être froid. »

Coralie commença donc à manger. Elle n'avait pas mangé aussi bien, ni de cette façon, depuis qu'elle était entré chez Sylvie le premier jour.
Sylvie l'interrompit après un moment et lui demanda.

« Je dois aller au VC! Viens! »

Coralie se leva, et l'accompagna. Elles traversèrent la grande salle.
À chaque pas de Coralie, celle ci sentait des regards se posait sur elle.
À son passage, des hommes et des femmes sourirent. Un homme alla même jusqu'à tendre le bras et lui toucha les fesses.
La jeune fille ne réagit pas, et continua son chemin pour ne pas se laissé distancé par Sylvie.

Arrivée dans les toilettes pour dames, Sylvie poussa Coralie dans l'un des cabinets.
Elle entra avec elle et referma la porte au verrou.

Elle l'embrassa pendant une bonne quinzaine de secondes. Sa main passa sous la jupe de Coralie, caressa la fente de celle ci, puis remonta sur ses fesses.
En sentant cette caresse, Coralie tressaillit, lorsque la main toucha les
Zébrures laissé par la règle.

« Enlève ton string et montre-moi ces marques qui te font souffrir.  Lui chuchota-t-elle à l’oreille de la jeune fille.»

Coralie obéit, se tourna, et souleva sa jupe.
Sylvie passa sa main sur la croupe de sa compagne, qui frissonna à son contact.

« Écarte un peu tes cuisses ma puce, je vais te préparer pour la suite de la soirée. »

Coralie obtempéra, et sentit s'enfoncer en elle, deux objet dans sa chatte et dans sons cul.
Elle sentit ensuite que Sylvie lui fixait une ceinture avec un petit appareil auquel étaient reliés les deux objets.
Sylvie fit enfiler à sa protégée une culotte de latex qui empêcha les objets de sortir des orifices des la jeune fille.

Sylvie se redressa et pris Coralie dans ses bras. Elle l'embrassa tendrement.

« Tu vas voir nous allons passer une très bonne soirée. »

Les deux femmes sortirent des VC.
Une dames qui entraient au même moment, regarda de travers Coralie et maugréa quelques mots.
Les deux femmes regagnèrent leurs places, et continuèrent de manger.
Coralie cru s'étouffer, lorsqu'elle sentit les objets en elle, gonfler comme des ballons de baudruche.
Elle se crispa;
Après environs 20 minutes, Coralie était obligé d'écarté largement ses cuisses pour supporter la dilatation imposé par le gonflement des objets.

Coralie poussa un petit cri lorsque l'objet dans son cul atteint un volume qui ne lui permit plus de supporter l'étirement de son orifice anal.
Elles finirent de manger.
Lorsque Sylvie décida de partir, elles se levèrent, et traversèrent la salle pour aller payer, et sortir.
Les gens riaient tout bas, de voir la pauvre Coralie qui marchait bizarrement, forcé d'écarter les jambes de façon outrageante.

Enfin, elles sortirent, et remontèrent en voiture.

Sylvie se tourna vers Coralie.
Celle ci grimaçait, tellement les objets dilataient ses trous, et l'obligeait à écarter les jambes afin de trouvé une position à peu près supportable.
Sylvie sourit.

« C’est juste pour préparer la suite de la soirée ma chérie. »

La voiture roula pendant quelques kilomètres à travers les rues de la ville, et se gara devant un bâtiment.
Sylvie fit sortir Coralie, et l'emmena à l'intérieur.
Une fois entrée, Coralie constata que Sylvie avait du tout prévoir car apparemment son amie était attendue.
Sylvie salua plusieurs personnes, leurs présenta sa protégée, avant de conduire Coralie dans une petite pièce. Là, elle lui enleva la culotte de latex, et la déshabilla de sorte que Coralie se retrouva en jupe, bas et porte jarretelles.
Elle lui passa une paire de menottes aux chevilles, entre lesquelles était fixé un anneau plus grand que les autres.
Elle lui banda les yeux et lui lia les mains. Puis sortit.
Après une heure environs, Coralie sentit qu'on la tirait, elle suivit docilement.
Elle sentit qu'on lui saisissait les mains, qu'on lui attachait celles-ci à un anneau au dessus de sa tête.

La jeune fille entendait du bruit autour d'elle.

Il se passa encore plusieurs instants comme ça, puis elle entendit une musique retentir.
On lui défit son bandeau.
Elle ne vit que l'obscurité.
Puis une lampe très forte s'alluma au dessus d'elle, et elle découvrit qu’elle se trouvait au centre d'une pièce. Autour d'elle étaient assis des hommes et des femmes, qui la regardaient, qui l'observait en silence.

Elle rougit.
Elle tourna la tête, et parmi la foule qui l'observait, elle reconnu Sylvie, puis un peu plus loin, Diane, sa nurse, la femme qui lui avait donné des leçons lors de son stage.
Une main passa entre ses cuisses, et tira sur l'objet maintenant complètement coincée dans son vagin.
Elle hurla lorsque l'objet sortit. Des larmes jaillirent de ces yeux.
Elle sentit ses bras se tendre immédiatement après, et fut tiré vers le haut, puis se trouva suspendu par les bras, en l'air ses pieds ne touchaient plus le sol. Elle monta encore.
On installa quelque chose sous elle, et elle sentit qu'elle redescendait
Soudain elle fut complètement relâchée, et tomba. Elle sentit un long gode la pénétrer. Elle hurla de douleur.
Elle était maintenant, à quelques centimètre du sol, empalée sur ce gode, sans possibilités de pouvoir faire le moindre mouvement. Elle pleurait de honte, de douleur mélangée.
Tout le monde la regardait sans dire mot.
Elle tourna la tête vers Sylvie pour avoir son soutient, mais celle ci n'était plus à sa place.
Elle l'entendit cependant, quelques secondes après derrière elle.
Ses mains passèrent sur la poitrine de la jeune fille et posèrent des pinces à linge sur les tétons, ainsi que sur toute la surface de ses seins.

Puis un doigt s'insinua dans sa bouche, et lui fit l'ouvrir pour permettre la pose d'un bâillon anneaux, qui ne permit plus)à Coralie de fermer celle ci.
Un geste furtif fit tomber la jupe de la jeune fille.
Le silence s'installa, de nouveau pendant plusieurs minutes, juste entrecoupé des reniflements et des petits sanglots de Coralie.
Un sifflement, puis un autre, et encore un autre.
Coralie reçu un coup, puis deux, puis trois, sur les fesses.
Progressivement, les coups étendirent leurs marques sur son dos, et ses cuisses.
Après plusieurs dizaines de coups, le silence reprit ses droits. Coralie avait l'arrière du corps complètement brulant.
Des mains saisirent Coralie par les hanches et l'obligèrent à tourner sur son pivot.
Elle hurla de plus belle.
Elle se trouva face à Sylvie qui lui sourit.
La pluie de coups reprit, sur l'avant du corps de la jeune fille, cette fois, son ventre, ses épaules, ses cuisses, son pubis, et sa poitrine n'y échappèrent pas.
Les pinces sautèrent, une par une, au fur et à mesure des coups, ce qui arracha de nouveaux cris à la jeune fille.

Quand la pluie s'arrêta de nouveau, la jeune fille fut obliger de nouveau de pivoter, et on lui retira l'objet qu'elle avait encore dans le cul.
Sylvie la rejoignit, l'embrassa sur les seins ainsi que sur le pubis, et glissa à l'oreille de Coralie, avant de s'éloigner.

« Bonne chance ma chérie. »

Coralie se demanda pendant quelques secondes ce qu'avait voulu dire sa maîtresse, elle eu vite la réponse.
Elle senti qu'on lui transpercer l'anus. Elle cru qu'on allait lui déchirait sa rondelle.
Les mouvements de va et viens lui provoquait des douleurs insupportables et lorsque on jouit en elle, elle n'avait déjà plus de force.
On se retira de son orifice. Elle n'avait pas eu le temps de reprendre son souffle qu'elle sentait de nouveau quelque chose la pénétrait.
Le temps passa, et la jeune fille du subir les assauts de multiples pénétrations. Au bout de la troisième, à court d'énergie, Coralie s'évanouit.

Lorsqu’elle reprit connaissance, elle était allongé sur une table, Sylvie était penché au dessus d'elle et lui souriait.

«- Tu reviens à toi ma chérie?
- Oh madame, j'ai, j'ai, j'ai mal! Sanglota Coralie. »
-
Sylvie lui caressa les seins.
Coralie tourna la tête et ne vit personne d'autre que Sylvie auprès d'elle.

« - Nous allons bientôt rentrer ma chérie ne t'en fait pas. J’ai passé en tout cas une excellente soirée et toi?
- Si vous avez été satisfaite, madame, je suis comblée renifla la jeune fille. 
- As-tu passé une bonne soirée aussi, ma chérie? Il ne s’agit pas de moi, mais de toi?
- Oui madame, et mon bonheur est complet si vous êtes heureuse et satisfaite de moi.
- Oui ma chérie ne t'inquiète pas tu as été très bien ce soir.
Je vais aller chercher quelqu'un qui va te préparer pour que nous puissions rentrer. »

Sylvie sortit de la pièce, puis revint quelques minutes après, accompagnée d'un homme.
Sans un mot, celui ci commença à préparer la jeune fille, en entourant les orteils de Coralie, un par un, puis les entoura ensemble avec du film plastique.
Il monta progressivement en enroulant les jambes de Coralie.
Arrivé au milieu des cuisses, il s'arrêta, et
Obstrua complètement la chatte et l'anus de la jeune fille avec le film plastique, en passant et repassant celui ci dessus, en entourant les cuisses et
Les hanches de la jeune fille.
Puis il reprit son ascension en enroulant le haut des cuisses, puis les hanches, et le buste jusqu'aux aisselles de Coralie.
Il emballa ensuite les doigts un par un, puis les mains, et remonta jusqu'au haut des bras puis des épaules toujours de la même façon.
Coralie avait maintenant le corps totalement plastifié, hormis sa tête.
Il coupa le film plastique, le fixa, puis reprit son emballage, en repartant des pieds de Coralie, en les emballants ensemble.
Elle sentait au fur et à mesure que l'homme faisait monter le film plastique sur son corps, et l'emballer, qu'elle pouvait de moins en moins bouger.
À la hauteur de ses hanches, il prit les bras dans son emballage.
Bientôt Coralie ne pouvait plus bouger que la tête, le film plastique étant au niveau de son cou.
Il lui fit ouvrir la bouche, lui replaça le bâillon anneau qu'elle avait eu quelques heures auparavant, qui lui empêcha encore de fermer la bouche.
Il reprit le film plastique, et continua son ouvrage, pour arriver au niveau des yeux.
Il fit en sorte de finir son emballage, en forçant la jeune fille à garder les yeux ouverts sous le film plastique.
Quelques instants après, Coralie était complètement momifiée, prisonnière, ne pouvant esquisser le moindre mouvement.
L’homme la souleva, la déposa dans un bac transparent, puis découpa le plastique devant sa bouche afin de lui permettre de respirer
En plaçant un tube à travers celui ci.
Il referma le couvercle du bac, en fixant le tube qui sortait de la bouche de Coralie, de façon à ce que celle ci puisse respirer convenablement, même
Lorsque le couvercle serait clôt.
Il verrouilla le couvercle en fermant deux petites serrures, dont il donna les clés à Sylvie, puis sortit.

Celle ci fit un geste, deux jeunes filles arrivèrent en courant, soulevèrent le bac et le transportèrent dans une grande pièce, où elles le déposèrent
De manière à ce que Coralie se trouve debout, sur une estrade, à coté d'autres bacs du même type, contenant d'autres jeune filles.

Sylvie avait rejoint Diane, et buvait une coupe de champagne en parlant avec elle.
Les personnes qui avait observé Coralie il y avait quelques heures, Coralie les reconnaissait, elles étaient là, à quelques mètres d'elle,
Buvant et mangeant, sans se soucier de ces jeunes filles momifiées, dans leur prison transparente, à la vue de toutes et de tous.
La soirée continua par l'exhibition d'autre soumises, subissant les mêmes supplices que Coralie, empalées sur un gode sur pied, puis
Sodomisées par plusieurs hommes et plusieurs femmes portant des godes ceintures.
La plupart des suppliciées tombait évanoui, comme Coralie, après quelques minutes, puis étaient emmenées, et revenaient après
Quelques moments momifiées et emprisonnées dans des bacs transparents, qui rejoignaient les collections dans laquelle figurait maintenant Coralie.

La position debout, imposées aux jeunes prisonnières, les forçaient à rester éveillées, à regarder, et découvrir les supplices subit par leurs semblables.
Coralie reconnue une des jeunes filles avec laquelle elle avait été attelé lors de son stage au domaine de madame Diane.

Après plusieurs heures, les gens commencèrent à partir, et le monde disparut peu à peu
Sylvie s'éclipsa également.
Coralie se rendit compte au bout d'un moment, qu'il ne restait plus personne dans la pièce appart elle et ses compagnes de prison.
Les lumières s'éteignirent.
La douleur que Coralie avait ressentit, lorsqu'elle était suppliciée, était toujours présente, malgré les heures écoulées entre ce moment et l'instant présent. Elle sentait que ses trous avaient été complètement dilatés et brutalisés comme jamais il ne l'avait été.
Le temps passa encore et encore sans que rien ne se passe.
Enfin les lumières se rallumèrent, et pendant plusieurs heures, elle vit défiler devant elles et ses compagnes, des femmes et des hommes, les observant,
Prenant des notes, s'arrêtant, repartant, revenant sur leurs pas pour revoir une ou l'autre des jeunes filles.

Les lumières se reteignirent. Les deux jeunes filles qui avait amenées les jeunes soumises dans leurs prison, revinrent et les emmenèrent une par une, or
De la pièce.
Elles soulevèrent enfin le bac contenant Coralie, et le transportèrent, pour le déposer dans un camion,
Où était les autres jeunes filles qui avaient déjà été sorties et emmenées.
Une fois toutes les prisonnières transportées dans le camion, celui ci démarra.
Lorsque celui ci s'arrêté de temps en temps, les deux jeunes filles prenait l'un des bacs contenant une prisonnière, l'emportait hors du camion.
Au bout d'un moment, ce fut le tour de Coralie.
Elle fut transportée, et se retrouva dans la maison de Sylvie.

Cette dernière, ressortit accompagnant les jeunes filles, puis revint après quelques minutes.
Elle ouvrit le couvercle de la prison de Coralie, puis le souleva.
Sa main caressa le corps de Coralie.
Elle la délivra de ses bandages et la fit sortir de sa prison.
Puis la fit descendre dans sa demeure comme elle disait habituellement.
Coralie pu manger, elle ne se posa même pas de question lorsque Sylvie lui présenta sa gamelle, elle dévora le contenu de celle ci, et bu jusqu'à plus soif.
Puis Sylvie la fit entrer dans sa cage, dans laquelle Coralie pu une fois enfermer à l'intérieur,
Prendre un repos qu'elle attendait depuis déjà un bon moment, et s'endormit immédiatement.
Chapitre 8. une visiteuse.


Coralie avait dormi très profondément, malgré la douleur toujours présente, des zébrures laissées par les coups sur sons corps, qui lui mordaient les chairs.
La jeune fille ouvrit les yeux lorsque Sylvie vint la réveillait.
Elle sortit péniblement de sa cage, car chaque mouvement lui était difficile tellement ses muscles étaient enquilosés, et meurtris.
Elle suivit Sylvie jusqu'à la salle de bain, où elle se lava soigneusement.
Elle tourna la tête ver le miroir, elle ne pus’ empêcher de frémir en voyant les marques rouge qui lui traversaient la poitrine, les épaules, et le ventre.
Sylvie revint la chercher, et après l'avoir fait redescendre dans sa demeure, comme elle appelait la pièce à vivre de Coralie, elle l'habilla et la maquilla, comme à l'accoutumé.
Elle fixa Coralie dans les yeux pendant plusieurs secondes, sourit, et lui dit

« -Ma chérie, aujourd'hui je vais te donner une tache spéciale, car il risque d'avoir une personne de plus chez nous.
Vient avec moi. »

En disant cela, elle entraîna Coralie vers l'escalier. Elles montèrent, traversèrent la maison, sortirent, traversèrent le jardin, et arrivèrent devant la porte qui donnait sur la cave, dans laquelle Coralie s'était réveillé après son sommeil forcé au jour de son arrivée.
Sylvie ouvrit la porte, puis entra et descendit l'escalier toujours suivit de Coralie.
Une fois en bas, Coralie s'arrêta, ne sachant où aller. L’obscurité régnait.
Sylvie appuya sur un interrupteur et la lumière s'alluma dans la pièce.
Coralie sursauta immédiatement. Elle comprit pourquoi Sylvie lui avait dit qu'il y aurait une visite.
Au milieu de la pièce, un coffre transparent, comme celui dans lequel elle avait passé un long moment la veille.
À l'intérieur, une jeune fille peut être un peu plus âgée qu'elle, nue,
Complètement momifiée, incapable de bouger, les yeux ouverts, la regardait.

«- Je te présente Élise ma chérie, dit sylvie, je l'ai acheté hier lors de l'exposition à laquelle vous avez toute les deux participées. Et dans laquelle vous vous êtes fait remarquées.
Elle a 28 ans, donc quelques années de plus que toi.
Elle a été mise en vente par son mari qui désirer changer de femme car Élise avait un comportement trop soumise d'après ce qu'il disait.
Il l'a donc amenée après l'avoir endormi, et moi je l'ai acheté.
Elle n'est pas éduquée, mais nous allons remédier à cela ensemble ma chérie non?
- Madame je ne suis que votre humble servante, répondit Coralie, je ferai ce que vous me direz. Même si je ne sais si étant votre soumise j'ai le droit de pouvoir avoir le contrôle de quelqu'un d'autre.
- Non bien sur pas en permanence ma chérie, car Élise n'est pas à toi mais à moi. Cependant nous allons l'éduquer ensemble.
Pour commencer pendant que je vais remplir son dossier, tu vas la délivrer de ce coffre et de ses bandages. Puis tu lui passeras ce collier et ses chaines et tu l'amèneras dans ta demeure.
- Bien madame, il sera fait selon vos désires. »

Coralie baissa la tête.
Sylvie sortit de la pièce.

Coralie restée seule devant le coffre, respira profondément.
L’idée que Sylvie aurait une seconde fille à ses pieds ne l'enchantait guère. non qu'elle soit jalouse d'une autre qui pourrait prendre sa place, mais l'idée qu'une autre jeune fille ce soit fait piégée parce qu'elle avait tendance à se laissée guidé à certains moments, et qu'à présent elle soit contraintes à suivre un chemin tortueux sans pouvoir décider elle même de son avenir, la dégoûtée.
Même si elle aimait Sylvie, car elle savait qu'elle ne pouvait pas le nier, elle en était tombé amoureuse sans s'en rendre compte, elle ne pouvait comprendre qu'avoir quelqu'un sous sa joue était source de plaisir et de bien être.

Elle se décida enfin à ouvrir le coffre, et petit à petit, enleva les bandages entourant la jeune fille.
Une fois complètement libérée la jeune fille frissonnait.
Elle n'osait bouger.
Coralie articula doucement

« À genoux! Dépêche-toi ! »

La jeune fille la regarda interdite.

«- Dépêche toi je t'ai dit. Insista Coralie en rougissant.
Si tu ne veux pas avoir d'ennuis, et que je n'en ai pas non plus, alors obéis.
- Mais, mais qui êtes vous? Demanda élise.
- À genoux et je te réponds s'il te plaît. Reprit Coralie, si elle revient nous sommes très mal je peux te le dire.
- Mais qui reviendrait mais… s’inquiéta élise.
- Chut elle va t'entendre. Souffla la pauvre Coralie un peu affolée.
Aller, s'il te plaît, je te le demande, mets toi à genoux.
- Mais, mais bon très bien mais vous me dites qui vous êtes. »

La jeune fille se mit à genoux lentement
Coralie s'approcha, sourit tristement, puis se mit à genoux à son tour.

« - Je suis Coralie, et je ne te veux pas de mal, bien au contraire tu sais. Et si tu suis et fait et tout ce que l'on te dit, tu n'en aura pas
- Mais que me racontez vous je ne comprends pas. Et où est Bernard?
- Bernard c'est qui?
- Mon mari bien sur?
- Euh je crois bien qu'il n'est pas ici et que tu ne le reverras pas de si tôt.
Tutoie-moi s'il te plaît.
- Si tu veux mais je ne comprends toujours rien.
- Ne t'inquiète pas et ne bouge pas. »

Coralie saisit le collier et le passa autour du cou de la jeune fille, puis le referma. Celle ci tenta de se dérober mais il était déjà trop tard.

« - Et voilà. Je suis désolé mais j'obéis aux ordres.dit tristement Coralie.
- Mais que fais-tu? Vas-tu m'expliquer?
- En fait, tu es chez une dame qui s'appelle Sylvie. Expliqua Coralie.
Elle est devenue ma maîtresse après m'avoir soumise malgré moi, et elle vient de devenir la tienne.
- Pardon? Mais c'est n'importe quoi!
- Malheureusement non.
Il va falloir y aller, sinon je vais me faire taper sur les doigts et toi aussi.
Lève-toi s'il te plaît?
- Mais aller où? Je ne veux pas te suivre, et d'ailleurs je rentre chez moi. »

En disant cela, Élise se leva et fit quelques pas vers la porte.
Coralie lui attrapa le bras et tenta de la retenir.

« Non, non, non, reste s'il te plaît on risque d'avoir de gros ennuis. »

Élise fit un geste de la main pour écarter Coralie.
Celle ci plongea dans ses jambes et la fit tomber.
Avant que la jeune femme pu s'en rendre compte, Coralie, lui passa les menottes autour des chevilles et des poignets.

«- Mais, mais, que fais tu! Relâche-moi, dépêche-toi, allé! S’écria élise.
- Non, non, il faut y aller maintenant aller je t'aide à te mettre debout et tu me suis.
- Mais non mais non!
- Mais si je dois t'emmener et je ne peux pas faire autrement. »

Après plusieurs minutes Coralie réussit enfin à convaincre Élise de la suivre.
Élise se leva et Coralie l'entraina après lui avoir attaché une chaîne au collier.
Elle la guida à l'extérieur, et à travers le jardin et la fit entrer dans la maison. Elle la fit descendre en lui disant à l'oreille
« 
Nous descendons chez nous. »

Arrivée dans la pièce, Coralie s'approcha de Sylvie qui remplissait des papiers à une table, et fit s'agenouiller la pauvre Élise qui ne savait plus du tout quoi faire ni quoi penser.
Elle s'agenouilla à son tour, et se prosterna en disant

«- Madame, dit humblement Coralie, voici Élise que vous avez acquit hier, et que je vous amène.
- Merci ma chérie, c'est bien! Tu es brave et obéissante.dit sylvie satisfaite. »
-
Coralie se redressa et recula lentement

«- Ma chérie, mets toi là dans le coin à genoux, les mains sur la tête, en regardant le mur.
- Bien madame. »

Coralie vint se placer à l'endroit et dans la position demandée.
Sylvie se tourna vers Élise.

« - Alors tu as bien dormie?
- Euh oui mais je ne veux pas rester ici. S’entêta élise.
- Ah bon et tu veux faire quoi?
- Partir et reprendre ma vie.
- Mais ta vie est ici maintenant.
- Mais non!
- Mais si! Regarde Coralie elle est bien ici? N’est ce pas ma chérie?
- Oui madame. Approuva Coralie.
- Mais moi je ne veux pas! Je ne veux… s’écria élise.
- Bon c'est bon maintenant tu te tais! Coupa Sylvie
- Non je ne me tairai pas
- Si tu te tais avant que je me fâche
- Non, non. « 

Sylvie se leva, et au moment où Élise ouvrait la bouche pour parler,
Elle lui appliqua une paire de gifles magistrales.
La jeune femme n'eu pas le temps de réagir,
Qu’elle avait déjà un bâillon qui lui bloquait toute parole.

« Alors maintenant tu vas m'écouter sagement petite saloppe.
Tu n'es plus qu'une esclave une chienne, comme Coralie, et tu me dois obéissance, respect, et soumission.
Lorsque je dis quelque chose, tu n'as pas le droit de discuter. Tu dois accepter et ramper à mes pieds comme une larve que tu es.
Est-ce bien compris? »

Élise ne bougea pas.
En un éclair, elle reçu un coup de cravache sur les fesses.
Elle sursauta mais garda sa position.

« As-tu compris? »

Elle ne bougea toujours pas
Cette fois, elle reçu un coup de cravache sur chaque sein, en plus de deux autres sur les fesses.
Élise tenta de résister encore, mais après quelques minutes, elle Ocha la tête anéantie par les coups de plus en plus violent et fort.

« -Coralie, viens ma chérie! Demanda Sylvie. »

Coralie s'approcha.

« Nous allons la mettre sur cette table là basse. »

Coralie aida Sylvie à porter Élise sur la table. Sylvie attacha la pauvre jeune fille, encore choquée par les coups qu'elle venait de recevoir, les bras et jambes en croix, puis l'épila intégralement.
Elle la détacha, la fit s'asseoir, et se tourna vers Coralie.

« Ma chérie, tu va l'emmener et la laver intégralement. Elle doit être propre pour mettre ses vêtements de poupée. »

Coralie obéit et mena Élise jusqu'à la salle de bain, la fit monter dans la baignoire, et la lava complètement. Élise ne bougeait plus complètement paralysée par la peur et le stress.
Lorsqu’elle fut propre, Coralie la sécha et la fit redescendre dans leur demeure. Elle l'amena près de Sylvie qui l'habilla, et enfin la maquilla.
Coralie regardait cette scène, se remémorant les sensations qu'elle avait éprouvaient lorsqu'elle était pour la première fois à la place même d'Élise.

La journée se déroula sans complications pour Coralie ni pour la pauvre Élise, qui n'osait plus dire ou faire quelque choses de peur de recevoir encore la cravache en retour.

Le soir arriva donc bientôt.

Sylvie fit manger Coralie dans sa gamelle, et en présenta une autre à Élise, qui à contre cœur, dû imiter sa compagne.

Coralie dû sur l'ordre de Sylvie, déshabiller intégralement Élise, puis aida ensuite Sylvie à installer une ceinture comme celle qu'elle portait régulièrement, équipée d'une chaîne passant entre les jambes et remontant entre les fesses afin d'interdire l'accès aux parties intimes de la porteuse.
Une fois Élise équipée, Sylvie montra à Coralie comment tenir les hanches d'Élise.
Coralie maintint donc Élise pendant que Sylvie enfonçait sans trop de douleur les godes dans la chatte et l'anus de la jeun femme.

Celle ci hurla de douleur lorsque le gode perça son anus, mais son hurlement fut étouffer par le bâillon qu'elle portait toujours.

Après avoir complètement verrouiller la ceinture d'Élise, elle lui entravèrent les poignets et les chevilles avec des menottes, puis la firent entrer à quatre pattes dans une cage, à quelques mètres de celle de Coralie, et lui attachèrent les menottes qu'elle portait aux poignets à un anneau sellé au sol.
Elles refermèrent la porte à clé et la double verrouillèrent avec un code que Sylvie composa.
Puis Sylvie prépara Coralie pour la nuit après que celle ci se soit déshabillée. Elle lui passa une ceinture identique à celle d'Elise, en disant:

« Il n'y a pas de raison que tu n'en porte pas si Élise en porte une. »

Puis la fit entrer dans sa cage pour la nuit et lui glissa à l'oreille avant de sortir

« Tu va voir nous allons passer de bons moments à trois. »

Coralie entendit sangloter Élise, et se revit quelques
Mois auparavant lors de ses premières nuit dans cette prison. Puis après quelques minutes elle s'endormit.
Chapitre 9. une nouvelle amie.

Lorsque Coralie se réveilla, l'obscurité régnait encore dans la pièce. Elle entendait la respiration régulière d'Élise.
elle réfléchit à sa pauvre compagne, qui était tombé dans le piège de la réalité de ses comportements enfouis, qui l'avaient conduite ici, et qui ne l'avait fait devenir qu'une chose, un objet, dont on se sert, qu'on apprécie, qu'on casse, si il déplaît, et ne rempli pas sa missions à cent pourcent, et dont on se sert dès qu'on en a plus besoin.
Elle savait très bien qu’elle suivait le même chemin, elle, qui était devenue ce qu'elle n'aurait jamais pu imaginer.
Elle comprenait maintenant, que si Sylvie, un beau jour ne voulais plus d'elle, elle serait vendue, tel une vulgaire peluche, une poupée, et il en serait de même pour son amie.
Coralie ne connaissait pas encore sa camarade, elle n'avait pas pu encore parler avec elle depuis que Sylvie l'avait acheté et faite entrer chez elle, mais elle commençait à l'appréciée. Élise était une jeune femme sensible, jolie, et craintive comme une petite souris dans une cage d'un laboratoire scientifique.
Il y avait maintenant une semaine qu’Élise était arrivée, et les deux femmes ne se croisaient que pour sortir de leurs cages le matin, et y entrer le soir, toute deux bâillonnées, ce qui ne leur permettaient pas de communiquer entre elles.
Coralie, espérait malgré tout, que Sylvie après quelques temps leurs permettrait de travailler ensemble, et qu'elle pourrait apprendre à mieux connaître Élise.
Elle en était là de ses réflexions, quand elle entendit son amie remuait. Ce mouvement lui indiqua qu'elle était également réveillée.
Sylvie descendit bientôt et fit sortir Coralie de sa cage. Elle lui dona à manger, puis l'envoya se laver. Pendant ce temps elle fit sortir Élise, la fit manger, et lui enleva sa ceinture.
Elle la fit monter, et lorsque Coralie fut sortie de la salle de bain, elle la fit entrer pour qu'elle puisse se laver.
Sylvie rejoignit ensuite Coralie, vérifia son épilation, l'habilla de bas blanc transparent, d'un string, d'une guêpière moulante et d'une micro jupe en cuir.
Elle la maquilla et la chaussa de talons aiguilles.
Elle sourit

«- Tu es magnifique comme ça ma chérie.lui dit-elle.
- Merci madame, mais vous êtes d'une beauté qu’on ne peut égaler.
- Flatteuse! Souffla Sylvie.
Dit moi franchement, comment trouve tu Élises?
- Elle est très jolie madame! Vous avez fait un très bon choix.
- Oui ça je le sais. Mais en tant qu'esclave? Reprit Sylvie.
- Je ne saurais vous dire madame. Je ne suis pas digne d'en juger.dit Coralie en baissant la tête.
- Je te le demande ma chérie dit moi.
- Elle est très sensible. Et parfois elle est de ce fait émotionnellement débordée c'est sans doute pour ça qu'elle ne réagit pas forcément comme une soumise comme vous aimez en avoir.
- Moui c'est sans doute vrai. Mais à ton avis peut-elle progresser? Insista Sylvie.
- Je ne saurai vous répondre madame je ne la connais pas plus que vous.
Voulez vous que je lui parle ?
- Que voudrais-tu lui dire? Interrogea Sylvie surprise.
- Je ne sais pas madame mais peut être se confiera-t-elle plus à quelqu'un qui est à son niveau et avec qui elle ne risque pas de sanction directe.
- Oui ça peut être une idée ma chérie. Prononça Sylvie pensive.
Nous allons donc faire ceci. Vous allez travailler ensemble aujourd'hui, et essaie de voir ce qu'elle a dans la tête.
- Bien madame je le ferai si cela peut vous convenir.
- Bien agenouille toi là dans le coin, les mains sur la tête, en regardant le mur, je vais la chercher pour l'habiller et la préparer.
Ne bouge plus, je reviens. »

Sylvie sorti et revint bientôt, accompagnée d'Élise qui la suivait à petit pas.
Celle ci, encore complètement nue, et tentant de cacher sa nudité, avait placée ses mains devant son intimité.
Sylvie la fit asseoir sur la table que Coralie venait de quitter.
Elle l'habilla d'un ensemble de vinyle, qui ne cachait rien de sa poitrine, et de sa fleur dont les formes se devinaient à travers et sous la jupe qu'elle portait. Sylvie la maquilla, et la chaussa, puis elle la fit se mettre à genoux.
Elle appela Coralie et la fit s'agenouiller aux cotés d'Élise.

« Mes chéries, aujourd'hui, vous travailleraient ensemble. Ce matin tache ménagères, et cet après midi, nous verrons, nous ferons peut-être une promenade ou nous jouerons ensemble, tout dépends de votre travail, du temps de mon humeur. Enfin ça dépend de beaucoup de choses, et donc vous le saurez au moment voulu.
Pour l'instant taches ménagères pour toutes les deux.
Je veux que vous nettoyer par terre, au ré de chaussée et que vous fassiez mon lit en changeant les draps. Vous ferez les poussières partout et nous verrons ensuite.
Aller filez maintenant! Exécution!

Les deux jeunes femmes se levèrent et d'un même pas montèrent l'escalier.
Après avoir préparées leurs matériels elles commencèrent à laver par terre.
Coralie montra à Élise la manière dont elle devait s'y prendre pour nettoyer.
Les deux femmes prirent donc leurs serpières et nettoyèrent par terre.
À quatre pattes, elles frottaient le carrelage. Après plusieurs minutes, Coralie s'arrêta et s'épongea le front

«- Il fait chaud non?
- Oui répondit furtivement élise.
- Ça va tu t'en sors?
- Oui
- Tu peux parler tu sais la maîtresse est sortie nous ne risquons rien.dit Coralie en souriant.
- Oui
- Ça n'est pas trop dur?
- Non ça va.
- Non ! Je veux dire tu t'habitue ici?
- Il le faut je crois bien. Soupira élise
- Tu sais la maîtresses n'est pas méchante dans le fond.
- Peut être reprit élise sans conviction.
- Et tu sais, continua Coralie, si tu ne fais pas d'écart, et si tu fais ce qu'elle te demande tu verras qu'elle ne te punira pas pour rien. Et pour ma part j'ai découvert des choses étrangement agréables dont certaines dormaient en moi.
Si la maîtresse a voulu que tu sois là c'est que tu dois en avoir aussi.
- Mais pourquoi devons nous être à son service si elle n'a pas de but négatif?
- Ça je ne le sais pas tellement.
- Et comment es tu arrivée ici? Demanda élise.
- Et bien en fait, j'ai fait sa connaissance sur un chat par internet. Nous avons discutées, liées connaissance, puis amitié, et un soir je me suis confiée et je croie bien maintenant que j'en ai trop dit. Puis nous nous sommes rencontrer près de chez moi. Tout de suite, je ne sais pas pourquoi ni comment l'expliquer, mais j'ai été impressionnée par sa façon d'être. Elle m’a invité à passer une journée chez elle, je suis venue, et lorsque nous avions bu un ou deux verres je me suis évanoui. Lorsque je me suis réveillée elle s'est présentée à moi comme tu la connais, et j'ai dû malgré moi me soumettre. Et toi ? C’est ton mari c'est ça?
- Et bien oui, je crois bien. D’après ce qu’a raconté la maîtresses, ça colle avec ce que j'ai vécu.
J’ai dû il ya 5 ans, subir une intervention chirurgicale, et un an plus tard, de nouveau une intervention de contrôle.
Lorsque je suis entrée pour ce contrôle, je ne me sentais pas à l'aise et les évènements se sont bizarrement passés. J’ai été conduit au bloc opératoire, et à mon réveil je me suis retrouvé complètement impuissante face à des attouchements de la part des infirmiers et des médecins qui m'avaient opérée. J’ai été transférer dans un centre privé, et j'ai subit des examens. Puis, j'ai été réopéré contre mon gré. Lorsque je me suis réveillé de la deuxième intervention, j'étais de nouveau dans l'hôpital dans lequel j'étais entré la veille.
Mon mari était à mes cotés.
Malgré ma position d'impuissance à me défendre contre ses attouchements, ceux ci m'ont procuré des sensations que je ne soupçonnais pas pouvoir exister.
Je ne sais toujours pas si c'était un rêve ou la réalité.
Et puis je suis sorti de l'hôpital. Mais ces sensations me manquaient même si ça n'avait été qu'un rêve, je ressentais le besoin d'éprouver de nouveau ce sentiment d'être impuissante d'une certaines façon, lors de mes moments intimes, j'ai donc fini par en parler à Bernard. Au début il n'a pas tellement compris ce que je voulais.
Nous avons fini par aller voir un conseiller qui nous a questionnés, et après nous avoir écoutés tous les deux, il nous a simplement dit que j'attendais plus à être guidé qu'à guider mon partenaire.
Bernard au début a fait des efforts c'est vrai, mais je crois maintenant que ça a dû lui peser trop. L'autre soir, il m'a préparé pour notre anniversaire de mariage un bon repas.
Et après avoir mangé nous avons bu un verre. Et puis je ne me souviens plus de rien, si ce n'est de me réveiller prisonnière, je ne pouvais plus bouger du tout, j'étais complètement momifiée et enfermé dans une boîte transparente. Au début, j'ai cru que Bernard me faisais une surprise, et que nous allions passer un bon moment si tu vois où je veux en venir. Enfin, on est venu chercher la boite, et on la placer dans un camion avec d'autres femmes enfermé comme moi dans des boites transparentes. Et après un assez long moment, on a descendu la boite dans laquelle j'étais et voilà que j'arrive ici. »

Tout en parlant, les deux jeunes femmes s'étaient remises à leur ouvrage.

«- Mais je ne comprends toujours pas trop la réaction de Bernard, de vouloir se débarrasser comme ça de moi, et pourquoi c'est moi qui ai été choisi. Reprit élise.
- Elle a sans doute eu des informations sur ton passé. Répondit Coralie. Tu sais je crois que la maîtresse n'est pas quelqu'un qui fait les choses sans prendre des renseignements et des précautions. Plus j'y réfléchis et plus je me dis que pour moi, elle m'a enlevée parce qu'elle savait pertinemment que j'étais seule sans aucune famille et aucune attache.
Ta beauté a dû jouée également.
- Oui mais quand tu pense à ce caractère, rétorqua élise, d'après ce que j'ai pu voir, toutes les filles qui étaient dans les boites comme moi, n'étaient pas des laiderons bien au contraire.
- Oui je sais. Dit Coralie en souriant. D’ailleurs j'en faisais parti.
- Ah tu étais donc là ?
- Et oui j'étais là aussi.
- Mais pourtant d'après ce que j'ai compris, tu étais déjà ici avant? S’étonna élise.
- Oui, mais en fait, si tu veux je vais t'expliquer.
De toute façon tu devras passer par là, donc ....
Regarde ! »

En disant cela, Coralie posa sa serpières et fit descendre son haut sur son bras afin de découvrir son épaule.
Élise tourna la tête et voyant l'épaule de Coralie, poussa un cri d'exclamation.et lâcha sa serpières.
Coralie sourit tristement.

«- Mais qu'as tu fais? S’écria élise, Ça veut dire quoi? C’est quoi?
- En fait, répondit Coralie, c'est tout simplement le signe que je ne suis plus une femme libre. Et je crois bien que très prochainement tu auras quelque chose sur l'épaule qui y ressemblera très fortement.
- Mais je ne veux pas! S’indigna son amie.
- Je crois bien que tu n'auras pas le choix ma pauvre. C’est en fait un numéro qui te référence comme esclave, et avec ça sur l'épaule, tu appartiendras toujours à quelqu'un. S’il me prenait l'envie de m'enfuir, et que j’étais retrouvée, je serais arrêtée, on serait d'où je viens et on me ramènerait ici. »

Coralie réajusta son haut, et reprit son travail.

« Et encore j'ai eu de la chance dans mon malheur, reprit-elle, car la maitresse a été bienveillante avec moi. Elle m'a demandé mon avis pour rester ici où non.
- Et tu as dit oui, moi j'aurais dit non. S’écria élise surprise.
- Si j'avais dit non, j'aurais risqué soit, de voir sa décision confortée, car c'est elle qui a quand même le dernier mot. Et si elle m'avait suivie, j'aurais été vendue au marché aux esclaves.
Quand je dis vendue, je veux dire soit à quelqu'un de très riche qui m'aurait certainement considérée comme juste une chose, un paillasson, soit à un bordel, dans lequel j'aurais fini mes jours.
- Oui mais je crois que l'on dise oui où non, on n’est pas bien gâté.
- Oui peut être continua Coralie.
J’ai été tatoué lors de mon premier stage dans la ferme de madame Diane, une amie de la maîtresse. Où tu iras très certainement faire un stage. Puis j'ai eu mon deuxième stage au centre de la jeunesse.
- Parce qu’on a des stages à faire? Demanda élise toujours plus surprise.
- Oui, pour être reconnue comme esclave officiellement, tu dois avoir suivi au moins deux stages qui doivent être validés. Donc tu peux très bien devoir en faire plus. Mais il faut au moins en valider deux.
Et si j'étais dans le même véhicule que toi pour arriver ici, c'est que la maîtresse après être venue me récupérée au centre de la jeunesse, après mon stage, m'a emmené en ville. Et je me suis retrouvé là, comme toi en fin de soirée, momifiée dans une boite transparente. »

Les deux jeunes femmes continuèrent à parler tout en travaillant.
Au fur et à mesure, Élise se détendait. Elle commençait à prendre confiance en Coralie.
Coralie lui décrivit sa vie au quotidien depuis qu'elle était chez sa maîtresse. Élise posait des questions, s'étonnait, et lorsque celle ci apeurée par ce que lui disait Coralie, se figeait de stupéfaction, Coralie savait la rassurer.
Élise, même si elle craignait de subir et de vivre des choses comme celle que Coralie lui décrivaient, sentait néanmoins une sorte d'excitation la parcourir et la chatouiller.

La matinée se poursuivit et s'acheva lentement sur les discussions des jeunes femmes.
Sylvie rentra à son domicile en début d'après midi. Elle entra silencieusement dans la maison.
Elle entendit ses deux soumises parler entre elles. Elle sourit, et s'approcha sans bruit.
Après avoir écouté pendant plusieurs minutes, elle repartit s'asseoir dans un fauteuil au salon.
Elle sonna une clochette.
En entendant le tintement de la clochette, Coralie tressaillit.

«- Qu’est ce que c'est ?demanda élise.
- C’est la maîtresse. Elle est rentrée.dit Coralie.
Viens vite! »

Coralie se leva, et suivie d'Élise, entra dans le salon. Elle vint s'agenouillée aux pieds de Sylvie. Élise imita Coralie.

«- C’est bien mes chéries vous êtes obéissantes, j'apprécie.
Vos taches sont elles finies?
- Pratiquement madame. Répondit Coralie.
- Comment pratiquement? S’étonna Sylvie.
Vous n'avez pas eu le temps de tout faire?
- Euh c'est à dire que...balbutia élise.
- Bon, bon, bon heureusement que j’ai déjeuné en ville et que je ne compte pas sur vous pour le repas. Soupira Sylvie.
Élise, va finir le ménage dépêche toi. Toi Coralie prépare moi un rafraîchissement. »

Sylvie fit une moue de mécontentement.
Les deux jeunes femmes disparurent.

Coralie revint quelques instants après, avec un plateau sur lequel elle avait posé un verre et une boutteille. Elle s'agenouilla aux pieds de Sylvie, et attendit que celle ci lui demande de la servir. Sylvie ne prêta pas attention à elle pendant un moment, plongée dans la lecture d'une brochure qu'elle avait sortie de son sac.
Elle lui dit enfin

«- Vas’ y tu peux servir.
- Merci madame. »

Coralie posa le plateau sur la petite table, remplie le verre, et le présenta à Sylvie.
Celle ci le saisit, et bu. Lorsqu’elle l'eu fini, elle le rendit à Coralie qui le reposa sur le plateau.

«- Désirez-vous un autre verre madame? S’enquit Coralie.
- Non merci tu peux débarrasser. Et lave le verre immédiatement. Répondit Sylvie.
J’ai du matériel à préparer en bas. Rejoignez-moi lorsque vous aurez fini. et pas dans une heure. Dans dix minutes je vous veux en bas.
- Bien madame. »

Coralie se leva et emporta le plateau à la cuisine. Elle le débarrassa, rangea la bouteille, lava et essuya le verre, le rangea et revint dans le salon pour passer un coup de lavette sur la petite table. Sylvie n'était plus là. Elle revint dans la cuisine, rangea la lavette, et rejoignit Élise qui finissait les poussières.

«- Tu crois qu'elle est fâchée?demanda élise.
- Euh je ne sais pas trop si elle est fâchée mais à mon avis on va devoir accepter ses fantaisie de l'après midi. Répondit Coralie.
- Et quelles sont-elles?
- Je n'en sais rien. On ne sait jamais avant d'être sur place et de plus pouvoir y échapper.
Allez rangeons, et descendons elle nous attend. »

Les jeunes femmes débarrassèrent et remirent en place les serpières, les seaux, et les autres choses dont elle avaient eu besoin avant de descendre dans leurs demeures.

Arrivées devant Sylvie, elle se prosternèrent. Sylvie les contempla pendant quelques instants.

« Relevez-vous et déshabillez-vous. »

Elle obtempérèrent, et déposèrent sur la table leurs vêtements correctement pliés, puis reprirent leurs positions de soumission.

« Mesdemoiselles, je ne suis pas contente de vous. Vous avez eu toute la matinée pour faire quelques taches ménagères et vous en avez profité pour trainer ce qui vous as mis en retard.
Mais bon nous verrons comment vous serez sanctionné plus tard.
Pour l'instant je veux tester du matériel que je viens d'acquérir. »

Elle les fit lever et les plaça face à face. Elle relia leurs colliers par une chaîne métallique, leurs entrava les mains dans le dos et entrava également leurs chevilles.
Elle les équipa des ceintures qu'elles avaient porté la nuit même en leurs plaçant des godes métalliques d'un diamètre impressionnant dans leurs cul et leurs vagin. Les jeunes femmes poussèrent de petit cris lorsqu'e les godes pénétrèrent en elles.ell bloqua les godes en verrouillant les ceintures.
Elle plaça ensuite un tube sur chaque téton de Coralie, et plaça l'autre extrémité des tubes sur chaque téton d'Élise. Elle appuya sur un bouton situé sur un boitier placé au centre des tubes.
Immédiatement les deux jeunes femmes poussèrent un petit cri. En sentant leurs tétons aspirés vers l'intérieur des tubes. Elles étaient maintenant reliées par la chaine tendue entre leurs colliers, mais également par les seins.
Elle leurs plaça un gros bâillon à chacune de façon à ce qu'elle ne puissent plus émettre aucun son.

« Vous voilà prête mes chéries.
Vous allez pouvoir tester la machine à faire danser les soumises. »

Elle se recula et s'assis dans un fauteuil un peu plus loin.
Élise regarda Coralie d'un air complètement affolée... celle ci tenta de la rassurer d'un clin d'œil.

Soudain leurs corps fut traversés d'un long spasme. Suivit d'un long gémissement. Les godes qu'elles avaient en elle vibraient.
Leurs corps se tordaient, secoués par des spasmes de plaisir. Elles se tortillaient toute deux en gémissant.
Au plus elles se tortillaient, au plus la douleur sur leurs ceins qui étaient aspiré dans les tubes, se faisait présente, et plus elles gémissaient. Après quelques instants, elles étaient toute deux, complètement crispées par la douleur et l'excitation mélangés.
Après quelques minutes, Élise tomba à genoux et emporta Coralie avec elle
Voyant cela, Sylvie cria

« Debout ! »

Elles tentèrent de se remettre debout, mais retombèrent emportées par un orgasme aussi soudain que violent.
Elles ne tardèrent pas à en avoir un second puis un troisième.
Sylvie fit un geste, et les godes arrêtèrent leurs vibrations infernales.

Les deux pauvres soumises étaient allongées sur le côté, obligé de se faire face, reprenant peu à peu leurs respirations et leurs esprits.
Sylvie appuya sur le bouton, situé sur le boitier placé sur les tubes, et libéra les seins des jeunes femmes.
Elles leur enleva leurs ceintures, et les godes, maintenant profondément implanté en elles. Elles les fit s'agenouiller, et leurs retira leurs baillons.

«- Merci madame s’écria élise.
- Oh oui merci madame de nous avoir permit de monter si haut pour votre plaisir. Réussi à articuler Coralie dans un soupire. »

Elles les fixa en souriant.

« Bien je vois que ce matériel est très efficace.
Maintenant il vous faut nettoyer vos cochonneries. »

Elle présenta devant les deux jeunes femmes, les quatre godes dégoulinant de leurs jus de plaisir, et colorés d'un liquide sombre.

« Vous aller chacune nettoyer les instruments de l'autre. »

Joignant le geste à la parole, elle présenta devant Coralie les godes quelle venait de retirer du corps d'Élise et présenta à Élise ceux qu'elle avait retiré du corps de Coralie.
Elles hésitèrent puis ouvrirent la bouche. Sylvie leur enfourna les godes dedans.
Élise imitait plusse sa nouvelle amie qu’elle obéissait à sa maitresse. Coralie eu une grimace de surprise en sentant le goût étrange qu'avaient les godes
Elle s'appliqua à lécher consciencieusement les godes en tachant d’emporter tout ce qui souillait les instruments.

Une fois fait, Sylvie reprit les godes et les rangea.
Elle se tourna vers ses deux esclaves restées au sol.

« Pour le reste de l'après midi, je vous veux toute deux chiennes, entièrement obéissantes. »


Elles leurs mit une laisse, et les fit monter au ré de chaussée. Les deux filles suivaient comme elle pouvaient à quatre pattes.
Elle sortit dans le jardin, et après avoir détachait ces deux soumise de leurs laisses, elle s'assit dans un fauteuil.
Élise suivit Coralie dans la pelouse.
Celle-ci lui glissa à l'oreille.

« Il vaudrait mieux que tu reste à quelques mètres, afin qu'elle ne voit pas que tu reste à proximité. On risquerait une punition. »

Élise s'écarta donc de quelques pas.

Coralie sentit subitement sa vessie se contracter. Elle savait qu'elle ne devait pas parler.

« Une chienne ne parle pas »
lui avait déjà dit Sylvie.

Elle se dirigea donc vers un coin du jardin et s'accroupit auprès d'un arbre.
Elle se ravisa en entendant Sylvie lui crier.

« Que fais tu ? Une chienne ne se met pas accroupi que je sache! « 

Coralie reprit sa position quadrupédique et dû se soulager ainsi.
Elle vit Élise qui la regardait de loin. Elle rougit.

Elle revint enfin.
Élise se tortillait drôlement. Elle parti rapidement vers le fond du jardin. Elle n'avait pas atteint le fond, lorsqu'elle dû s'arrêter. Coralie compris la cause de ses tortillements, en voyant son amie écarter ses cuisses, et en voyant se dilater puis éclore sa fleur pour laisser passer une masse brunâtre.
Après quelques minutes, élise revint rouge de honte.
Sylvie ravit du comportement de ses soumise sourit.

« C’est très bien mes petites chiennes allez aux pieds! Dépêchez vous. »

Les deux jeunes filles se hâtèrent et arrivèrent bientôt aux pieds de Sylvie. Celle ci caressa les cheveux de ses deux esclaves pendant quelques instants. Elle se redressa et repoussa les deux jeunes filles du bras en disant

« Il va falloir vous nettoyer après ce que vous venez de faire. Vous n'avez qu'à vous nettoyer l'une l'autre. »

Elles se regardèrent entre elles interdites.

« Oui allez petite saloppe vous allez aimer ça j'en suis sûr! Dépêchez vous!
De toute façon, nous ne rentrerons pas, enfin vous ne rentrerez pas avant de vous être nettoyer l'une l'autre, alors exécution! »

Elles se reculèrent d'un pas. Coralie se tourna lentement et présenta le dos de ses cuisses à son amie.
Celle ci se pencha, hésitante, et approchant ses lèvres de l'intimité de Coralie, sortit sa langue.
Lorsqu’elle entra en contact avec son amie, Élise commença à donner des petits coups de langues entre les cuisses qui se présentaient devant elle. Coralie, frémissante sous les attentions d’élise, écarta les cuisses d'avantagent pour lui faciliter sa tache.
Le goût de la sueur intime de son amie ne dégouta pas Élise. Ce qui la surprit d'aimer ce type de saveur qu'elle avait toujours un peu refusé de goûter.
Lorsqu’elle eu fini, elle se retira des cuisses de Coralie, et se tourna à son tour.
Coralie pivota également, et se retrouva le nez pratiquement sur le bouton d'or d'Élise.
Elle insinua sa langue entre les fesses de son amie, et la passa à plusieurs reprises sur ses trous, afin de récupérer les parcelles de la matière qu'avait enfantée sa compagne. Elle eu une grimace de dégoût lorsque ses papilles entrèrent pour la première fois en contact avec cette matière encore molle et fraiche.
Mais surmontant son dégoût, elle continua, et s'activant de sa langue eu bientôt lavé la rée et le trou d'Élise.

Lorsqu’elles se tournèrent vers Sylvie, selle ci était aux anges de voir ses soumises s'humilier de cette façon devant elle.

« Bien nous allons pouvoir rentrer il se fait tard. »

Elle rattacha leurs laisses et les fit rentrer.
Elles les laissa dans l'entrée après avoir attaché leurs laisse à la poignée de la porte, et disparut pour revenir bientôt. Elle leur jeta deux minuscules tabliers de latex blanc.

« Allez enfiler ça ! Dépêchez vous ! Assez joué! »

Elles obéirent une fois que Sylvie les eu détaché.

« Allez ! à) la cuisine pour le diner ! Le programme est au mur ! Exécution ! »

Les deux jeunes femmes se hâtèrent de rejoindre la cuisine, et préparèrent le diner de Sylvie, sans un mot.
Après avoir servit, que Sylvie ait mangée, et avoir débarrassées la table, Sylvie les appela au salon.

Elles s'agenouillèrent puis se prosternèrent aux pieds de celle ci.

« Mes chéries, je voulais vous prévenir que demain matin Élise part pour effectuée son premier stage chez madame Diane.
Elle a accepté de bien vouloir te prendre en apprentissage, et tu devras lui obéir comme si tu lui appartenait.
C’est bien compris ? 
- Oui madame. Répondit élise en baissant la tête.
- ça sera un stage de 4 jours. Tu verras tu y apprendras beaucoup de choses.
Maintenant il faut aller dormir. La journée a été longue pour vous et risque fort d’être aussi dure demain voir plus. »
Elle les fit descendre dans leur demeure, et après les avoir fait se
Déshabiller, mis leur ceintures ainsi que des godes dans leurs vagin et leurs anus, les avoir bâillonné, elles les fit entrer dans leurs cages, les attacha, ferma les portes soigneusement, et sortit enfin.
Coralie tenta de percer l'obscurité de la pièce pour voir son amie, mais n'y parvint qu'à peine.
Elle toussota, son amie lui répondit par un petit bruit identique.
Coralie s'endormit peu après, tout en pensant qu'elle était bien contente d’avoir trouvé une nouvelle amie, avec laquelle elle partagerait toutes ses émotions, et qu'elle ne se sentirait plus aussi seule.
Chapitre 10.écart de conduite.

Coralie se réveilla en entendant du bruit non loin d'elle.
Elle ouvrit les yeux et tenta de percer l'obscurité qui régnait dans la pièce.
Elle se demandait quelle heure il pouvait être, comme à chaque fois qu'elle se réveillait dans cette ombre qui lui perturbait sa notion du temps, des formes, des distances, et de tout ce qui l'entourait.
Elle essaya d'apercevoir son amie, qui se tenait à quelques mètres à peine d'elle, mais ne discerna qu'une forme indistincte immobile.
Elle réfléchit à elle, à Élise, à leurs avenirs, des questions vinrent se bousculer dans son esprit, pourquoi devaient elles être deux à servir la même personne, quel plaisir Sylvie pouvait avoir à diriger et avoir deux filles à son service?
Au plus elle y pensait, au plus elle ne comprenait pas, et au plus sa tête s'emplissait de questions qui restaient sans réponses.
Elle était là plongée dans ses réflexions sans fin de puis plusieurs dizaines de minutes, lorsqu’un bruit la tira de son songe.
Un petit gémissement se fit entendre, auquel elle répondit par un son identique.
Ce bruit, elle l'avait compris, lui signifiait que son amie était réveillait.
Les deux jeunes femmes restèrent immobiles, attendant que Sylvie vienne les délivrer, poussant de bref gémissement pour se manifester l'une à l'autre.
Sylvie arriva enfin, délivra Coralie et la fit monter à la salle de bain, après l'avoir débarrassé de sa ceinture, des godes, de son bâillon, et l'avoir fait mangé dans la traditionnelle gamelle métallique.
Lorsque Coralie fut laver, elle la fit redescendre et délivra Élise, la débarrassa elle aussi de son harnachement, la fit manger, puis la fit monter à son tour à la salle de bain.
Pendant que celle ci se lavait, Sylvie redescendit et habilla Coralie d'un ensemble de cuir, la chaussa, la maquilla, et la fit agenouiller dans un coin avant de sortir de la pièce afin de faire redescendre Élise après sa toilette.
Lorsqu'elle entra dans la pièce, suivit d'Élise, elle la fit avancer, puis lui enfila un bâillon anneau, ce qui ne permit plus à la jeune fille de pouvoir fermer la bouche, ni de parler.
Elle lui fit mettre les poignets au niveau de la nuque, et les relia par une paire de lourdes menottes qu’elle relia à son collier. Elle compléta l'équipement de la jeune fille en lui posant sur le bout de ses seins, de petites pinces desquelles pendaient des petits poids.
La pauvre Élise poussa un cri de surprise, lorsque les mâchoires des pinces vinrent happer ses tétons.
Sylvie relia enfin le collier que portait Élise, depuis son arrivée chez elle, à un anneau scellé dans le mur, par une chaîne assez courte qui obligea la jeune fille à rester debout face à celui-ci.

" Voilà tu es prête pour partir. lui dit-elle, tu n'as plus qu'à attendre que Diane vienne te chercher maintenant."

La jeune fille lui lança un regard interrogatif et anxieux. Elle y répondit par un sourire.

«  Oui ma belle dans cette tenue, de toute façon tu verras que tu ne porteras pas grand-chose de plus pendant ton stage, enfin comme vêtements proprement dit. »

Elle se tourna vers Coralie, toujours agenouillée un peu plus loin, qui regardait la scène en silence.

"- toi, Coralie tu vas commencer les travaux ménagers. Aller exécution!
- bien madame répondit la jeune fille...»

Coralie se releva, et sortit de la pièce. En passant près de son amie, elle lui sourit tristement.
Une fois au ré de chaussée, elle commença à astiquer, à laver, et faire briller tout ce qui se présentait devant elle.
Elle travaillait depuis environs une heure, quand elle entendit la clochette de Sylvie, qui lui demandait de se présenter sans retard.
Elle accourut au salon, et se prosterna devant elle.
Cette dernière lisait une revue et ne s'aperçut pas immédiatement que Coralie se trouvait à ses pieds.
Elle posa sa revue en le voyant, et lui dit :

" Ma chérie, peux tu aller me chercher à boire s'il te plaît?
- oui madame. Répondit Coralie en baissant la tête. Que désirez-vous boire.
- comme d'habitude. Annonça Sylvie en reprenant sa revue...
- bien madame je vous apporte ça."

Coralie se releva, repartit à reculons jusqu'à la porte et entra dans la cuisine. Elle prépara le plateau avec la bouteille et un verre, et l'apporta dans le salon.
Elle s'agenouilla et le posa sur la table.
Elle attendit le signal de Sylvie qui replongée dans sa lecture, lui fit un signe de la main, sans même lever la tête.
Coralie servit le verre et le tendit à Sylvie.
Celle ci reposa sa revue et prit le verre.

"- merci ma chérie."

Elle bu une gorgée.

"- Diane ne va pas tardé à arriver. Reprit-elle. Lorsqu’elle sonnera, tu iras ouvrir, et tu lui offriras un accueil digne de son rang.
- bien madame, je ferai de mon mieux afin de vous satisfaire."

Sylvie finit son verre et le remit dans les mains de Coralie qui attendait docilement.
Elle fit signe que la jeune fille pouvait débarrasser et reprendre ses travaux.
Coralie reposa le verre sur le plateau, emporta celui-ci à la cuisine, où elle lava le verre, le rangea ainsi que la bouteille, et reprit son ménage.
Comme Sylvie le prévoyait, la sonnerie de la grille se fit entendre quelques minutes plus tard.
Coralie posa son balai, sortit de la maison, et trottina jusqu'à la grille. Elle l'ouvrit, pour laisser entrer une camionnette au volant de laquelle se trouvait Diane.
Lorsque le véhicule passa devant elle, la jeune fille fit une révérence. La camionnette s'arrêta, Diane baissa sa vitre, et tendit sa main à travers la portière.
Coralie la saisit et déposa un baisé, en s'inclinant respectueusement.

Diane retira sa main et redémarra pour venir se garer devant le perron.
Coralie revint vers la maison.
Elle arriva près du véhicule au moment où Diane en descendait.
Elle s'agenouilla devant elle et se prosterna.

"- relève-toi! dit Diane en la fixant du regard.
- merci madame. Murmura la jeune fille.
- tu n'as pas changé, déclara Diane, tu es toujours aussi respectueuse, et obéissante. C’est bien.
- merci madame, c'est compliment sont trop d'honneur pour moi. répondit Coralie gênée.
- oui je sais mais je suis trop bonne. Conduit moi à ta maîtresse. Sourit Diane.
- bien madame."

Coralie se releva lentement, puis après une révérence, guida Diane jusqu'au salon où se trouvait Sylvie.
Elle frappa à la porte avant d'entrée dans le salon et baissant la tête, annonça:

"- Madame, voici madame diane qui vient vous rendre visite.
- merci ma chérie. Tu peux retourner à tes travaux. Dit Sylvie en se levant et en allant au devant de son amie.
- bien madame. Souffla Coralie."

Coralie se recula pour laisser entrer Diane, et sortit de la pièce.
Les deux femmes restaient seules, se saluèrent tendrement, s'embrassèrent longuement, avant de s'asseoir.

" - tu as trouvé vraiment la perle non? Commença diane.
- tu veux parler de Coralie? Demanda Sylvie.
- oui naturellement. Elle est respectueuse, docile, obéissante, soumise, toutes les qualités requises.
- oui mais je n'arrive pas à la cernait complètement je trouve que depuis qu'Élise est arrivé, elle est moins stable, elle a l'air d'hésiter, de se poser beaucoup de questions.
- oui en tout cas, ça ne se voit pas dans son comportement à première vue. Déclara Diane.
- oui mais je ne serai pas surprise que je doive la reprendre sous peu. Reprit Sylvie soucieuse.
- peut être. Mais elle est quand même déjà bien dévouée à toi?
- oui ça je ne peux pas le nier."

Les deux femmes discutèrent pendant quelques minutes.
Sylvie sonna la clochette afin d'appeler Coralie. Celle ci arriva aussitôt.

" - Ma chérie, dit-elle, voici la clé de la chaîne qui retient Élise, va la chercher, et amène la ici.
- bien madame. Répondit la jeune fille en baissant la tête. Il sera fait comme vous le désirez."

Coralie saisit la clé en tremblant, que lui tendait Sylvie, et descendit pour rejoindre Élise.
En entrant dans la pièce, elle souffla:
" Élise? C’est moi. "

Elise émit un petit son pour répondre à son amie.
Coralie s'approcha, et détacha la chaîne du mur.
Elle lui murmura tout en saisissant la chaîne reliée au collier:
" Madame Diane est là et la maîtresse veut que tu te présente. Elle m'a chargé de t'emmener. Aller viens."

Elle tira sur la chaîne et guida son amie jusqu'au salon.
Les poids pendus au tétons d'Élise se balançaient et lui arrachaient de petit soupires, et des gémissements.
Coralie frappa à la porte et s'agenouilla devant Sylvie et Diane après avoir fait mettre Élise dans la même position.

" Madame, voici Élise."

Sylvie sourit.
"Bien merci. Répondit-elle.

Diane examina longuement Élise, la parcourant de haut en bas à plusieurs reprises.

"- encore un très bon choix, apparemment. Constata Diane.
- oui je n'ai rien à lui reproché.
- bien nous verrons comment elle se comportera. Reprit Diane.
- oui il faudra sans doute la serrer plus que Coralie, mais elle devrait pouvoir donner quelque chose d'équivalent. Lança Sylvie.
- nous verrons cela. dit Diane. Et se tournant vers Coralie, emmène la à l'extérieur, nous allons l'installer pour le trajet

Coralie se releva, et entraîna son amie à l'extérieur de la maison.
Élise frissonna en sentant le vent frais sur son corps nu. Le contact de ses pieds directement sur le sol la troubla.
Diane les rejoignit, et après avoir ouvert les portes arrières du véhicule, fit basculer une plaque métallique qui forma un plan incliné entre le sol et le planché de la camionnette.
Elle fit signe à Coralie, et celle-ci fit monter Élise dans la camionnette.
Diane monta également et attacha la chaîne que Coralie tenait à une barre du véhicule. Elle redescendit, suivit de Coralie, rangea le plan incliné et ferma les portes en les verrouillant à clés.
Elle rentra dans la maison toujours suivit de Coralie.
Sylvie les attendait dans le salon.

" - tu boiras bien quelque chose ma chère? demanda Sylvie.
- euh oui mais rapidement. Hésita Diane.
- vas nous chercher à boire Coralie. Ordonna Sylvie.
- bien madame. Répondit respectueusement la jeune fille."

Coralie sortit et revint dans la cuisine. Elle regarnit un plateau de bouteilles et de deux verres, et les amena dans le salon.
Elle attendit le signal de Sylvie pour servir et tendit les verres aux deux femmes.
Les deux femmes burent tranquillement en parlant sans faire attention à la jeune fille qui restait agenouillée à leurs pieds, attendant un ordre.
Sylvie lui ordonna de les resservir, ce qu'elle fit.
Après quelques minutes, Coralie pu récupérer les verres et débarrassa le plateau.
Après avoir lavé les verres, et avoir tout rangé, elle retourna à son travail. Elle ne se sentait pas à l'aise, pas comme d'habitude. Elle sentait l'excitation montait en elle sans qu'elle puisse l'arrêter. Voir son amie dans cette position et amener tel un simple animal dans cette camionnette, avait semble-t-il déclencher un plaisir qui la gagner irrésistiblement.

Au salon les deux femmes continuaient à parler.
Au bout de quelques minutes, Diane regarda sa montre et se leva en disant:
" Je vais y aller, je vais aller m'occuper de ta protégée.
- oui très bien ma chère. Répondit Sylvie en souriant."

Les deux femmes s'embrassèrent et se quittèrent sur le perron.
Diane monta dans le véhicule et repartit.
Sylvie regarda la camionnette remonter l'allée et disparaître après avoir passé la grille.
Elle rentra et retourna au salon.
Elle sonna sa clochette.
Elle attendit quelques secondes mais rien ne répondit.
Elle recommença. Toujours seul le silence répondit à son appel.
Elle parcourut la maison à la recherche de Coralie, partagée entre la colère de ne pas se faire obéir, et la crainte que sa protégée ait eu un souci.

Elle la découvrit dans un coin sombre d'une pièce, accroupit, cuisses largement écartées, recroquevillée sur elle-même, poussant de petits gémissements plaintifs.
sur le moment elle ne fit pas attention trop surprise de la position que la jeune fille avait prise, et cru qu'elle avait un problème.
Elle se précipita et la saisit par les épaules.
Lorsqu’elle se pencha sur la jeune fille, elle vit que Coralie tenait dans sa main une balayette et qu'elle avait plongée le manche de l'instrument dans son intimité.
Elle comprit immédiatement ce qui se passait et appliqua deux grandes paires de gifles sur les joues de la pauvre Coralie, qui trop excitée et absorbait par sa tâche, n’avait pas vu sa maîtresses entré dans la pièce.
Elle l'attrapa par les cheveux et la tira à travers la maison jusque dans la pièce qui servait de pièce à vivre à la jeune fille.
Coralie pleurait maintenant en implorant Sylvie de bien vouloir l'excuser et lui pardonner sa faute.
Sylvie empourprée par la colère, ne l'écoutait pas et faisait preuve d'une brutalité que Coralie n'avait jamais vu encore, et qui eu tôt fait de l'effrayer.

"- je vais t'apprendre moi à te faire du bien! Rugissait Sylvie. Je vais te refroidir des envies!"

Elle la fit se déshabiller, et la traîna jusqu'à un coffre qu'elle ouvrit et dans lequel elle fit asseoir la pauvre Coralie.
Elle referma le coffre ne laissant dépasser de cette prison que les bras, la tête de la jeune fille, et le haut de son corps.
Ainsi, les jambes, et le bassin prisonniers, Coralie sentit très vite sa peau se refroidir, et ses muscles se nouer.
La température descendit encore à l'intérieur du coffre, ce qui fit perdre peu à peu toute sensation dans tout le bas du corps de Coralie, qui gémissait toujours en implorant Sylvie de lui pardonner son erreur.
Sylvie ne l'écouta pas, et la laissa seule, pendant une bonne heure.
Lorsqu'elle revint enfin, elle trouva son esclave jégnant toujours, hoquetant, et en reniflant doucement.
Sylvie ouvrit le coffre délivrant Coralie, et laissant apparaître ses jambes marquées de longues traces bleu dû au froid.

" Debout! hurla Sylvie."

La jeune fille tenta de se redresser péniblement et retomba après avoir vacillé pendant quelques secondes.
Voyant son esclave à terre, Sylvie rugit de plus belle.

" Aller dépêche toi debout!"

Coralie parvint tant bien que mal à se mettre debout.
Sylvie la fixait d’un regard noir.

«  Maintenant tu vas aller refermer la grille d’entrée, que tu aurais déjà dû fermer depuis plusieurs heures.  Vociféra-t-elle.
- mais, mais, madame … Bredouilla la jeune fille effrayée.
- - exécution ! cria Sylvie. »

La jeune fille sortit de la maison, toujours nue, et courut vers la grille. Le vent qu’elle sentait sur son corps, la faisait grelottait de plus belle.
Arrivée à la grille elle hésita. Pendant un instant elle se dit qu’elle ferait peut être bien de s’enfuir, mais se reprit immédiatement en pensant à la correction qu’elle venait de recevoir, et à celle qu’elle risquait d’avoir si elle s’enfuyait et si Sylvie la retrouvait.
Elle referma donc en hâte la grille, et revint toujours en courant dans la maison auprès de sa maîtresse.
Sylvie la saisit par le poignet et l'entraina vers un cube dans lequel elle la fit entrer.
Elle lui attacha solidement les chevilles et les poignets, et lui colla sur le visage un masque duquel partait un tube par lequel la jeune fille pouvait respirait.

" Tu resteras là pendant quelques temps ça te permettras de réfléchir sur tes actes, et sur ta situation."

Elle lui enfila un casque sur la tête qui lui obstrua complètement la vue et lui recouvrit les oreilles. Puis elle referma le cube.
La pauvre Coralie était donc complètement immobile, ne voyant et n'entendant plus rien, complètement isolée, livrée à elle même. Elle se remit à pleurer.
Son isolement dura plusieurs heures, qui lui parurent un temps interminable, pendant le quel elle se jura de ne plus succomber à la tentation de ce plaisir, qui l'avait pour la deuxième fois fait tomber dans l'incorrection, et qui avait provoqués la colère et la déception de sa maîtresses.
Lorsque Sylvie vint la délivrer, la jeune fille sortit péniblement, et écouta sans broncher, Sylvie, qui la sermonna longuement.
Puis celle ci la conduisit vers sa cage, l'harnacha, la bâillonna, et l'enferma pour la nuit.

" Pour te faire réfléchir tu ne mangeras pas ce soir. déclara-t-elle."

Elle sortit en fermant la porte à clé.
Coralie ne sentant plus ses muscles, épuisée d'avoir tant pleurer, s'endormit très vite.
Chapitre 11. scéance chez l'esthéticienne.

Il y avait maintenant plus d'une semaine, qu'élise était
parti en stage chez Diane, et la vie pour Coralie n'avait jamais été aussi
longue et si triste.

En effet, depuis qu'elle avait été surprise par Sylvie,
celle ci l'obligeait   à vivre
complètement harnachée, tel que devait l'être son amie au même moment.

Les lanières de cuir qui recouvraient et quadrillaient
son corps, la serraient comme pour lui montrer qu'elle était prisonnière de
leur emprises.

À plusieurs endroits, sa peau était devenue  boursouflé par les frottements
  continus des boucles de métal.

Sylvie, voyant bien que son esclave commençait à changer,
et à perdre sa mine agréable, décida de lui changer les idées.

Un après midi, elle la fit descendre dans sa demeure,
puis la débarrassa de tout son harnachement.

La jeune fille se retrouvait pour la première fois depuis
plusieurs jours, nue devant sa ~maîtresse.

Elle obéissait à Sylvie sans mot dire, sans enthousiasme.

Elle s'agenouilla lorsque Sylvie lui demanda, en adoptant
la position qu'elle avait pris l'habitude de prendre, genoux au sol, cuisses
écartées, mains sur la nuque, gonflant la poitrine, et cambrant un peu les
reins.

Elle baissa la tête.

« - ma chérie, déclara sylvie, je vois que en ce
moment, il y a quelque chose qui ne va pas. alors dit moi tout.
- il n'y a rien madame. Répondit Coralie.
- allons, allons! Insista Sylvie, Je le vois ma chérie
dépêche toi qu'est-ce qu'il y a dans ta tête qui ne te plaît pas? Qui te donne
cette mine   si triste.
- euh il n'y a rien madame. Hésita la jeune fille.
- moi je crois que si. Il y a quelque chose.qui ne tourne
pas correctement dans cette petite tête que j'aime.

Coralie baissa la tête et rougit.
Sylvie caressa la joue de sa protégée tendrement.

- alors ma chérie dit moi ce qui te tracasse.
Souffla tendrement Sylvie.
-   madame, je ne
sais pas, je ne sais plus. Balbutia Coralie.
- tu ne sais pas, tu ne sais plus quoi ma chérie?
- je ne sais plus qui je suis, ce que je dois faire, ce
que je fais, pourquoi je suis là...

Coralie eût les larmes qui lui montèrent aux yeux, et qui
commencèrent à perlaient sur ces joues.
Sylvie s'accroupit et la saisit par les épaules.

« - ma chérie tu te pose beaucoup de questions c'est
tout va; c'est tout. »

Coralie s'effondra dans les bras de Sylvie.
Celle ci la serra contre elle, en la berçant doucement.
Elle l'embrassa tendrement puis vint placer la tête de
Coralie sur sa poitrine et continua à la bercer tendrement en lui parlant tout
bas.
Elle passa sa main dans les cheveux de la jeune fille, et
lui caressa les épaules et le dos du bout de ces doigts.
Coralie mit du temps à se calmer. Lorsqu’elle le fut,
Sylvie d'une main lui releva le menton et la fixa en souriant. Coralie la
regarda les yeux encore mouillés des larmes qu'elle venait de verser. Les
lèvres des deux femmes se rapprochèrent puis se joignirent pendant un long
moment. Leurs langues s'entrelacèrent tandis que leurs respirations s'unirent
pendant quelques instants pour n'en faire plus qu'une.

Après avoir relâché leurs étreintes elles se regardèrent
et Coralie posa sa tête contre Sylvie, telle une petite fille qui cherche la
protection de sa mère.

« - ça va mieux ma puce? Demanda Sylvie.
- oui un peu. Renifla Coralie.
  Merci madame.
- est-ce que ces dernières minutes ont répondues à
quelques une des questions que tu te posais?
- euh oui madame. Je sais que je vous aime et que je
ferai tout pour vous.
- moi aussi je t'aime ma chérie. Même si des fois je suis
un peu brusque avec toi, c'est pour ton bien et pour que tu sois encore plus
heureuse par la suite. Et malgré tes écarts cela ne m'empêche pas de t'aimer.
- merci madame, merci.
- là c'est tout. C’est tout. »

Elles restèrent encore un long moment comme ça, dans les
bras l'une de l'autre.
Sylvie déposa Coralie sur le sol et se redressa.

« - on va s'habiller ma chérie? Demanda-t-elle ?
- oui madame comme vous voulez.
- et je t'emmène en ville chez une amie esthéticienne
afin qu'elle s'occupe de toi. Tu verras ça va te faire le plus grand bien.
- merci madame de penser à moi. »

Coralie grimpa sur la table, et Sylvie sortit des
vêtements qu'elle enfila à sa protégée.
Coralie porta   donc
après quelques minutes,   des bas de satin
blancs, avec un string et un soutient gorge dans la même matière et la même couleur,
ainsi que des portes jarretelles de dentelle, et une robe assez courte au
décolleté plongeant.
Sylvie ne maquilla pas Coralie, jugeant que ça ne
servirait pas à grand chose car elle devrait l'enlever très peu de temps après.
Sylvie lui mit aux pieds une paire de chaussures à talons
aiguilles vertigineux, sur lesquels Coralie eut du mal à maintenir son
équilibre.
Sylvie entraina son esclave hors de la maison et la fit
monter à l'arrière de la voiture après avoir changer sa tenue de cuir moulante
pour un tailleur strict et respectable.

La voiture démarra et les deux femmes roulèrent pendant
plusieurs minutes.

Sylvie gara la voiture dans une rue tranquille et
descendit.
Elle guida Coralie jusqu'à une petite boutique à la
vitrine montrant des modèles de beauté et des flacons de produits corporels.
Sylvie ouvrit la porte et poussa Coralie devant elle.
Elles entrèrent.
Le mouvement de la porte déclencha un carillon.
À ce bruit une jeune femme arriva.

«  - bonjour! Ah Sylvie! S’écria la jeune femme.
- bonjour Armelle.
- je te demande quelques minutes je finis avec une
cliente et je suis à vous. Dit la jeune femme en souriant. Asseyez vous je vous
en prie.
- bien sur ma chère prends ton temps. »

La jeune femme disparut. Sylvie tira Coralie vers des
sièges sur l'un desquels elle prit place.
Coralie resta docilement debout à coté de sa maîtresse.
Après quelques minutes la jeune femme revint dans la
pièce.

« - bien je suis à vous. Dit-elle en refermant la
porte. C’était pour?
- pour mademoiselle... indiqua Sylvie en montrant
Coralie.
- ah oui c'est vrai tu m'en avais parlé.
- oui tout à fait.
- on va passer par ici. Suivez-moi s'il vous plait. »

Sylvie se leva, et suivit de Coralie, emboita le pas à la
jeune femme.
Cette dernière ouvrit une petite porte et fit entrer les
deux femmes.

«  Voilà tu la déshabille complètement et tu la
démaquille si nécessaire.
Je passe de l'autre coté pour vous faire entrer dans le
cabinet. Annonça la jeune femme en montrant une autre porte. »

Au moment où elle s'apprêtait à refermer la porte, le
carillon de la porte d’entrée de la boutique teinta.

«  Je vais voir ce que c'est et j'arrive. 
Murmura-t-elle. »

La porte se ferma.
Sylvie défit et enleva la robe de Coralie, l'accrocha au
porte manteau fixé au mur, puis dégrafa son soutient gorge, ainsi que ses
portes jarretelles. Elle la déchaussa et la débarrassa des bas. Coralie n'était
plus qu'en string que Sylvie lui enleva après avoir plié et rangé les autres
vêtements.

Une porte située face à celle par laquelle les deux
femmes étaient entrées s'ouvrit et la jeune femme apparut.

«  - ça y est elle est prête? Interrogea-t-elle.
- oui. Répondit Sylvie Aller avance par là. »

Coralie suivit de Sylvie entra dans la pièce qui
s'ouvrait devant elle.
Une grande table trônait au milieu, sur les murs des
étagères remplies d'accessoires, de flacons, de tubes....
La jeune femme referma la porte derrière Sylvie et lui
indiqua un siège.
Elle s'approcha ensuite de Coralie et passa ses mains sur
la peau de la jeune fille.

« - voyons, voyons! Elle est très belle. Une très
belle peau. Déclara-t-elle.
- oui je fais attention à ce qu'elle soit bien
entretenue. Répondit Sylvie en souriant.
- oui ça se voit. »

La jeune femme passa et repassa ses mains sur le corps de
Coralie, la palpant, la caressant, pinçant la peau, la pétrissant.

«  Mets-toi sur la table! Ordonna-t-elle. »

Coralie obéit et s'allongea sur le ventre.
Le contact de sa peau sur le plastique de la table la fit
frissonner.
La jeune femme prit un flacon sur une étagère, l'ouvrit,
versa un peu du contenu dans ses mains et commença à étaler une crème sur le
dos et les épaules de Coralie.
 La jeune femme
reprit de la crème dans ses mains et continua à l'étaler sur tout le corps de
la jeune fille.
La crème et le massage des mains sur son
  corps la firent se détendre. Coralie, sentait
sa peau s'assouplir, sous l'effet bénéfique du travail des doigts de la jeune
femme.
Après quelques instants, et lorsque
  le corps de Coralie n'eut plus un centimètre
carré de peau sans crème, la jeune femme la fit se retourner afin que celle-ci
s'allonge sur le dos, et recommença ses massages sur le ventre, les jambes, les
bras, la poitrine, et le visage de Coralie.
Une fois finit, elle se recula, rangea le pot de crème,
puis alla se laver les mains à un petit lavabo dans un coin de la pièce.
Coralie, complètement détendue, restée immobile, les yeux
fermés, essayant d'apprécier ces instants délicieux où l'on s'occupait d'elle
comme si elle était une princesse. Elle savait que ces instants étaient rares,
souvent très courts, et était suivit de moments souvent assez corsés pour elle.
Mais malgré la pensée de ces moments qui se préparaient à être moins
supportables, elle aimait les attentions que Sylvie lui portait.
Sylvie rompit le silence.

« - alors ma chère comment la trouves-tu?
- très franchement? Magnifiquement proportionnée. Déclara
la jeune femme.
- tu vois je ne t'avais pas menti?
- non en effet. Ces anneaux qu’elles portent mettent en
valeur ces tétons et attire l'œil.
- ça c'est l'œuvre de Diane ma chère. Précisa Sylvie.
- ah mademoiselle est passée par les mains de Diane? Oui
c'est vrai qu'on reconnaît la patte de l'experte.
- je crois que je n'aurais pas pu trouver meilleure
experte pour ça. D’ailleurs, mon autre esclave y est en stage en ce moment.
- ah oui je vois je vois.
Bien nous allons vérifier cette pilosité maintenant. Ne
bouge pas ma mignonne. Dit la jeune femme. »

La jeune femme s'approcha, ayant pris un nécessaire sur
une table, et commença à examiner très minutieusement la peau de Coralie.
Lorsqu’elle fut au niveau de son pubis, elle fit écarter
largement les cuisses de Coralie afin de continuer son investigation.
Lorsqu’elle rencontrait un point qui nécessité une
intervention de sa part, Coralie sentait le travail de la jeune femme sur sa
peau.
Une fois le corps de Coralie intégralement vérifié, et
débarrassé de tout poil,   la jeune femme
retourna au lavabo afin de laver son nécessaire.

« - voilà une bonne chose de faite. Déclara t elle
satisfaite. 
-   tu va passer à
quoi maintenant ma chère Armelle? Demanda Sylvie.
- je vais passer dans la pièce réservé aux clientes
particulières. Attends-nous ici. »

Armelle fit relever Coralie et la fit passer dans une
pièce plus petite.
Elle referma la porte derrière elle.
La pièce était beaucoup plus petite, et se composait d’un
WC et d'une baignoire.
Armelle se tourna vers Coralie.

« Va faire tes besoins là! Aller exécution!
Ordonna-t-elle d’une voix soudainement plus dure. »

Coralie la regarda en hésitant pendant quelques secondes,
puis obéit.
Elle eut du mal à exécuter l'ordre qu'elle venait de
recevoir   ne sachant pas faire cela sur
commande.
Après plusieurs minutes, elle y parvint enfin.

« - et bien c'est pas trop tôt! Soupira Armelle.
Aller dans la baignoire! »

Coralie grimpa dans la baignoire, se demandant ce qu'il
allait lui arrivait, et se disant que les moments agréables était fini une fois
encore.

«  À quatre pattes aller dépêche toi! lança
Armelle. »

Coralie s'accroupit et se mit dans la position demandée.
Armelle enfila une paire de gants de latex, sortit pour
revenir avec des produits qu'elle posa non loin d'elle.
Sans ménagement ni préparation, elle introduisit un doigt
entre les fesses de Coralie et transperça son bouton de rose.
Un deuxième doigt suivit, puis un troisième.
Coralie étouffa un cri en sentant cette pénétration
forcée.
Armelle fit tourner ses doigts dans l'anus de la jeune
fille afin de le dilater fortement.
Coralie poussa un gémissement plaintif.
Armelle retira ses doigts et s'empara d'un long tube
qu'elle enfila dans l'anus de la jeune fille.
Elle le brancha ensuite au robinet et fit couler de
l'eau.
Coralie sentit le liquide couler dans son fondement et
remplir son intérieur progressivement.
Armelle arrêta l'eau, débrancha le tube, et saisissant un
flacon, versa le contenu de celui-ci dans le tube. Puis elle le rebrancha au
robinet, et refit couler de l'eau pendant quelques secondes.
Elle retira enfin le tube de l'anus de Coralie, et dona
deux claques sur l'extérieur de ses fesses en disant:
«  Garde ça en toi pendant un moment. On fera un
autre passage de produit pur après. Ça c'est pour t'habituer. Ne bouges plus je
reviens et ne perds rien du produit tant que je n'ai rien dit. »

Armelle sortit, laissant Coralie seule.
Le liquide qu'elle gardait en elle commençait à faire son
effet, car Coralie sentait des sensations étranges dans son abdomen.
Après quelques minutes elle gémissait tant elle avait du
mal à retenir ce produit qui lui arrachait les entrailles.
Lorsqu’Armelle revint Coralie commençait à avoir les
larmes aux yeux.

«  Aller au toilette! Vas te vider! Ordonna
Armelle. »

Coralie ne se fit pas prier, elle se leva et se précipita
sur les toilettes. À peine était elle assise qu'elle se relâcha et sentit le
liquide s'évacuer par son trou.
Le liquide qui s'échappait emportait des fragments
solides, et tombait avec un bruit mou.
Lorsque plus rien ne coula hors du corps de la jeune
fille, Armelle la fit remonter dans la baignoire et réenfila le tube dans son
anus.
Elle versa ensuite du produit directement dans le tube,
et enleva celui-ci. Elle laissa de nouveau Coralie seule pendant plusieurs
minutes.
Le produit recommença son travail et arracha bientôt de
nouveaux gémissements, puis des cris plaintifs à la pauvre jeune fille.
Armelle la fit retourner sur les toilettes pour que la
jeune fille évacue le produit à nouveau.
L’opération se renouvela à plusieurs reprises. Jusqu’à ce
que le produit ressortit complètement limpide du corps de Coralie.
Armelle fit retourner Coralie dans la baignoire, la lava
intégralement et minutieusement, Puis la sécha délicatement.
Elle la fit enfin retourner dans la pièce où Sylvie les
attendait toujours.
Elle la guida vers la table et lui indiqua d'un geste de
reprendre place dessus. Coralie obtempéra.
Armelle s'occupa de Coralie délicatement. Elle lui passa
une lotion sur la peau, lui posa un masque de beauté sur le visage, et soigna
ses ongles.
Coralie était allongée sur la table et se remettait
lentement des douleurs causés par son lavement.
Armelle la fit se mettre sur le ventre.
À peine avait elle changer de position que Sylvie lui
attrapa les mains et Armelle lui saisit les pieds. En quelques secondes elle
fut sanglée cuisses écartées ne pouvant plus bouger.
Armelle passa une sangle au niveau de ses aisselles et
une autre au niveau de ses reins, ce qui empêcha le moindre mouvement à
Coralie.
La jeune fille tourna la tête vers Sylvie, et n'eût pas
le temps de réagir car cette dernière lui ouvrait la bouche et lui enfourner
une balle de latex de laquelle partait un petit tuyau. Sylvie actionna une
petite pompe située à l'autre bout du tuyau, et Coralie sentit la bale gonflait
dans sa bouche. Elle crut que sa mâchoire allait se décrocher tellement la
bouche se gonfla.
Coralie était donc là, allongée sur la table, ne pouvant
plus bouger du tout, et ne pouvant plus émettre le moindre son.

Armelle saisit un appareil et le posa sur le dos de
Coralie, Puis commença à l'aide d'une aiguille à piquer sur la fesse droite de
la jeune fille. Après quelques minutes elle passa à la fesse gauche.
Sylvie observait, et les deux femmes discutaient pendant
qu'Armelle continuait son ouvrage.
La pauvre Coralie mordait la balle qu'elle avait dans la
bouche, tout en déversant de nombreuses larmes tant la douleur de l'aiguille
lui irradié les fesses avec une intensité qu'elle ne supportait plus.
Bientôt la jeune fille arbora sur sa fesse droite l'image
d'un blason fait à l'encre rouge dans lequel apparaissait des symboles étranges
et les lettre : S A D.
Sur la fesses gauche un texte à l'encre bleue où on
pouvait lire :

«  Coralie.
21.533.374u k.
Propriété exclusive de
ME Sylvie DUFRILES »

La jeune fille pleurait toute les larmes de son corps.
Sylvie s'approcha de son visage. Elle s'accroupit afin d'avoir le visage face à
celui de Coralie. Elle lui essuya les yeux avec un mouchoir de soie et
l'embrassa tendrement   en lui caressant
les cheveux.

«  C’est tout ma chérie c'est bientôt fini.
Murmura-t-elle. Tu va être toute belle après tu vas voir. c'est
tout. »

Elle se redressa mais Armelle l'interrompit.

«  Non reste près d'elle et calme la. Je vais poser
le dernier dessin. »

Sylvie se remit au niveau de Coralie et reprit ses caresses.
Sylvie vint poser sa joue sur celle de Coralie et lui
murmura des paroles réconfortantes.
Armelle passa son aiguille sur les lèvres de la chatte de
la jeune fille et fit apparaître les trois lettres S A D sur chacune d'elle.
Lorsqu’elle commença à dessiner, Coralie sursauta, et se
contracta. Sylvie passa ses mains sur les épaules de sa protégée et vint serrer
tendrement la tête de la jeune fille contre elle.
Les larmes avait réapparut dans les yeux de Coralie.
Sylvie la câlina comme si elle aurait câlinée une toute petite fille jusqu'à ce
qu'Armelle ait finit son travail.
Armelle posa des grand pansements sur les dessins qu'elle
venait de faire et libéra Coralie.
Sylvie enleva le bâillon de Coralie après l'avoir
dégonflé au préalable.
Dès que celui ci fut enlevé elle embrassa goulument sa
protégée.
Elle la fit pivoter et la prit dans ses bras. Coralie
agrippa le cou de Sylvie et se blottit contre elle.
Sylvie souleva Coralie, et vint s'asseoir sur un fauteuil
en   posant Coralie sur ses genoux.

« - et bien elle est si traumatisée que ça? S’étonna
Armelle.
- non mais je crois qu'en ce moment, elle a besoin d'être
couvée et d'être câlinée comme ça. Répondit Sylvie. Elle traverse une période
de doute et tu sais comme moi que si le doute s'installe trop après on ne tire
plus rien.
- oui je vois. L’autre n'est pas comme ça j'espère pour
toi?
- ça je verrais bien lorsqu'elle reviendra. répondit
Sylvie en souriant. On va rentrer ma chérie?
- oui madame. Renifla Coralie.
- allons! Allons! Sois courageuse ma chérie tu
verras tu va être toute belle dans quelques jours. Souffla Sylvie en embrassant
la jeune Fille.
- merci madame. Je vous aime, et ferai tout pour vous.
Renifla Coralie.
- moi aussi je t'aime ma chérie. Aller on va te rhabiller
et rentrer. »

Elle se leva, déposa Coralie dans le fauteuil qu'elle
venait de quitter, et s'éloigna pour récupérer les vêtements de la jeune fille.
Elle revint près d'elle et la rhabilla.
Armelle regardait la scène en souriant.

« -allez ma chérie dit merci à Armelle, et nous
rentrons. Demanda Sylvie.
- merci madame de bien avoir voulu vous occupé de
moi   et de m'avoir permis de devenir plus
belle pour ma maîtresse. Articula Coralie doucement. Je vous en suis
reconnaissante.
- mais de rien ma petite Coralie nous aurons l'occasion
de nous revoir. Répondit Armelle. 
- oui madame merci encore. »

Sylvie salua Armelle tendrement, et elle sortit avec
Coralie qui la suivait de très prêt.
Les deux femmes remontèrent en voiture et regagnèrent le
domaine de Sylvie.
Une fois entrée dans la  
maison, Sylvie demanda à Coralie d'aller lui servir un verre.

Coralie obéit et revint avec un plateau sur lequel était
posait un verre et une bouteille.
Sylvie lui fit signe de servir,
  ce que fit la jeune fille.
Après quelques instants, Sylvie montra à Coralie qu'elle
pouvait débarrasser.
Coralie ramena le plateau dans la cuisine, lava le verre,
et rangea la bouteille.
Elle vint se remettre à genoux devant Sylvie.
Celle-ci, entrouvrit ses jambes et indiqua à Coralie de
venir se placer entre celles-ci.
La jeune fille obtempéra. Sylvie écarta largement les
jambes et releva sa jupe. Coralie comprit où sa maîtresse voulait en venir et
approcha sa tête du bas ventre de Sylvie.
Sa langue vint toucher le tissu de la culotte de soie que
portait Sylvie. Après quelques secondes Coralie écartait de deux doigts le
tissu afin de venir plonger sa langue et ses lèvres vers le trésor ultime de sa
maîtresse. Les mouvements du bassin de cette dernière, apparurent après quelques
instants, et augmentèrent rapidement. La respiration de Sylvie s'accéléra, et
après très peu de temps, elle fut secouer par un orgasme brutal, puis un
deuxième de la même intensité.

Elle repoussa la tête de Coralie du revers de la main
pour lui montrer qu'elle en avait assez.
après avoir reprit ses esprits et sa respiration,
elle    saisit sa protégée par les
aisselles et la ramena sur elle. Leurs deux corps s'entrelacèrent et elles
s'embrassèrent longuement.

«  - c'est comme ça que je t'aime et j'aime te voir.
Murmura Sylvie à l’oreille de la jeune fille. Amoureuse, soumise, dévouée,
câline...
- merci madame répondit Coralie en venant se blottir
encore plus contre sa maîtresse.
- c'est tout là. C’est tout. Interrompit Sylvie en
enfouissant sa langue dans la bouche de sa protégée. »

Après une dizaines de minutes, Sylvie décida d'arrêter
pour le moment, et qu'il était temps que toute deux se reposent.
Elle fit descendre Coralie, et après lui avoir donné à
manger, l'avoir fait déshabiller, lui avoir fait passer sa ceinture équipé des
traditionnelles godes métalliques, qui accompagnait désormais
  Coralie dans toutes ses nuits, elle la fit
entrer dans sa cage, et l'enferma en disant :
«  demain est une grosse journée car il va falloir
préparer la maison. Demain je reçois Armelle, et diane qui revient avec
élise;   alors repose toi bien ma
chérie. »

Elle éteignit la lumière et sortit en fermant la porte à
clé.
Coralie, exténuée par les derniers évènements de la
journée, s'endormit très vite, tout en pensant aux instants qu'elle avait passé
dans les bras de Sylvie et pendant lesquels elle s'était sentit protégée et
amoureuse comme jamais elle ne l’avait été auparavant.
chapitre 12. le retour d'élise.

<Il était 8 heures, lorsque Sylvie descendit les escaliers qui la firent rejoindre sa protégée.
Celle ci, recroquevillait dans sa cage, dormait profondément. Son corps complètement nu, hormis les traces de la soirée de la veille, cachées par de grands pansements, semblait ressortir dans l'obscurité de la pièce.
Sylvie la contempla pendant un long moment. C'était la première fois depuis bien longtemps, que sa protégée dormait encore lorsqu'elle arrivait pour la délivrait de sa cage.
Elle ressentait dans le sommeil de la jeune fille, une sérénité, et un repos tranquille qu'elle n'avait pas vu depuis qu'elle avait accueillit Coralie chez elle, et qu'elle l'avait mis à son service.
La ceinture que portait la jeune fille et les godes qu'elle avait en Elle, tendaient et étiraient la peau entourant ses orifices, ce qui les dégager complètement et les mettait bien à la vue de Sylvie.
Celle-ci, sourit et s'accroupit lentement, sans bruit, sur le coté de la cage. Elle approcha sa main et passa ses doigts entre deux barreaux.
Elle toucha le coté de la cuisse de la jeune fille toujours endormie.
Le contact de ses doigts sur la peau lisse et douce de la jeune fille, la fit frissonnait de plaisir, et elle ressentit un imperceptible plaisir montait dans son ventre.
Elle retira ses doigts et déplaça sa main de quelques centimètres avant de les repasser entre deux autres barreaux. Elle frôla de nouveau la peau de la jeune fille.
Coralie ouvrit lentement un œil, encore l'esprit dans ses rêves de la nuit.
Elle ne compris pas immédiatement, mais tournant la tête, elle aperçut Sylvie près d'elle et lui sourit.

"- Bonjour, ma chérie. Dit Sylvie, tu as bien dormis à ce que je vois.
- Bonjour madame, oui je vous remercie.
- On va se préparer?
- Oui madame
- Il y a beaucoup de travail."

Sylvie se déplaça un peu afin de se rapprocher de la porte de la cage qu'elle déverrouilla, puis libéra Coralie de la chaine qui lui entravait les poignets et qui les rattachaient au sol.
La jeune fille sorti lentement de la cage à quartes pattes, en grimaçant, sous la douleur provoquée par ~les mouvements de sa peau encore endolorit des piqures de la veille.
Lorsqu'elle se fut redressée, Sylvie l'accompagna à la salle de bain et lui fit sa toilette, en changeant ses pansements.
Les deux femmes redescendirent une fois Coralie complètement lavée, et les pansements changés.
Sylvie la fit s'asseoir sur la table, et comme à l'accoutumée l'habilla comme, une petite fille habillerait sa poupée.
Elle prépara donc les vêtements qu'elle destinait à sa protégée.
Elle la fit s'allongeait sur la table, avant de lui installer un lange puis de la redresser.

" Tu ne pourras sans doute pas aller te soulager aujourd’hui avec ton travail qui t'attend, et tes pansements qui vont te gêner. Dit-elle. Alors je prends mes précautions."

Elle lui enfila ensuite de longs collants de latex blancs, puis une robe très courte également en latex de couleur bleu, tombant juste sur le haut des cuisses et faisant ressortir les seins de Coralie.
Elle fit apparaître les tétons par les ouvertures prévues à cet effet, en passant les anneaux que portait la jeune fille, par ces dernières.
Elle lui passa aux pieds des petites bottines et les ferma sur les chevilles de Coralie à l'aide d'une chaine Elle même fermée par un cadenas.
Coralie sentit tout de suite que les chaussures était un peu trop petites et qu'elle aurait mal aux pieds, toute la journée.
Sylvie enfila ensuite, de longs gants de latex blancs, aux mains de Coralie, qui remontaient jusqu'au dessus des coudes de cette dernière.
Puis elle lui passa des bracelets sur les avants bras et les verrouilla solidement, empêchant la jeune fille de les enlever, et de ce fait d'enlever les gants.
Elle compléta l'équipement de sa protégée en lui enfonçant sur le crâne un bonnet lui aussi en latex surmonté d'une coiffe de bonne.
Elle se recula, et admira son travail.

" Tu es magnifique comme ça, dit-elle, tu me donne envie."

Coralie ssourrit.
Sylvie s'approcha et les deux femmes s'embrassèrent longuement, en silence.
Coralie ferma les yeux, afin de pouvoir savourait plus profondément encore ce moment, qui maintenant lui procurait un plaisir qu'elle n'avait jamais ressentit auparavant.

" Je te maquille et au boulot après."

La voix de Sylvie sortit la jeune fille de ses pensées.
Elle rouvrit les yeux et vit Sylvie qui s'était éloignée, pour prendre son nécessaire à maquillage.
Après quelques instants, Coralie fut prête, rouge à lèvres proéminant voir provoquant, phares à paupières...

"- Maintenant, dit Sylvie, au travail ma douce! Nous devons préparer la maison pour ce soir. Armelle vient ainsi que Diane car nous devons travailler ensemble sur un projet important, et Élise revient également de son stage.
- Bien madame. Que dois-je faire? demanda Coralie en baissant la tête.
- Tu vas nettoyer la maison de fond en comble, je veux que tout brille, meuble~, sol, vitres...
- Bien madame je le ferai.
- Et ensuite tu viendras ici afin de ranger et de nettoyer également. J'ai l'intension qu'après notre séance de travail, nous puissions nous amuser un peu.
- Bien madame."

Sylvie fit lever Coralie, et celle-ci parti en marchant maladroitement à cause des chaussures trop petites.
La journée passa très vite pour Coralie, qui n'arrêta pas de nettoyer centimètres carré par centimètres carré, chaque pièce, chaque meuble, de la maison.
Au milieu de l'après midi, elle descendit dans sa demeure, comme aimait appeler Sylvie la pièce qui servait à Coralie et à Élise de chambre, et de salle de vie.
Elle y passa le balai, puis lava par terre, et enfin nettoya et rangea chaque objet sur les étagères, sur les murs, sur les présentoirs.
Elle découvrit des instruments, des objets, des machines, qu'elle n'avait encore jamais vu nul part ailleurs, et eu un frisson mêlant terreur et excitation, en pensant qu'elle pourrait peut être un jour, devoir subir la torture de l'un ou l'autre de ces appareils.
Enfin, vers 17 heures, elle remonta.
L'énergie qu'elle avait employée durant la journée, l'avait fait transpirer abondamment, et elle sentait que son corps ruisseler sous ses vêtements.

Sylvie s'était assise dans son canapé, et lisait une revue lorsque Coralie entra, et vint se prosterner à ses pieds.

"- Madame, j'ai fini mes travaux, comme vous me l'aviez demandé.
- Très bien ma chérie. Va à la cuisine mettre le repas en route, puis rejoins-moi à la salle de bain afin que je fasse ta toilette pour ce soir.
- Oui madame j'y vais."

La jeune fille se recula et sortit. Sylvie l'entendit rentrer dans la cuisine et manipuler des plats.
Elle lu encore pendant quelques minutes, posa sa revue, puis se rendit dans la salle de bain.
Coralie la rejoignit quelques instants après.
Sylvie la débarrassa de ses chaussures, de son bonnet, des bracelets, de ses gants, de sa robe ainsi que de ses collants. Elle lui enleva le lange, et constata avec satisfaction, que la jeune fille s'était soulagée, à plusieurs reprises.
Le corps de la jeune fille était constellé de gouttes de sueur, qui perlaient, et coulaient suivant les courbures de sons dos, de ses fesses, de ses cuisses...
Sylvie la lava complètement et la fit descendre dans sa demeure, afin de l'habillait.
Elle ne lui enfila pour tout vêtement, qu'un petit tablier lui couvrant le ventre et le haut des hanches, et des escarpins de vinyle.
Puis elle la maquilla de nouveaux.
Elle la fit remonter et lui ordonna de s'occuper du repas.
Coralie obtempéra sans discuter et disparut dans la cuisine.
Sylvie s'installa dans un fauteuil, repris sa revue, et recommença sa lecture.

Pendant ce temps, Coralie s'afférait dans la cuisine, préparant le repas que Sylvie lui avait indiqué sur le tableau de service.
Lorsque tout fut à peu près prêt, elle dressa la table avec la belle vaisselle, pour trois personnes.
Sa peau encore rafraichi par l'air ambiant et la douche qu'elle venait de prendre, la firent frissonner à plusieurs reprises.
Elle se doutait que lorsque Sylvie avait dit qu'elle désirerait s'amuser avec ses amies, elle devait s'attendre à ce qu'Élise et elle même, doivent subir les fantaisies de ces trois femmes aussi belles que vicieuses.
Elle venait de finir de dresser la table, et était juste revenue dans la cuisine, lorsque l'on sonna à la grande grille d'entrée.
Elle savait pertinemment que se serait à elle d'aller ouvrir, et d'accueillir les invités, mais même si elle y avait pris une certaine habitude, et avait perdu une certaine pudeur, elle redoutait toujours de s'afficher d'une telle façon, au regard éventuel du passant.
Prenant sur elle, elle se dirigea vers la porte d'entrée et prenant la clé de la grille, elle sortit sur le perron.
Elle traversa la grande allée qui reliait la maison à la route, et ouvrit la grille. Une voiture passa devant elle en entrant dans la propriété. Elle s'arrêta au niveau de la jeune fille, et la vitre de la place du conducteur s'abaissa.
Coralie reconnu Armelle, et lui souriant, elle lui fit une révérence en lui disant:

" Bienvenue madame, je suis heureuse de vous accueillir chez ma maîtresse"

Armelle lui rendit son sourire mais ne lui adressa pas un mot. Elle tendit simplement sa main hors de la voiture, passant celle ci par la vitre ouverte.
Coralie s'agenouilla, et saisissant cette main, déposa ses lèvres dessus en marque de respect.
Armelle retira sa main, remonta sa vitre, et démarra.
Coralie referma la grille et remonta l'allée. Armelle l'attendait sur le perron.

"- Bonsoir ma petite Coralie. Dit-elle.
- Bonsoir madame. Je suis heureuse de vous revoir.
- Moi aussi ma petite. Conduit moi à ta maîtresse.
- Bien, tout de suite madame. Si vous voulez bien me suivre?"

Coralie ouvrit la porte de la maison, et entra suivit d'Armelle. Elle referma la porte derrière la jeune femme, puis la guida jusqu'au salon.
Elle frappa à la porte.

" - Entrer! Répondit Sylvie.
- Madame, annonça Coralie en entrant et faisant une révérence, voici Madame Armelle.
- Merci ma chérie. Répondit Sylvie en souriant. Tu peux nous laisser je t'appellerai si j'ai besoin de toi.
- Bien madame."

Coralie fit une révérence, s'inclina, puis sortit.
Armelle s'approcha de son amie, et toute deux se saluèrent tendrement.
Elles s'assirent et commencèrent à discuter.
Une demi heure plus tar, la sonnette retentit à nouveau.
Coralie sortit de nouveau, et rejoignit la grille, l'ouvrit pour laisser passage à la camionnette dans laquelle Diane était venu la fois précédente.
Tout comme la dernière fois, et comme elle l'avait fait avec Armelle, elle fit une révérence lorsque la camionnette s'arrêta devant elle, puis saisit la main que lui tendait Diane et y déposa ses lèvres.
Diane abandonna Coralie en redémarrant, et la laissant sur place.
La jeune fille ferma la grille et revint vers la maison.
Diane l'attendait auprès de la camionnette.
La jeune fille arriva à son niveau, et lui adressa de nouveau une révérence, en lui disant :

" - Bonsoir madame, je suis heureuse de vous revoir.
- Pas autant que moi ma douce Coralie. Je vais faire descendre ton amie. Nous l'attacherons sur le perron en attendant que ta maîtresse donne des consignes à ce sujet. De plus cela lui fera du bien d'être un peu à l'air libre."

Tout en parlant, Diane était passée à l'arrière de la camionnette, et avait ouvert les portes.
Elle fit descendre le plan incliné, et monta à l'intérieur. Elle revint quelques secondes plus tard tirant Élise par une chaine reliée à son collier. La jeune femme avait les poignets entravés par des menottes et portait un gros bâillon dans la bouche.
Lorsque Diane fut descendu du véhicule, et eut attaché la jeune femme à un anneau celle dans le mur de la maison, elle revint et referma son véhicule.
Coralie n'avait jusqu'à présent pas osé regarder son amie, mais lorsqu'elle le fit, elle tressaillit.

Élise portait sur l'épaule ce qui pouvait être une combinaison de chiffres ou de lettres. Ceci ne l'étonna pas outre mesure, mais ce qui la surprit fut les pansements qu'Élise portait sur les tétons, et au niveau de son intimité.

" Ma pauvre Élise, se dit elle, alors toi aussi tu es passé par là?"

Lorsqu'Élise fut de dos par apport à elle, elle cru vraiment qu'elle allait défaillir. Sur les fesses de la jeune femme, des tatouages, semblant marquer son corps au plus profond.
Diane la sortit de sa méditation et de sa surprise.

" - Bien conduit moi à ta maîtresse.
- Bien madame, tout de suite. Répondit Coralie en se redressant, et s'efforçant de faire bonne figure."

Coralie conduisit Diane jusqu'au salon, et l'annonça de la même façon qu'elle avait annoncée Armelle. Puis sur l'ordre de Sylvie, elle repartit dans la cuisine.

Elle fut rappelée par la cloche de Sylvie quelques minutes après.
A peine était elle rentré dans la pièce, que Sylvie lui lança :

" Ma chérie, sert nous à boire! Dépêche-toi! Apporte-nous du champagne."

Coralie, comprenant qu'elle ne devait pas faire attendre les femmes qu'elle devait servir, disparut dans la cuisine, et revint bientôt avec un plateau, sur lequel, trônait trois verres, une bouteille de champagne dans son sceau, et quelques coupelles qu'elle avait garnit de biscuits.
Elle le déposa sur la table en s'agenouillant, et attendit.
Sylvie lui fit signe, Coralie servit les verres avant de les présentés aux femmes, qui discutant, ne se préoccupaient même pas de la jeune fille.
Elle attendit les consignes, et obéit lorsque Sylvie lui fit signe de resservir un verre et de présenter les coupelles aux convives.
Elle dut ensuite débarrasser son plateau, et le ramena dans la cuisine.
Quelques minutes plus tard, elle fut rappelé, et arrivant dans le salon, Sylvie lui fit signe qu'elle et ses invités allaient passer à table.
Elle prépara donc les plats à servir dans la cuisine, et lorsque les trois femmes se furent installées autour de la table, elle les servit.
Lorsque le repas fut finit, elle débarrassa la table.
Sylvie la regarda, et lui dit :

" Ma chérie, une fois que tu auras fini de débarrasser, tu iras chercher Élise, et tu la conduiras à la salle de bain afin de la nettoyer, voici les clés de son bâillon et de ses menottes. Puis vous descendrez et nous attendrez sagement là bas. Nous devons travailler un peu avant de penser à nous amuser."

La jeune fille acquiesça, et repartit dans la cuisine, les bras chargés de plats.
Lorsqu'elle revint dans la salle à manger, les trois femmes avait disparut.
Coralie finit de débarrasser, et après avoir nettoyé la table, elle sortit sur le perron.
Elle s'approcha de son amie.
Elle la frôla.
Élise sursauta

" C'est moi chut. Dit Coralie. Aller viens ma puce."

Elle détacha la chaine du mur, et emmena Élise dans la salle de bain, la délivra de ses menottes et de son bâillon, la fit monter dans la baignoire, et la lava minutieusement.
Le stage de deux semaines que venait de faire Élise, était visible sur son corps.
Celui-ci était marqué par de longue traces rouges, qui semblaient être les restes des coups de cravache ou de fouets qu'avait du recevoir son amie. Il était également taché de marques sombres qui partait petit à petit au fur et à mesure que Coralie frottait.
Elle se rendit compte, qu'il s'agissait de traces de boue ou d'excréments, qui avait séchés sur la peau de la jeune femme.
L'odeur que cette dernière portait, Coralie la reconnaissait, c'était l'odeur du foin, du bétail, du box dans lequel elle avait elle-même passé plusieurs nuits lors de son propre séjour chez Diane.
Peu à peu, le corps d'Élise retrouva une apparence normale, et une odeur plus digne de la jeune femme.
Coralie dit à son amie.

" Je vais te passer le rasoir, et l'épilateur, car si la maîtresses te vois comme ça, avec la toison qui t'es revenu, elle ne sera pas ravi."


Ainsi fut fait. Élise retrouvait, grâce à son amie, l'apparence physique qu'elle avait lorsqu'elle avait quitté la demeure de Sylvie, pour partir en stage.
Il ne restait plus à présent, que les traces rouges qui zébraient le corps de la jeune fille, pour attester de son passage chez Diane.

" - Voilà tu es toute propre. Dit Coralie en tendant une serviette à son amie.
- Merci ma puce. Répondit Élise. Tu sais, ça a été terrible pour moi.
- Oui je sais, chut, on pourrait nous entendre. On va descendre et nous pourrons parler plus tranquillement. Nous devons attendre ses dames en bas."

Une fois Élise séchée, les deux femmes sortirent de la salle de bain, et descendirent l'escalier, qui les amena dans leurs demeures.
Coralie s'assit dans un coin par terre, et invita Élise à venir s'asseoir près d'elle.

"- Alors, raconte? Demanda-t-elle.
- Ce fut dur, très dur. Lorsque je suis arrivé, on m'a tout d'abord emmené dans un box comme pour les chevaux.
Puis on m'a passé un truc autour de la tête, et on m'a attaché à un anneau dans le mur.
On m'a laissé là je ne sais combien de temps, et puis on est venu enfin me chercher.
J'ai été conduite dans une pièce, ou j'ai été jeté, c'est le mot, sur une table sur laquelle je me suis retrouvé complètement attachée, sans m'en rendre compte, et sans pouvoir résister.
Et puis voilà le résultat."

En disant cela, Élise montra son épaule puis ses fesses.

"- Mais! C'est! S'écria Coralie, en regardant le tatouage qui apparaissait sur l'épaule d'Élise.
- Oui, c'est pratiquement le même que celui-ci. Répondit Élise, en désignant l'épaule de Coralie.
- Mais, mais, ils sont...
- Non ils ne sont pas pareils, puisque se sont des numéros de références.
- Oui c'est vrai je n'y pensais plus.
- Le plus douloureux, ça n'a pas était celui là, mais plutôt celui fait ici. Ajouta Élise en s'allongeant, et écartant les cuisses, faisant apparaître sa fente et trois lettres tatouées sur chacune des lèvres de son intimité (S A D).
- Mais! Mais! Mais....
- Quoi, quoi?
- Mais, je crois qu'on m'a posé les mêmes lettre, hier même. En tout cas, c'était au même endroit.
- Ah oui?
- Oui je te le dis. Mais vas’ y, reprend ton récit s'il te plait.
- Bien, alors, après ça on m'a ramené dans mon box. J'ai compris que c'est là que je dormirai. J'ai demandé pour aller au toilette, mais on m'a répondu : tu n'a qu'à faire dans un coin.
Du coup, j'ai passé toute mes nuits, là, attachée à cet anneau dans le mur, avec une chaine juste assez longue pour faire quelques pas et pour m'allonger.
- Oui j'ai eu le même traitement. Acquiesça Coralie.
- Le jour d'après, on m'a harnaché, avec quoi, je ne saurai pas te le dire ou te le décrire, mais j'avais bientôt des sangles partout. Mes poignets était reliés à ma taille, et on m'a forcé à ouvrir la bouche, pour m'enfourner un mord, et qu'on a fixé derrière ma tête. On m'a fait enfiler des bottes, dix fois trop petites pour moi, que je ne pouvais plus enlever, et qui pesaient très lourds
On m'a fait courir, marcher, m'arrêter, durant les jours suivants, en me cravachant quand j'allais trop vite, ou pas assez, selon leurs goûts.
On m'a attelé avec d'autres jeunes filles, et nous avons dû à plusieurs reprises, tirer soit une calèche dans laquelle venait s'asseoir Diane, seule, ou accompagné de ses amies, ou des machines, ou des charrettes pour les champs. Je me souviens même qu'un jour nous avons dû tirer une charrette, dans laquelle se trouvait deux jeunes filles que Diane voulait vendre au marché aux esclaves, et nous sommes revenus avec trois autres filles, qui ont dû subir le même traitement que moi.
Les jours ont passés comme ça, il y en a même où je me suis effondrée juste après avoir mangé, dans la paille et me suis éveillait lorsqu'on venait me cherchait le lendemain.
Et puis je crois que ça devait être avant hier, on m'a débarrassé du harnais, et on m'a amené dans une grande pièce, où on m'a fait une piqure, et là je me suis endormi.
Quand je me suis réveillé, je me suis vu avec ses pansements, et des douleurs presque insoutenables. Je crois bien, que tout comme toi, j'ai cela. Dit-elle, en désignant les anneaux qui pendaient aux tétons de Coralie.
- Euh, oui je crois bien, en effet.
- Mais toi? Qu'as tu fait pendant que j'étais parti? Demanda Élise.
- Euh, moi? Pas grand choses tu sais.
Appart le jour où tu es partie, et où j'ai voulu me soulager un peu, et que la maîtresse ma surprise, et m'a puni, il n'ya rien eu jusqu'à hier.
La maîtresses a du voir que je ne me sentait pas bien, alors elle m'a emmené chez l'esthéticienne, où j'ai eu droit, je crois, aux meilleurs massages et soins de toute la terre, mais aussi aux pires tortures.
(- Ah bon?
- Oui, et ça ne m'étonnerai pas que tu y es droit, ou même qu'on y est toute les deux droit ce soir.
- Pourquoi ce soir?
- Parce que tout simplement, la maîtresse reçoit madame Diane, comme tu le sais, mais également, madame Armelle qui est l'esthéticienne.
- Oh là, oui, ça ne présage rien de bon pour nous.
- Je ne crois pas non plus."

Elles étaient là à parler, lorsque la porte s'ouvrit en haut des escaliers.
Les deux jeunes filles se redressèrent, se mirent à genoux face au mur, la main sur la nuque, cuisses écartées, qui mettaient à nue leurs fentes intimes, imberbes, de tous poils.

Les trois femmes arrivèrent en bas de l'escalier. Sylvie dénoua le tablier de Coralie, et celui-ci tomba au sol, laissant apparaître les hanches de la jeune fille.
Armelle s'exclama en fixant les fesses d'Élise :

" - Mais c'est que tu as réussi à faire quelque chose de très réussi!
- Oui, je suis assez contente de moi. Répondit Diane.
- Oui, tu peux l'être, ma chère. Continua Sylvie. C'est parfait.
- Puis-je voir le résultat sur la belle Coralie? Demanda Diane.
- Oui, bien sur, Vassy! Dit Sylvie en souriant."

Diane s'approcha, et arracha brutalement les pansements qui recouvraient les fesses de la jeune fille.

" - Eh! Mais c'est que toi aussi tu as fait du beau travail ma chère Armelle. Dit Diane en se reculant pour admirer.
- Oui, ça va, c'est correct. Acquiesça Armelle.
- Est-ce que vous croyez que les pansements qu'elles portent chacune, sont vraiment nécessaires? Demanda Sylvie.
- Euh, pour Élise, je pense que les pansements ne sont plus utiles, non. Ça a eu le temps de cicatriser. Répondit Diane.
- Pour Coralie, ça m'a l'air d'être bon également. Reprit Armelle. Il ne faudra pas utiliser nos instruments à cet endroit là, pour ne pas trop exciter la sensibilité de sa peau encore fragile."

Et comme pour vérifier ses paroles, elle passa sa main sur les fesses de la jeune fille. Celle-ci frémit imperceptiblement. Après quelques caresses, elle tapota de sa main le cul de Coralie, et augmenta progressivement l'intensité de ses coups. Très vite, la jeune fille poussa des gémissements de douleurs.

" Voyez mesdames, dit Armelle, elle est encore bien sensible du cul."

Coralie se relâcha, lorsque la main d'Armelle se retira.
Sylvie s'approcha d'Élise, et lui passa la main dans les cheveux très doucement.

" - Comment a-t-elle été pendant son stage? Demanda-t-elle?
- Dans l'ensemble, assez bien et obéissante.
Parfois un peu entêtée, mais soit elle a laissé tombé assez vite, soit il a fallut lui remettre les idées en place.
- Je t'avais dis qu'elle serait un peu moins coopérative.
- Oui, mais c'est bien, ça prouve qu'elle garde certains traits de caractère, et c'est important tout de même.
- Que veux-tu dire? Demanda Sylvie.
- Je veux simplement dire, répondit Diane, que c'est mieux si elles gardent un peu de rébellion en elle. Quelqu'un qui ne résiste pas, qui accepte tout sans broncher, qui ne réagit pas, à force ça n'est plus agréable, non?
- Oui c'est sûr. Acquiesça Armelle.
- Mais, dit Sylvie, tu trouves que, que ce soit Élise ou Coralie, elle garde une trace de rébellion? Pour Élise, à la limite, je veux bien te croire, tu l'as eu pendant deux semaines avec toi, mais Coralie?
- Souviens toi ma chère, intervint Armelle, lorsque vous êtes venu à la boutique, et lorsque je lui ai tatoué les fesses et les lèvres, heureusement qu'elle était attachée, non?
- Euh, oui.
- Si elle a pleuré, et si elle l'avait pu elle aurait très certainement hurlé, c'est pourquoi? Parce que même si elle essayait de faire bonne figure devant toi, elle n'acceptait pas complètement ce qu'elle subissait.
- Je suis tout à fait d'accord. Reprit Diane.
- Oui, vous avez sans doute raison. Enfin, l'important c'est que ces deux belles créatures m'appartiennent, et soient les premières du réseau SAD."

Coralie écoutait la discussion des trois femmes, mais ne saisissait pas tout le sens de leurs vocabulaire. L'expression, réseau SAD, la frappa. Et lui resta dans la tête.
Elle regarda à la dérobée son amie, à genoux non loin d'elle. Celle-ci ne semblait pas se préoccupait de la discussion, elle semblait au contraire perdu dans ses propres pensées, les yeux dans le vague.
Coralie entendit un sifflement, et eu juste le temps d'apercevoir le bout d'une cravache frappait la hanche d'Élise.
Celle-ci se contracta, en lançant sa tête vers l'arrière, et en poussant un gémissement plaintif.
Un autre coup lui cingla l'autre hanche, ce qui provoqua une autre torsion du corps de la jeune femme.
Coralie se risqua à tourner la tête, pour voir ce qu'il se passait, mais au moment où, elle pivota un peu le menton, elle reçu à son tour, un coup qui vint laisser une longue trace rouge sur le coté de son sein gauche.

" Est-ce qu'on t'a demandé de participer? Qui t'as dit que tu pouvais regarder?
Hurla Armelle, dans l'oreille de la jeune fille.
- Debout cria Sylvie."

Coralie obéit, et fut tirer jusqu'à un mur de la salle.
Elle fut, en un clin d'œil, liée, les bras et les jambes écartés, sur une immense plaque de bois épais.
Quelques secondes après, Coralie sentit qu'elle pivotait, et se retrouva bientôt tête en bas, complètement paralysé par ses liens.

" Ah tu veux regarder? S'écria Sylvie, je vais t'en donner la liberté, pendant que nous nous occupons d'Élise. Tu auras tout le temps d'observer la situation de la où tu seras."


Sylvie s'approcha, et enfonça sans ménagement, un énorme gode dans le cul et un autre dans la fente de la jeune fille, se recula, appuya sur un interrupteur, puis la plaque monta et la pauvre Coralie se vit prêt du plafond.
Immobile, ne pouvant plus bouger, et rempli par les engins qui la dilater petit à petit, elle ne pu échapper à la scène dont Élise devenait la principale protagoniste.

Tout d'abord, Diane se saisit de lourdes menottes, et les passa aux chevilles, et aux poignets d'Élise en les plaçant dans son dos. Elle la fit se retourner, et lui banda les yeux. Les trois femmes vinrent chacune leurs tour, la cravacher, de dix coups chacune, sur sa poitrine.
La jeune femme pleurait, en implorant ses bourreaux, d'arrêter son supplices.
Mais les trois femmes ne l'entendaient pas comme cela.
Armelle l'attrapa ensuite par les cheveux, et l'amena vers une machine que Coralie avait croisée lors de son rangement de la journée, mais qu'elle ne connaissait pas.
Armelle fit allonger la jeune femme sur une longue planche, sur laquelle elle la sangla, et lui retira son bandeau.

" - Tu as déjà gouté à la douche d'or? Lui demanda-t-elle, en souriant et en la fixant droit dans les yeux.
- Euh, non, euh, c'est quoi, euh, non... Tenta d'articuler Élise entre deux sanglots, les yeux pleins de larmes.
- Tu va voir, c'est agréable. Ne t'inquiète pas."

Armelle lui écarta les mâchoires, et lui plaça deux barres dans la bouche, l'obligeant à garder celle-ci grande ouverte.
Puis elle poussa la planche, qui coulissa et le corps d'Élise disparut dans la machine.
La tête de la jeune femme réapparut sous une trappe, Armelle souleva cette dernière, et vint s'asseoir en plaquant pratiquement sa vulve contre la bouche de la jeune femme.

" Tiens, reçois la douche d'or ! S'écria Armelle."

Quelques secondes après, on entendit un gémissement de la part d'Élise, puis elle se mit à tousser.

" - Bois ma fille, bois! Vociféra Armelle. "

Coralie ne comprenait pas tout de ce qui se passait, mais eu les explications qui lui manquaient lorsqu'Armelle se leva, avant de se replacer, toujours en appuyant sa fente contre le visage de la pauvre Élise.
Coralie pu entrevoir le visage d'Élise, lorsqu'Armelle se releva. Son visage était inondé d'un liquide jaune, dont un long filet coulé des lèvres de la jeune femme.
Elle compris qu'Armelle venait de se soulager dans la bouche même de la pauvre Élise, qui ne pouvant éviter ce jet acide, avait tout reçu de plein fouet, et en avait même du avaler quelques gorgée.

" Lèche et nettoie moi ça, espèce de vicieuse! S'esclaffa Armelle, au comble de l'excitation."

La pauvre Élise, anéantie par ce traitement, et ne pouvant faire autrement, se mit à nettoyer la fente, la naissance des cuisses, et le con qui se présentaient devant sa bouche.
Une fois qu'elle eu finit, et qu'Armelle eu joui, en déversant son jus de chatte dans la bouche d'Élise, la pauvre jeune femme du nettoyer à nouveau l'instrument à plaisir de sa maîtresse temporaire. Armelle se leva, remit sa robe, et actionna une manette qui fit ressortir la planche sur laquelle Élise se trouvait. Elle la libéra, la fit se lever, et la jeta littéralement vers Diane.
Élise tomba à genoux, à bout de souffle.
Diane la tira vers un chevalet, sur lequel elle l'installa.
La jeune femme était à présent penchée, les bras et les jambes écartées, solidement arrimé au chevalet, ne pouvant plus bouger du tout pour la deuxième fois en 10 minute de temps, le cul bien offert, et largement ouvert.
Diane lui enleva le bâillon que la jeune femme portait encore, et lui présenta un gode boursoufflé à certains endroits, et piqueté de clous en caoutchouc assez dur.

" - Si tu veux atténuer la douleur, il faudra bien le lubrifier avec ta salive! Lui dit-elle sur un ton cynique."

Les yeux d'Élise, qui ne désemplissaient pas de larmes, brillèrent de peur.
Sans attendre, Diane enfonça le gode dans la bouche d'Elise, et effectua des va et viens pendant 2 à trois minutes.
Le godes devait mesurer une trentaine de centimètre de long, et devait atteindre à certains endroits le diamètre impressionnant d'une cannette de soda.
Soudain, Diane tira brutalement sur le gode et le retira de la bouche de la pauvre Élise.

" Oh! Mais c'est que tu salive bien! Dit Diane en observant l'instrument recouvert d'une épaisse couche de salive."

Elle vint se placer derrière Élise, et fixa à sa taille, une ceinture sur laquelle, elle attacha le gode.
Puis elle s'approcha en guidant le bout de l'instrument vers la rondelle de la jeune femme, et en venant le poser dessus.
D'un mouvement de reins, elle transperça la fleur d'Élise, qui poussa un cri strident.
Puis elle effectua des vas et viens, de plus en plus rapides, et de plus en plus grands;
Élise hurlait, en implorant Diane de la laisser, d'arrêter cette torture.
Celle-ci ne tint pas compte des plaintes de la jeune femme.
Petit à petit, les cri de la jeune femme, furent remplacé par des gémissements mêlant douleur, et plaisir.
Enfin, le corps d'Élise se cambra, emporté par un orgasme foudroyant, puis retomba. Il fut aussitôt remporté par un deuxième orgasme tout aussi intense.
Diane se retira, laissant la jeune femme inerte, haletante, et ok tante des spasmes qui venaient de la traverser.
Diane détacha le gode de la ceinture et le considéra.

" Bah! Il est dégoutant! Dit-elle avec un dégoût déguisé, tu vas me nettoyer tes saletés."

En disant cela, elle s'approcha de la tête de la jeune femme, et enfonça de nouveau l'instrument dans sa bouche.
La pauvre jeune femme, passa sa langue sur l'instrument sans réfléchir et emporta des bouts de matières molles pris dans les clous de caoutchouc. Elle était néanmoins sure, de ne pas les avoir sentit lors de la première introduction de cet instruments dans sa bouche, et compris qu'il s'agissait de quelque matière venant de son fondement.
Elle tenta de les cracher, mais Diane enfonça le gode encore plus profondément vers le fond de sa gorge, ce qui lui demanda un gros effort. Elle du donc avaler ses matières infâmes, qui la dégoutaient, au plus haut point.
Lorsque Diane retira l'instrument de sa bouche, il était complètement propre. Diane délivra Élise, et la tira jusqu'à Sylvie, qui la pris dans ses bras tendrement.
Elle la berça doucement, en lui murmurant des paroles douce dans l'oreille.
Élise se blottit contre elle, et fondit en larmes.

" - Là c'est tout ma chérie. Dit Sylvie calmement, doucement, calme toi.
- Madame, madame...
- C'est tout, c'est tout, tu as été très bien. Je suis fière de toi.
- Je ne veux pas, je ne veux pas...
- C'est tout, c'est tout... Répéta Sylvie, en embrassant langoureusement la jeune femme."

Élise se blottit encore plus dans les bras de Sylvie, et ferma les yeux, en serrant le corps de sa maîtresse pour lui montrer qu'elle ne voulait plus la lâcher.

" C'et tout, c'est finit. Dit Sylvie. Doucement là voilà calme-toi."

La jeune femme se calma peu à peu, après plusieurs minutes.
Elle sursauta en entendant un long soupire.
Elle ouvrit les yeux, et aperçut son amie, toujours la tête en bas, attachée sur la plaque, descendre et arrivée à 1 mètre du sol, Armelle s'approcha et appuya sur un bouton d'une télécommande.
Un spasme parcourut le corps de Coralie, Puis un autre. La jeune fille soupira, puis gémit de plus en plus vite, et de plus en plus fort. Ses traits se crispaient à chaque gémissement, et bientôt tout son corps se contracta, et elle fut emportée à son tour par un violent orgasme, puis un second, et un troisième. Armelle appuya sur un autre bouton, et la jeune fille retrouva bientôt son souffle.
Puis elle fit redescendre la jeune fille, lui remit la tête à l'endroit, et la libéra de ses liens.
Les trois femmes donnèrent à mangé au deux jeunes femmes, les équipèrent de leurs ceintures à godes, les firent entrée dans leurs cages, verrouillèrent les portes, puis sortirent.

Coralie Se risqua à appeler son amie.

" - Élise?
- Oui. Murmura Élise.
- ça va?
- Euh tout dépend.
- Euh je veux dire... Hésita Coralie.
- Oui ça peut aller. J'ai mal partout, je ne sens plus mon trou, j'ai un mauvais goût dans la bouche, mais ça va."
- Tu as été très courageuse, et je crois sincèrement que la maîtresse était vraiment fière de toi.
- Tu crois?
- Très franchement oui.
- De toute façon, je ne vois pas ce que ça changerai, je ne crois pas qu'elle m'aime.
- Tu sais, si elle ne t'aimais pas, elle ne t'aurais pas pris dans ses bras et ne t'aurais pas réconforté comme ça.
- Tu es sûr?
- Oui bien sur. Je crois qu'elle a voulu faire ça se soir pour te tester, voir si ton stage chez madame Diane t'avais transformé, et je crois qu'elle a vu que oui.
- Oui peut être. Tu as sans doute raison. Tu les connais mieux que moi.
- Euh oui peut être. Bon je crois qu'il faut qu'on dorme car demain c'est un autre jour, et qui sait ce qu'il nous réserve.
- Oui tu as raison.
- Bonne nuit ma puce.
- Bonne nuit ma douce."

Élise ferma les yeux et s'endormit presqu'aussitôt. Les évènements de la journée, et de la soirée l'avait épuisée.
Coralie resta éveillé plus longtemps, et se dit qu'elle était vraiment heureuse d'avoir retrouvé son amie, et d'être tombé sur quelqu'un comme Sylvie, car même si celle-ci était exigeante envers ses soumises, elle cherchaient à les comprendre, à les aimer, et à les réconforter lorsque celles ci n'allaient pas bien. Elle se dit également que si elle était tombée chez Diane ou Armelle, ça ne se serait sans doute pas passé comme ça.
Elle continua à réfléchir pendant quelques minutes, et fut emportée à son tour par le sommeil.

chapitre 13. le projet S A D.

3 semaines avaient passées, depuis le retour d'Élise. Coralie avait retrouvé le sourire, et se sentait bien auprès de son amie, pour la soutenir et être soutenue, lorsque l'une ou l'autre avait une baisse de moral.
Sylvie rivalisait d'imagination, et d'idées plus vicieuses et tordues les unes que les autres, pour s'amusait avec ses deux protégées.
Armelle et Diane étaient revenues plusieurs fois, pour des séances de travail, et prenait temporairement soin de l'une ou l'autre des deux jeunes filles.
Les deux amies, malgré les fantaisies des trois femmes, commençaient peu à peu à prendre l'habitude, et un certain goût à ces jeux, et même si elles versaient des flots de larme, et si elles ressentaient des douleurs telle qu'elles ne l'avaient jamais senties auparavant, elles éprouvaient malgré tout ça, un sentiment étrange, une excitation incontrôlable, un développement dans leurs sensibilité, et des jouissances fulgurantes, et aussi intense que violentes.
Elles commençaient donc à accepter de plus en plus leurs statuts, et éprouvaient maintenant l'une et l'autre un amour sans bornes pour leurs maîtresses, qui savaient être aussi dur et implacables, mais aussi douce et tendre, modelant ses soumises comme elle le désirait.
De son coté, Sylvie aimait et chérissait ses protégées comme ses filles, même si elle savait devoir garder une distance de sécurité, afin d'entretenir une marque hiérarchique constante.
Elle avait remarqué que depuis le retour d'Élise, ses deux soumises faisaient de leurs mieux afin de la satisfaire le plus possible, en se livrant complètement dans les jeux dans lesquels celles-ci les entrainaient.

Les tatouages, et les anneaux des deux jeunes filles étaient complètement cicatrisés, et les deux jeunes femmes arboraient maintenant ceux ci fièrement, lorsqu'elles n'étaient pas habillées.
Élise avait eu droit tout comme Coralie, a une séance chez Armelle, où elle avait à la fois eu les soins dont avait profité Coralie, mais aussi au lavement, au cours du quel elle avait souffert énormément.
Sylvie les avait conduite chez une de ses amie coiffeuse, qui avait pris soin de leurs chevelure, qui leurs tombaient jusqu'alors, dans le milieu du dos, ayant eu le temps de pousser à loisir, n'étant pas surveillés par leurs détentrices.

Les deux jeunes femmes avaient donc retrouvé leurs beauté, leurs charmes, leurs féminités, si toutefois puisse-t-on dire qu'elles en avaient perdu un peu.

Ce jour là, Sylvie contemplait des photos récemment prise lors d'une séance de prise de vue, comme elle aimait en provoquée, régulièrement.
Elle avait envoyé ses soumises nettoyer les pièces de la maison, et installée dans un fauteuil, les jambes négligemment entre ouvertes, qui provoquait la remontée de sa petite jupe en cuir, et qui dévoilait cachée derrière le voile de soie blanche de sa culotte, sa fente intime dissimulant son bouton d'or.
Elle parcourait les photos des deux jeunes femmes, et s'arrêta pour en contemplait une, où on pouvait voir Élise, nue, campée sur des escarpins vertigineux, qui était de face regardant l'objectif en souriant. Ses cheveux d'un blond platine, retombaient délicatement sur les côtés de son visage, l'encadrant harmonieusement. Ses yeux d'un vert émeraude, scintillaient d'un éclat à la fois malicieux, mais aussi dur et froid. Un visage bien proportionné, fait de joues bien dessinées, lui conférait un air angélique. Son corps mince et allongé, ne portait comme relief, juste que sa paire de seins, arrondis, semblant se balançait langoureusement, frémissant à chaque vibration de l'air, et arborant leurs anneaux traversant chacun des tétons, lui donnant une stature supplémentaire. Le ventre plat, la taille fine, les hanches biens formées, sculptaient sa silhouette élancée. Ses jambes effilées, montées sur ces escarpins donnait un surplomb à son mètre 70 de hauteur, et exagéraient avantageusement la cambrure de ses reins. Ses cuisses un peu écartées, laissaient entrevoir et s'entrouvrir ses grandes lèvres, dévoilant à demi, son intimité profonde, suggérant le point où se trouvait la clé de son coffre au trésor.
L'attitude de la jeune femme, laissait paraître une pointe d'excitation de se dévoiler ainsi, et d'être vu par cet objectif, derrière lequel pouvait être n'importe quel œil, mais aussi une certaine allure enfantine, qui n'était infirmée par le collier métallique qui entourait le cou de la demoiselle.

Sylvie resta longtemps devant cette image, la détaillant, ce disant que s'était l'une des images les plus belles qu'elle avait pu voir de la féminité.
Elle continua à passer en revue les autres photos. Une autre photo attira soudain son attention.
C'était cette fois, une photo de Coralie.
La jeune fille était elle aussi nue, cette fois agenouillée, au sol.
Sa chevelure noire ondulait et donnait à son visage enfantin une animation constante. Ses yeux d'un bleu profond semblaient éteints au premier abord, mais étaient traversés de petits éclairs, les illuminant.
Sa petite bouche aux lèvres d'un rouge franc, la faisait ressortir.
Ses frêles épaules encadraient son mince corps qui laissait paraître une fragilité de petite fille. Seule sa poitrine proéminente, prouvait qu'elle avait passé l'âge de la puberté. Ses deux bras de fillette disparaissaient derrière son dos, cachant ses mains. Ses cuisses largement ouvertes, laissaient apparaître et devinées sa longue fente, dans laquelle se localisaient ses points d'or, et de plaisir.
Les lèvres de ses replis sexuels, imberbe de tout poil, renforçaient l'idée première qui se dégageait de cette jeune fille, cette idée de petite fille, fragile, vierge, innocente...
La seule marque de sa soumission était tout comme pour Élise, le collier de métal froid qui entourait son cou.

D'autres photos défilèrent. Sylvie s'arrêta sur nombres d'entre elles, les détaillant chacune leur tour. Les photos montraient les deux jeunes femmes, dans des positions plus indécentes et provocantes les unes que les autres. On pouvait également voir l'une ou l'autre des filles se faisant torturer, par quelques machines, ou attachées sur des croix de saint André, ou encore pendu par des treuils, par les mains, les pieds, la taille, les seins...
Chaque image faisait frémir Sylvie et la plongeait dans des souvenirs de séances où elles revivaient l'ambiance, l'excitation des jeune filles, elle entendait leurs cris, leurs pleures, leurs soupires...
; Lorsque la dernière photo fut passée, elle resta immobile perdue dans ses pensées. Quelques minutes après, elle se ressaisit et se redressa, vint poser les photos sur la table devant elle, puis, se leva.
Elle marcha un peu, puis se dirigea à la recherche de ses protégées.
Elle progressait sans bruit, en tendant l'oreille, en écoutant pour détecter et localiser les deux jeunes femmes.
En s'approchant de l'un des salons, elle entendit du bruit.
Elle rejoignit la porte en silence, et regarda prudemment dans la pièce.
Ce qu'elle vit la fit sourire.
Les deux jeunes femmes étaient bien là, l'une debout, à astiquer et à lustrer la vitre d'une des fenêtres, et faisaient de grands mouvement avec ses bras ce qui provoquait un balancement de sa poitrine, l'autre à quatre pattes, frottant le sol, ce qui provoquait une cambrure exagérée et donc faisait ressortir le postérieur de la jeune femme. Elles étaient toute deux en nage, s'épongeant le front de temps à autres, et se parlant à mi voix.
Sylvie fit involontairement craquer une planche. En entendant cela, Élise se figea de peur.

"- qu'est-ce que tu as? Demanda Coralie.
- Tu, tu as entendu?
- Quoi?
- Le bruit, le craquement.
- euh non.
- Mais non.
- Mais, mais...
- Tu sais, ça arrive souvent ma puce.
- tu es sûre?
- mais oui, ne t'en fait pas."

Sylvie, ne voulant pas se faire voir, s'éloigna sur la pointe des pieds, le sourire aux lèvres, et revint dans le salon.
Elle rangea les photos, prit une revue, s'installa dans son fauteuil, sonna sa clochette, et fit mine d'être absorber dans sa lecture.
Après quelques secondes, Élise arriva, et vint s'agenouiller et se prosterna aux pieds de Sylvie.
Celle ci fit semblant de ne pas l'avoir vu.
La jeune fille attendit docilement sans bouger.
Sylvie lui fit signe après l'avoir considéré pendant quelques instants.
La jeune fille se redressa et se plaça en position, attendant les consignes de sa maîtresse.

" - ma chérie, dit Sylvie, j'ai soif, apporte moi à voire, et puis va chercher ta camarade, je dois vous parler à toute les deux.
- bien madame. Répondit Élise d'une petite voix. Souhaitez-vous boire d'abord?
- Tu fais comme tu veux, c'est à toi de voir, il faut que tu prennes des initiatives, et que tu fasses des choix ma chérie."

Élise se recula, se releva, et sortit.
Elle parcourut les grandes pièces et rejoignit Coralie presqu'en courant.

" - viens, vite, la maîtresses veut nous parler.

- Tu es sûre? répondit Coralie surprise. D'habitude elle ne fait pas comme ça.
- Oui, oui, viens! "

Coralie posa sa brosse, et suivit Élise.
Cette dernière s'arrêta à la cuisine et prit un plateau, sur lequel elle posa un verre et une bouteille.
Elle repartit en portant le plateau et les deux jeunes femmes entrèrent dans le salon.
Elles s'approchèrent, Élise déposa le plateau sur la table, et elles se prosternèrent aux pieds de Sylvie.
Celle ci les contempla pendant plusieurs secondes, puis les fit se redresser. Elle fit un signe à Élise, qui lui servit un verre, et lui tendit.
Sylvie saisit le verre, but une grande rasade, toussota, finit son verre, le rendit à Élise en lui faisant signe d'en resservir, ce que celle ci fit immédiatement, elle reprit le verre, et but une autre gorgée.

" - Mes chéries, dit-elle, vous savez que je vous aime, et je suis sûre que c'est réciproque. Si je vous ai fait venir ici, c'est parce que je dois vous parler.
Vous avez sans doute remarqué que en ce moment, je suis beaucoup prise par mon travail, et que mesdames Diane et Armelle, viennent souvent ici, où que je me rende chez l'une d'entre elles, pour travailler.
De ce fait, lorsque ces dames sont ici, vous êtes mises à rudes épreuves.
Je dois vous dire que ces épreuves ne sont pas anodines.
En effet, elles étaient là et sont là, pour vous tester, savoir si vous êtes vraiment digne de faire parti de notre projet.
Pour l'instant vous l'êtes, bien au-delà de nos espérances, alors continuez à donner le meilleure de vous même.
Le projet en lui même est le suivant.
Armelle, Diane, et moi même, avons acheté un terrain sur lequel nous avons fait construire un complexe pour des gens comme vous. Nous en sommes les patronnes, et il n'appartient qu'à nous de décider qui rentrera dans ce complexe.
Nous avons baptisé ce complexe réseau SAD.
Et vous mes chéries, vous en êtes les premières membres.
D'ailleurs, vous en portez le symbole sur votre fesse et sur vos lèvres intimes.
Voilà la situation telle qu'elle se présente mes chéries.
Maintenant je dois vous dire que nous allons déménager, et allons partir dans quelques jours pour aller vivre là bas directement.
Il nous reste quelques formalités, à remplir pour le moment, mais sachez que nous partirons au maximum dans deux semaines.
Je vous demanderai donc dans quelques jours, de commencer à emballer, à ranger, tous les objets que je vous indiquerez.
Lorsque nous aurons déménagé, nous ne reviendrons plus ici. Sachez aussi que vous ne serez pas les seules à entrer dans ce complexe.
En effet nous choisirons des jeunes filles entre 20 et 35 ans, semblant avoir les mêmes comportements, les mêmes attirances, les mêmes penchants que vous.
Vous serez chargés de vous en occuper en dehors des soins que Diane, Armelle, ou moi même leurs donneront.
Tout est bien compris? Pas de question? "

Les jeunes femmes baissèrent la tête.
Après un moment elles murmurèrent un oui affirmatif.
Elles avaient reçu, à cette annonce, comme un coup de massue.
Savoir, que d'autres jeunes filles se feraient prendre dans les filets de ces trois femmes, les chagrinait, et même cette idée les dégoutait. Malgré cela, une pointe d'excitation était présente dans leurs bas ventres, ne demandant qu'à grandir, à se développer.
Sylvie les considéra pendant plusieurs secondes et ayant perçu leurs troubles, leurs dit :

" Quelque chose vous chagrine, mes chéries?
Si c'est pour vos futures autres camarades, ne vous inquiétez pas. Il est fort possible que vous soyez concernées pour les faire entrer dans le réseau."


Élise ferma les yeux tentant de penser à autres choses, Coralie quant à elle, essaya de repenser à ce qu'elle avait vécu ses derniers mois, mais pour chacune des deux jeunes femmes, les paroles de Sylvie revenaient sans fin et irrémédiablement à leurs esprits, accompagnées d'images floues, de leurs futures camarades subissant les tortures et les supplices des trois femmes qui les contrôlaient déjà.
Le téléphone sonna.
Sylvie se leva et se dirigea vers celui-ci, en laissant Élise et Coralie sur place, agenouillées, attendant immobile.
Elle décrocha et discuta avec la personne qui l'appelait pendant un bon moment.
Pendant ce temps, Coralie passa sa main sur la hanche d'Élise. Celle ci lui attrapa la main et la serra de toutes ses forces. Coralie se rapprocha de son amie, et vint se coller contre elle.
Sylvie raccrocha.
Lorsqu'elle se retourna, elle vit ses deux protégées main dans la main, joue contre joue. Elle ssourrit.

" Mes chéries, j'ai une bonne nouvelle, je viens d'avoir Maître DURL, qui a réglé les derniers petits points de détails, et nous emménageons au réseau dans 8 jours."

Les deux jeunes femmes sursautèrent, et tentèrent de reprendre leurs positions initiales, mais Sylvie leurs fit un signe leurs indiquant qu'elle pouvait rester comme ça.

" Vous êtes très belles comme ça! Ça vaut une photo mes chéries ne bougez pas."

Elle se dirigea vers une commode, ouvrit un tiroir, duquel elle sortit un appareil photo. Elle vint se placer devant les deux jeunes femmes, se recula et après avoir cadré son objectif sur Élise et Coralie, déclencha l'obturateur et pris plusieurs clichés.
Elle vint se rassoir devant elles, déposa l'appareil sur la table basse, saisit Coralie par les aisselles et vint la placée sur sa cuisses gauche, et fit la même chose avec Élise et vint la mettre sur sa cuisse droite. Elle les serra contre elle. Les deux têtes vinrent se poser sur les épaules de Sylvie, qui les berça lentement sans bruit.
Elle embrassa longuement l'une et l'autre à plusieurs reprises.
Quelques minutes plus tard elle remit ses protégées par terre en disant doucement :

" Aller, il est temps de se remettre au travail sinon vous ne pourrez pas profiter de votre après midi. Lorsque vous aurez fini, vous préparerez le déjeuner, il est noté sur le tableau de service."

Les deux jeunes femmes se relevèrent lentement et quittèrent la pièce.
Sylvie ferma les yeux pendant quelques secondes. Elle passa sa main sur sa poitrine, la laissa descendre sur son ventre et gagner son pubis, elle passa sous sa petite jupe et caressa la soie de sa culotte. Elle se rendit compte avec satisfaction que les derniers instants avaient provoqués une émotion qui avait eu pour signes principal, une mini inondation de son sous vêtements et de son intimité.
Ce sentiment la ravit, et la conforta dans l'idée qu'elle avait de ses soumises.

À l'heure du déjeuner, Coralie frappa à la porte. Elle entra sur l'ordre de Sylvie.

"- Madame, dit la jeune fille, votre déjeuner est prêt.
- Bien ma chérie, j'arrive d'ici quelques instants.
- Bien madame. "

Coralie sortit de la pièce.
Sylvie continua à lire le livre qu'elle avait commencé depuis une dizaine de minutes, et après avoir fini le chapitre qu'elle avait entamée, elle se leva et entra dans la salle à manger.
Élise, fit une révérence, et lui présenta une chaise.
Sylvie s'assit, et Coralie arriva quelques secondes après, et la servit.
Elle mangea tranquillement, puis lorsqu'Élise et Coralie eurent débarrassé la table, elle leurs dit :

" Faites la vaisselle et rejoignez moi dans votre demeure. Lorsque vous aurez fini."

Elle se leva et sortit de la pièce, laissant les deux jeunes femmes finir de débarrasser et de ranger.
Lorsqu’elles eurent fini de tout nettoyer et que la cuisine et la salle à manger furent impeccables, elles descendirent dans leurs demeures, et vinrent se mettre aux pieds de Sylvie, qui était assise dans un fauteuil de la pièce, rangeant des bouquins dans un grand carton.

Lorsqu'elles rentrèrent Sylvie fit signe à Élise de se mettre sur la table, et à Coralie de s'agenouiller dans un coin de la pièce.
Elle s'approcha d'Élise, et la dévêtit intégralement. Elle la fit mettre à quatre pattes et relia le collier que portait la jeune fille, au mur par une chaine assez courte.
Elle fit signe à Coralie de s'approcher et la dévêtit également puis relia également le collier de la jeune fille au mur par une chaine de la même longueur.
Elle les regarda puis leur dit :
" Mes chéries, aujourd'hui, exceptionnellement, vous avez le droit de passer l'après midi dans le jardin. Mais je veux simplement que vous le passiez en tant que chienne soumise, donc je vais me permettre de faire en sorte que vous fassiez les chiennes comme je les aime."

Sur ces mots, elle enfourna dans la bouche de chacune de ses protégées, un appareil qui n'empêcha pas les jeunes filles de fermer ou d'ouvrir la bouche, mais d'articuler correctement. Elle leurs fit boire deux verres chacune dans lesquels, elle avait délayé un produit au préalable.
Elle fixa enfin aux anneaux des seins des lèvres intimes et du clitoris des deux jeune femmes des poids, ce qui provoqua des gémissements et des soupires.
Elle les détacha enfin, et les tira derrière elle jusqu'au perron. Elle les détacha, et leurs dit en souriant :

" Aller, filez mes chéries, et amusez vous bien, et monter la garde... "

Les deux jeunes femmes s'éloignèrent en marchant prudemment, toujours à quatre pattes, ce qui faisait balancer leurs fesses.
Sylvie les regarda pendant quelques minutes, se déplacer, s'éloigner... Elle vit Élise qui tenta de parler à Coralie, mais l'appareil que la jeune femme avait dans la bouche, ne lui fit sortir qu'un son guttural et monocorde, comme un grognement de bête.
Coralie, par réflexe essaya de lui répondre, mais elle aussi ne sortit qu'un son plaintif.
Sylvie rentra enfin laissant ses deux protégées livrées à elle même dans le jardin.
Elle revint jeter de temps à autres un coup d'œil, afin de vérifier qu'il n'y avait pas de souci.
Elle surprit ses deux protégées se soulageant, ce qui lui confirma l'efficacité du produit qu'elle leurs avait administré.
Elle ne les fit rentrer que bien après que la nuit soit tombée, et après que les deux jeunes femmes ne se soient lavées l'une l'autre à coup de langues.
Elle les fit descendre dans leurs demeures, les fit manger, les équipa pour la nuit, et les enferma dans leurs cages.
Elle ne retira pas l'appareil de leurs bouches, afin d'être sûr qu'elles ne puissent pas communiquer entre elles de façon claire, puis elle sortit.
Les deux jeunes femmes, tentèrent vainement de parler, et fatiguées par leurs tâches de la matinée, et par le bol d'air de l'après midi, elles s'endormirent très vite.
chapitre 14. le déménagement.

Quelques jours après les révélations de Sylvie, les deux jeunes femmes emballaient toutes les tenues, tous les accessoires, et autres choses diverses et variées, que Sylvie avait spécifié.
Tout en s'afférant, elles discutaient, riaient, s'émerveillaient en voyant des objets, des tenues qu'elles n'avaient encore jamais aperçu, s'arrêtaient pour en contemplaient d'autres qui leurs remémoraient des émotions passées, Coralie ferma le carton qu'elle avait rempli, et s'arrêta pendant quelques secondes.
Pendant un instant, elle songea à elle, à ce qu'elle était devenue, son esprit revint un an en arrière, et refit réapparaître en elle les images du seul homme qu'elle avait vraiment aimé, de Pierre, et de la rupture qui se faisait sans qu'elle ne s'en rende compte. Puis vinrent les images d'elle, solitaire, mal dans sa peau, juste après cette rupture, jeune fille qui pour elle était montrée du doigt par n'importe qui. Son esprit la transporta ensuite, chez elle, lui affichant son image, devant son ordinateur, discutant, répondant aux personnes qui comme elle, surfer, pour oublier leurs douleurs. Elle fut emportée aussitôt vers le restaurant où elle avait rencontré pour la première fois Sylvie, et se rendit compte du véritable trouble qui l'avait envahie.
L'image suivante fut une nouvelle fois, son image, devant son ordinateur répondant au mail de Sylvie. L’image disparut pratiquement immédiatement, pour laisser place à une autre. Celle d'elle même chez Sylvie, lorsqu'elle s'était réveillée à l'aube de sa nouvelle vie. D'autres images défilèrent ensuite lui montrant des images clés de la vie qu'elle vivait depuis maintenant 8 mois, ses premiers jours chez Sylvie, son séjour chez Diane, sa métamorphose, son stage, l'arrivée d'Élise, la connaissance d'Armelle... L'une des dernières images qui s'afficha devant elle pour disparaître presque aussitôt, fut clé d'elle et d'Élise, écoutant Sylvie leurs dévoilaient ses projets. Elle comprit que ce déménagement marquerait une étape supplémentaire dans sa vie, et lui ferait passait le cap d'un nouvel état.
La voix d'Élise la ramena à la réalité.

" - allo? Allo? Tu m'entends
- Euh, pardon? Oui excuse moi. Dit Coralie en sursautant.
- Tu reviens parmi nous?
- Oui, oui, excuse moi je pensais.
- A quoi pensais-tu? dit-moi, ma puce? demanda Élise, en posant sa main sur le bras de son amie.
- En fait, je pensais, à ce que j'avais vécu. Ce déménagement remue beaucoup de souvenirs, d'images.
- Oui je comprends. Tu sais, dit Élise en souriant, moi aussi ça me fait bizard.
- Tu te rends compte que, il ya encore tout juste un an, j'étais sans doute dans les bras de mon amoureux, lui il me trompait, moi je ne voyais rien, et là aujourd'hui, je ne suis plus amoureuse de cet homme, mais de deux femmes, à un point que je n'avais jamais connu, et avec qui je partage des plaisirs que jamais je n'aurais pu soupçonner l'intensité, et la richesse, et dont je ne me serai jamais cru capable de découvrir.
- Tu sais je suis comme toi, souffla Élise, il y a 6 mois encore j'étais heureuse avec Bernard, et aujourd'hui je suis encore plus heureuse avec toi et madame, et j'ai découvert des trésors que je ne croyais pas pouvoir exister. Et puis, tu sais, reprit-elle après un moment, ça me fait bizard aussi de quitter cette maison où j'ai eu à la fois les plus gros chagrins, les plus effrayantes peurs, mais aussi les plus intenses plaisirs, les plus merveilleuses joies. Ça ne sera plus pareil dans les nouveaux locaux.
- Moi pareil, j'ai des frissons de tout ranger, de tout emballer, j'ai l'impression que je quitte tout ici."

En prononçant ces derniers mots, une larme apparut au coin de l'œil de Coralie.
Élise la saisit par le bras, par la taille de l’autre main, et l'entraîna contre elle. Ses lèvre vinrent à la rencontre de celle de son amie, et l'embrassa longuement. La jeune fille se blottit en sanglotant dans le creux de son épaule.
Elles se bercèrent lentement pendant un long moment.
Coralie se calma petit à petit et après c'être essuyée les yeux avec son tablier, elles se remirent au travail.
Au bout de la journée, un nombre impressionnant de cartons s'amoncelaient déjà dans les pièces.
Sylvie fit rassembler l'ensemble des cartons, dans un des salons secondaires qui était vide.
Les jours suivants, les deux jeunes femmes reprirent leur travail, et bientôt, Elles eurent rangé toutes les affaires, les tenues, qui se trouvaient au ré de chaussée de la maison de Sylvie.

Le déménagement était annoncé pour le surlendemain, et les deux jeunes femmes trouvèrent lorsqu'elles descendirent dans leurs demeures, un changement de taille.
Toutes les machines, les tables, les fauteuils, les portiques, les croix, les suspensions ... qui se trouvaient encore là le matin même, près à servir, avait été démonté puis enlevé. Ne restaient plus que les étagères, les vitrines, les armoires, et leurs deux cages.

" Vous n'aurez plus que cette pièce à faire demain, mes chéries, leur avait dit Sylvie, et après demain, on s'en va."

La pièce qui avait été vidé du trois quart de ses meubles, et de ses appareils paraissait beaucoup plus vaste qu'auparavant.
C'est ainsi que Coralie et Élise s'endormirent, et se réveillèrent le lendemain. Elles se mirent au travail après s'être lavé, et que Sylvie les est habillée.
Elles procédèrent méthodiquement, en disposant des cartons dans les pièces, et à l'intérieur desquels elles déposèrent précautionneusement les objets qu'elles retiraient des étagères, des meubles, des chariots...en les regroupant par famille, ou par similitude d'utilisation.
C’est ainsi, qu'un des cartons reçut d'une part, toutes les cravaches, mais aussi tous les fouets, et martinets, un autre toutes les cordes, les chaînes, et autres sangles, encore un autre, tout le petit matériel, pinces, poids, roulettes crantées, anneaux...
Elles retiraient, décrochaient des murs, enlevaient des vitrines, tout objet comme si ils étaient précieux et fait de verre fragile. Elles travaillaient silencieusement, chacune dans un coin de la pièce.
Après une heure de travail, elles n'avaient pas eu l'impression d'avancer dans leurs ouvrages, en regardant tout ce qu'il leurs restait à ranger. Seul, tous les cartons déjà bien remplis de matériel, leurs prouvaient qu’elles avaient déjà énormément amassé de travail.
Ce n'est qu'en début d'après midi, qu'elles eurent fini de ranger le matériel, et qu'elles purent enfin respirer.

"- ouf! S'exclama Élise. On a fini. C'est qu'il y en avait des trucs et des trucs.
- Oui, il y en avait un paquet. Et encore, répondit Coralie, Maintenant, il faut s'occuper des tenues, des chaussures. Là aussi, on va s'amuser.
- En plus il faut tout plier, soigneusement, sinon...
- Comme tu dis, ssourrit Coralie."

Les deux jeunes femmes s'assirent pendant quelques minutes, en profitant pour respirer, et pour se désaltérer.
Avant de se remettre au travail, elles`fermèrent les cartons, y notèrent ce que ceux-ci contenaient, et les transportèrent jusqu'au salon dans lequel elles avaient déjà entreposé tous ceux qu'elles avaient fait les jours précédents.
Lorsqu'elles eurent remonté les derniers cartons, elles redescendirent, et en en disposèrent d'autres autour d'elles afin de pouvoir y déposer les vêtements qu'elles retireraient des armoires.

" - je te propose que je sorte les tenues, les plie et que toi tu les places dans les cartons? proposa Coralie à son amie.
- Oui si tu veux, répondit Élise."

Élise s'installa donc au milieu des cartons, tandis que Coralie se posta devant l'une des armoires. Elle l'ouvrit, et en sortit une première tenue. Elle la plia, puis la donna à Élise qui la rangea soigneusement dans l'un des cartons.
L'opération se répéta, encore, et encore.
Coralie, s'arrêta soudain en sortant une tenue, la fixant.

" - qu'est-ce qui ne va pas? Demanda Élise.
- Rien, rien. C’est juste que... Hésita Coralie.
- C'est juste que quoi? Insista Élise interrogative.
- c'est juste que, reprit Coralie, troublée, c'est la première tenue, que m'a fait passée la maîtresse, le jour de mon arrivée.
- Je comprends.
- Et forcément, ça me rappelle ce jour si particulier, ce jour, où tout a basculé pour moi.
- Oui ma puce, je comprends ce que tu ressens, mais reprends-toi, je t'en pris."

Coralie resta encore un moment à regarder la tenue de haut en bas, puis la plia, et la donna à Élise.
Elles continuèrent leur ouvrage.
Élise veillait à rassembler les vêtements par type, et par matières s’il était possible.
Les tenues s'amoncelaient maintenant dans les cartons, et la première armoire fut vide.
Les deux jeunes femmes s'attelèrent à une deuxième.
Dans celle-ci, Coralie s'arrêta devant une tenue, de vinyle et la`montra à Élise.
Celle ci fit un signe de tête acquiesçant qu'elle avait compris.
Simultanément, la pointe du désir se fit sentir dans le creux de ses reins, et les godes qui se trouvaient en elle, furent bientôt trempés, par l'excitation de ce simple souvenir. En effet, Élise se revoyait encore, portant cette tenue, le lendemain de son arrivée, lorsqu'elle, fière, rebelle, était tombée dans les bras de Sylvie, par l'intermédiaire de son mari, alors qu'elle ne le désirait pas.
La voix de Coralie la fit revenir de sons songe, et elle saisit en frémissant encore de l'évocation de cette matinée.
Les tenues défilèrent entre les mains des jeunes femmes, ainsi que les bas, les collants, les mini jupes, et les chaussures, qui leurs rappelèrent les grandes étapes de leurs apprentissage, et de leurs nouvelle vie.
Vers la fin d'après midi, elles finirent enfin de vider la troisième et dernière armoire. Elles fermèrent les cartons, les annotèrent, et les firent rejoindre leurs congénères, au ré de chaussée.

Sylvie rentra chez elle, en début de soirée, et trouva ses soumises dans la cuisine, préparant les quelques sandwichs qui devaient tenir lieu de repas.
Elle sourit en les voyant s'afférer.
Ces journées lui demandaient beaucoup de temps, et l'obligeaient à se rendre dans les nouveaux locaux du réseau SAD? Afin de suivre et de guider, l'emménagement et l'installation des meubles, et autres machines.

" - Et bien mes chéries, vous avez fini, vous avez tout rangé?
- Oui madame, répondit Élise, en faisant une révérence.
- Bien! Je suis fière de vous. Tous les cartons sont fermés, annotés, dans le salon avec les autres? Demanda Sylvie.
- Oui madame, confirma Coralie, vos consignes ont été appliquées.
- Très bien. Dès que vous aurez fini, rejoignez-moi au salon. Dit Sylvie en sortant de la pièce."

Les deux jeunes femmes finirent de préparer les quelques tranches de pains, en les garnissant de choses diverses et variées, puis les disposèrent sur des assiettes qu’elles amenèrent sur un plateau, devant Sylvie.
Sylvie mangea tranquillement, tenant un sandwich d'une main, et caressant la tête de ses soumises de l'autre.
Une fois fini, elle fit signe aux jeunes femmes de débarrasser, puis de revenir à leurs place.
Elles obéirent, et après avoir emmené, lavé, et ranger, la vaisselle
Celle-ci, passa sa main dans le cou de Coralie, lui caressa la joue, suivit du bout des doigts le contour du nez, des lèvres, de la tempe, redescendit doucement sur l'autre épaule, et fit de même sur le visage d'Élise.

" Vous êtes ravissantes, mes chéries. dit-elle en souriant. C'est comme ça que je vous aime, que je vous désire, que je vous veux.
Demain, reprit-elle après un silence, nous partons d'ici. J’ai beaucoup de peine de quitter cet endroit, même si je le garde en ma possession. Je pourrais revenir ici avec vous en cas de souci, mais la vie ne sera pas la même, je le sais bien, et ceci autant pour moi que pour vous.
Je peux vous dire simplement, que nous quittons une propriété assez importante, mais qui n'est rien à côté du réseau SAD.
Ces dernier jours, j'y ai passé avec Armelle et Diane, une bonne partie de mon temps, et énormément de matériel a déjà était installé, et monté.
Voilà donc le déroulement des opérations de demain.
Sachez que je viendrez Vous réveiller à 7 heures, car, il faut que vous soyez prête toutes deux, pour 7 heures 45 afin qu'à 8 heures Le transporteur puisse venir enlever tous les cartons, et les meubles qui restent.
Nous partirons ensuite vers 9 heures à notre tour.
Je dois vous dire maintenant, Que Diane et Armelle, s'installeront, tout comme je le fais avec vous, avec deux ou trois soumises aussi délicieuses que vous.
Lorsque nous serons arrivés sur place, vous aurez une visite des locaux explicative, qui vous permettra de vous repérer dans vos déplacements, et ensuite nous vous donnerons des instructions.
Avez-vous des questions mes chéries?"

Elle s'arrêta en fixant les deux jeunes femmes agenouillées à ses pieds, immobiles, la tête baissée, mains dans le dos, écoutant d'un air absorbé.
Un long silence s'installa.

" - Et bien? Insista Sylvie. Je vous ai posé une question.
- Euh, nous ferons comme vous le désirerez madame, prononça timidement.
- Mais et toi, ma petite puce, dit Sylvie en regardant Coralie, je ne t'ai pas entendu depuis tout à l'heure, qu'est-ce que tu as?
- Euh, rien madame, rien, je, je, balbutia Coralie en palissant.
- Ma puce, ne t'inquiète pas, répondit Sylvie en saisissant la jeune fille par le bras et en l'essayant sur l'une de ses cuisses, il est vrai que vous devrez cohabiter avec d'autres soumises, peut être un peu plus belles ou désirable que vous, mais moi celles que j'aime ça n'est que vous deux. Toi et Élise.
Je tiens à ce que vous le sachiez, reprit-elle, après avoir attrapé Élise et l'ayant assise à côté de Coralie, sur son autre cuisse. Il n'y a que vous qui comptiez comme soumise pour moi, je vous le promets. Cependant il va falloir faire des efforts, afin de partager votre vie avec d'autres. C’est bien compris?"

Pour toute réponse, elles hochèrent timidement la tête avant de venir enfouir leurs visages contre Sylvie.
Après un long moment de tendresse, de câlins, d'embrassades langoureuses entre les trois femmes, la soirée se poursuivit et s'intensifia petit à petit.
Les deux jeunes femmes se trouvèrent bientôt nues, et les vagues du plaisir ne tardèrent pas à apparaître chez les trois femmes, et les submergea chacune, à plusieurs reprises.
Enfin, elles reprirent leurs souffles. La fente de Coralie, coulaient abondamment de son jus, inondant ses cuisses et celles d'Élise et de Sylvie.
Élise essayait du mieux qu'elle le pouvait de limiter les marques du désir et de l'excitation de son amie.
Sylvie aux anges, ramassait de ses doigts, le mélange des cyprines qui faisait luire les trois boutons d'or, gonflés parles caresses incessantes, frétillaient encore et encore.

La soirée s'acheva lentement, et Sylvie ramena ses protégées, dans la pièce qui devait encore pour une nuit, leur servir de demeure.
Elle les équipa, de leurs, maintenant, traditionnelles ceintures pour la nuit, les fit manger et les fit entrer dans leurs cages après les avoir bâillonnées.
Elle ferma la porte des cages à clé en disant :

" Bonne nuit mes chéries. Je vous aime. Pas de bavardage. À demain! "

Elle sortit de la pièce en éteignant la lumière, et fermant la porte à clé.
Élise et Coralie, exténuées par le plaisir des dernières heures, et par leurs journées, s'endormirent très vite.

Lorsque Sylvie arriva le lendemain matin, pour les réveiller, elle s'arrêta devant les cages et leurs occupantes immobiles, dormant profondément, puis s'approcha de Coralie, et glissant deux doigts entre les barreaux de la cage, l'appela doucement.
La jeune fille s'éveilla bientôt et Sylvie ouvrit la porte de la cage et la fit sortir.
Elle l'embrassa tendrement, puis l'envoya se laver.
Elle revint ensuite près des cages, et réveilla Élise de la même façon. Elle la fit sortir de sa cage et la pris dans ses bras.

" - Coralie est parti à la salle de bain. Nous allons attendre.
Je voudrais te parler ma chérie.
- Je vous écoute madame.
- Et bien voilà. Comme tu le sais, nous partons aujourd'hui, et toi et Coralie vous allez devoir vivre avec d'autres soumises. Je te demanderai de veillé en mon absence sur Coralie. J'ai très bien compris son trouble hier, lorsque j'ai expliqué votre prochaine situation de vie.
- Je ferai ce que vous voudrais madame. Répondit Élise.
- Je sais qu'elle est absolument et éperdument amoureuse de moi, et je ne veux pas que cette situation de voir d'autres filles autour d'elle, la déstabilise, et la fasse basculer. Tu comprends?
- Oui madame. Elle m'a déjà confié les sentiments qu'elle a pour vous, et je vous croie quand vous dites, qu'elle pourrait être déstabilisée en voyant d'autres filles autour d'elle, et qui pourraient lui prendre sa place dans votre cœur.
- Oui justement. Je te la confie. Console la si il le faut, recadre la lorsqu'il le faut également, et n'hésite pas à m'en parler si tu en sens le besoin, ou si tu vois que cela va trop loin.
- Bien madame. Vous pouvez me faire confiance, je ferai ce que vous désirez.
- Bien sûr que je te fais confiance."

Sylvie embrassa Élise tendrement.
Coralie revint peu après. Élise partit à son tour pour la salle de bain.
Sylvie tira Coralie contre elle, et l'enlaça.
Après un instant de tendresse partagée, elle la fit manger, et souffla à la jeune fille :
" Aller il faut se préparer."
Elle entraîna vers le salon sa protégée, toujours nue, frissonnant à chaque frôlement de l'air sur sa peau encore fraîchement séchée, et la fit s'agenouiller. Elle s'éloigna et chercha quelque chose dans une commode.
La jeune fille, cru perdre l'équilibre. Elle se rattrapa en agrippant le bras du fauteuil le plus proche, et se redressa. Ses yeux se brouillèrent, elle voulut appeler mais avant d'y parvenir Elle retomba sur le fauteuil, inconsciente.
Sylvie revint vers la jeune fille, la caressa doucement la tête, en murmurant :
"Dors bien ma chérie à tout à l'heure."

Elle l'allongea par terre, lui appliqua un bandeau sur les yeux, lui desserra les dents pour y glisser un tube fixé sur un masque qu'elle colla sur le visage, et qu'elle verrouilla derrière la tête de la jeune fille. Elle vint lui plantait deux godes dans le vagin et dans l’anus, puis lui enfila un slip de latex. Elle vint ensuite lui lier les pieds ensemble, puis la retourna, afin de lui lier les mains dans le dos.
Elle replia enfin les cuisses de sa protégée, pour les rassembler contre son buste et les lier afin de lui faire maintenir une position groupée.
Elle se saisit d'un grand sac de latex, et vint y faire entrer la jeune fille, en laissant dépasser l'autre extrémité du tube relié à son masque
Elle ferma le sac par une corde lassée, sur celui-ci, prenant bien garde de ne pas pincer le tube afin de permettre à Coralie de respirer.
Elle souleva le sac et le porta jusqu'au salon dans lequel se trouvait les cartons du déménagement.
Lorsqu'elle redescendit dans la demeure des demoiselles, elle y trouva Élise.

" Excuse moi ma chérie j'ai préparé Coralie. Maintenant c'est à ton tour. Mais, viens d'abord manger."

Elle déposa la gamelle métallique par terre, tandis qu'Élise arrivait à genoux. Cette dernière se mit à manger lentement.
Lorsqu'elle eu fini, Sylvie l'emmena dans le salon et la fit agenouiller comme Coralie.
Élise l'agrippa en tombant, et tout comme son amie, resta allongée, immobile, sur le fauteuil. Sylvie prépara Élise de la même façon qu'elle l'avait faite pour Coralie, et emmena le sac de latex dans lequel elle l'avait mise juste à coté de celui de Coralie.
À 8heures, un lourd camion se gara devant le perron de la maison de Sylvie, et une demi-heure après, il repartait en emportant tous les cartons, les meubles, les cages des jeunes filles, et les sacs contenant les corps des deux jeunes femmes.
chapitre 15. le réseau S A D.

Coralie reprit conscience, et ne réalisa pas tout d'abord ce qui s'était passé. Elle voulut bouger, mais plus aucun muscle ne lui obéit. Ses yeux non plus ne percevaient que du noir. Elle tenta d'appeler à l'aide Sylvie et Élise, mais ses dents, et sa langue se heurtèrent à quelque chose souple mais qui l'empêchait de parler et d'appeler.
Ses sensations revinrent petit à petit et elle comprit qu'on lui avait placé un tube dans la bouche, qu'elle avait un bandeau sur les yeux et que ses chevilles et ses poignets étaient solidement liés. L’odeur particulière dans laquelle elle baignait, la surprit, et elle reconnut l'odeur bien particulière des vêtements et des objets de latex, qu'elle avait déjà manipulés ou qui avait déjà imprégné sa peau pour en avoir déjà porté à multiples reprises.
Elle réalisa soudain les bruit qui l'accompagnait, et après quelques secondes, reconnue le bruit d'un moteur de voiture, ou de camion.
Ne pouvant pas esquisser le moindre geste, ou même murmurer la plus petite syllabe, elle resta donc immobile, silencieuse, essayant de comprendre comment elle était arrivée là, dans cette situation.
Elle se remémora les derniers instants de conscience qu'elle avait eu avant de se retrouver comme ça.
Elle se souvint, qu'elle était allée se laver, puis était redescendue, rejoignant Sylvie et Élise, et pendant que cette dernière à son tour allait se laver, elle avait mangé, puis avait suivit Sylvie dans le salon.
Après, elle ne se souvenait plus très bien. Elle revit des images assez floues, d'elle, agenouillée dans le salon, de Sylvie s'éloignant et cherchant quelque chose dans un meuble. Elle se revit ensuite s'agrippait au fauteuil le plus proche pour ne pas tomber, et après s'être redressée, elle se vit tomber sur le sol. Son esprit lui retourna du noir après cette dernière image, qui la convaincu qu'elle avait très certainement perdue connaissance à ce moment là, et qu'elle ne pourrait pas en savoir plus sur les évènements entre cet instant et celui de son réveil.
Elle sentit brusquement, que le véhicule dans lequel elle se trouvait, devait ralentir, car elle était ballotée de plus en plus fort. Elle se dit que si elle n'avait pas sentit ça avant, c'est que le véhicule devait rouler sur plusieurs kilomètres sur une route droite, et dégagée. Elle pensa à une autoroute ou quelque chose de ce style.
Après dix bonnes minutes de route, elle sentit que le véhicule s'arrêta et que l'on arrêtait le moteur.
Elle entendit un bruit métallique, et des voix. Elle reconnue celle de Sylvie, de Diane, et d'Armelle. Les trois femmes semblaient parler entre elles.
Un bruit de glissement, puis un autre, puis des pas qui s'éloignèrent, et qui revinrent. Le bruit se répéta à maintes reprises, de plus en plus net et distinct.
Elle sentit que l'on enlevait les choses qui l’entouraient, et après plusieurs minutes, Elle se sentit soulevée, et portée. Sous son poids, le latex se distendait, et collait sur sa peau, inondée de transpiration.
On la déposa sur le sol, toujours enfermée dans sa prison, puis plus rien. Elle entendit des bruit de pas se rapprochaient, puis quelque chose que l'on posait à côté d'elle. Cette opération se répéta quatre fois, puis le silence revint, cette fois pour un long moment.
Son attention fut attirée par un sifflement bizarre. Ou plutôt, plusieurs sifflements bizards.des bruits, plus ou moins réguliers, et continus.
Plus d'une heure et demie passa, avant que l'atmosphère qui l'entourait ne change.
Des pas se firent entendre, puis des voix.
Les voix et les pas, étaient maintenant, juste à côté d'elle.
Elle sentit bientôt que l'on la palpait à travers la membrane de latex dans laquelle elle se trouvait, puis le bruit encore un peu étouffé des voix, se fit très net et précis. Elle sentit deux mains l'attraper par les aisselles, et la soulever, puis enfin la déposer sur le sol.
Elle sentit une main passer derrière sa tête et aussitôt le tube dans sa bouche fut extirpé brutalement. Elle n'eût pas le temps de réagir, que l'on lui avait déjà introduit une boule de cuir entre les dents et passé un foulard sur sa bouche qu'on avait attaché derrière sa tête.
Elle perçut des petits gémissements non loin d'elle.
On lui défit le bandeau qui était sur ses yeux, Elle se vit auprès de son amie Élise, apparemment dans la même situation qu'elle même. Autour d'elle deux, d'autres jeunes filles, tout comme elles, nues, pieds et poings liés, bâillonnées. Et s'afférant autour des cinq ou six jeunes filles, Diane, Armelle, et Sylvie.
Les trois femmes, après avoir enlevé les bandeaux des yeux des jeunes filles, les délivrèrent de leurs positions inconfortables, et vinrent les agenouiller, toujours chevilles liées ensemble, et poignets joints dans le dos.
Elles s’assirent dans des fauteuils qu'elles amenèrent, et considérèrent leur assistance.

" - Mesdemoiselles, commença Sylvie, bienvenue dans le réseau sad. Désormais, vous serez rattaché à ses locaux, et les dispositions nécessaires ont été prises pour que ses changements soit effectifs dans vos livrets. Pour celles qui n'en ont pas encore, les démarches sont en cours pour que vous en ayez un aussi.
Votre appartenance à l'une d'entre nous trois, et au réseau SAD est marqué sur votre corps, en plusieurs endroits. Pour celle dont les marques sont récentes, vous serez reprises en main, afin de pouvoir affirmer encore un peu plus ces marques.
Je pense qu'il est inutile de vous précisez, que nous avons toutes les trois droit d'autorité sur chacune d'entre vous, et de ce fait nous attendons une obéissance, une conduite sans reproche, de votre part.
Vous ne vous connaissez pas forcément entre vous, et nous vous demanderons de faire votre possible afin de cohabiter le mieux possible. Si toutefois des soucis devaient se poser, vous devez tenter de le régler entre vous avant de venir nous en faire part.
Si vous deviez en arriver à nous en référer, venez de préférence, vous confiez à celle à qui vous appartenez. En conséquence, Virginie et Mathilde, vous irez donc voir de préférence madame Armelle, Laura et Juliette, madame Diane, et Coralie et Élise, viendraient me voir.
Vous serez par couple, chargée d'un secteur du réseau, lorsque vous serez dans les locaux, ce qui sera le cas, dans 95 pourcents des cas. Le reste du temps, vous serez toutes les 6, pour vos missions extérieures, dont nous reparlerons en temps voulu, et pour l'accueil des nouveaux membres du réseau. Voilà je crois qu'en ce qui concerne la présentation générale des choses je n'ai rien oublié.
Je laisse la parole à madame Diane, qui vous donnera un bref descriptif de vos secteurs, et de vos tâches respectives.
- Merci ma chère, et bien mesdemoiselles, c'est à mon tour de vous parler, et je serai brève. Voici vos secteurs d'actions. Mathilde et Virginie, vous serez chargée du secteur hygiène, Laura et Juliette, du secteur accompagnement, et enfin Élise et Coralie, assistance, et écoute. Ses secteurs sont vagues à première vue, mais vous saurez bientôt de quoi il s’agit précisément.
Je vous donnerai à chacune d'entre vous, les détails au moment voulu. Comme vous l'a dit madame Sylvie, vous serez toutes les 6 regroupées, pour la procédure d'accueil des nouveaux membres.
Vous m'accompagnerez par deux, pour avoir une visite rapide des locaux, et des détails sur vos secteurs d'actions.
Ma chère Armelle, as-tu quelque chose à ajouter?
- Oui ma chère. Mesdemoiselles, en ce qui concerne votre emploi du temps journalier, vous serez debout à 6 heures trente, afin d'être toutes et je dis bien toutes, prêtes à 7 heures trente pour votre petit déjeuner. À 8 heures vous partirez chacune dans vos secteurs jusqu'à midi ou vous viendrez manger l'une après l'autre, de façon à ne pas laisser votre secteur sans surveillance. Vous repartirez dans vos secteurs jusqu'à 19 heures, ou même chose, vous viendrez prendre votre repas une par une. Après votre repas vous repartirez dans vos secteurs jusqu'à 22 heures, heure à laquelle vous vous coucherez. Nous vous demandons aussi, d'effectuer une garde de nuit, de façon régulière. Vous serez pour cela par deux, pas forcément du même secteur, ce qui veut dire que Coralie et Élise ne seront pas forcément ensemble, pareil pour Virginie et Mathilde, et de même également pour Juliette et Laura. Chacune d'entre vous sera amenée à faire équipe avec l'une ou l'autre de vous 6.
Les deux qui seront de nuit, devrons avoir surveillance sur les différents secteurs, et seront chargées de veiller à la tranquillité du réseau. Lorsque vous n'aurez pas de travail particulier au niveau des membres du réseau, comme les jours qui arrivent, vous devrez veiller à la propreté, à l'entretient, de vous même et de votre secteur, ainsi qu'à son bon ordre.
- Tout est compris? Demanda Sylvie d'un air grave et solennel."

Les 6 jeunes filles, qui étaient restaient immobiles, écoutant attentivement les discours des trois femmes, mirent plusieurs secondes à hocher la tête en signe d'acquiescement.
Diane se leva après quelques secondes, et après avoir délié les chevilles de Virginie, et Mathilde, Elle leurs attacha une chaîne à leurs colliers, et les entraîna hors des pièces. Après une vingtaine de minutes, elle revint, et après avoir rattaché les chevilles des deux jeunes filles, délivra celles de Laura et Juliette et les entraîna à leurs tours, derrière elle en les tirant par la chaîne qu'elle avait fixé à leurs colliers.
Elle réapparut de nouveau une vingtaine de minutes plus tard, rattacha les chevilles des deux jeunes filles, et délivra celles de Coralie et Élise. Elle fixa une des chaînes au collier des deux jeunes filles, et les entraîna derrière elle.
Coralie frissonna en se rendant compte du diamètre des instruments qui lui perforer ses trous intimes.
Les deux jeunes filles marchaient derrière Diane en écoutant ses explications, qui leurs décrivaient les diverses parties du bâtiment. Diane s'arrêta à un endroit, en leurs montrant une pièce assez grande, dans laquelle était installer des grands bacs transparents.

" Votre salle de repos, dit-elle en désignant la pièce.

" Là bas, ce sera votre dortoir, ainsi que votre salle à manger."

Elle repartit en expliquant toujours et donnant des détails sur les diverses parties du bâtiment. Coralie se dit qu'elle aurait du mal à s'y retrouver, tellement le bâtiment était vaste.
Diane stoppa une fois de plus.

" Sachez donc mesdemoiselles, continua-t-elle qu'elles sont donc vos tâches. Vous êtes comme je vous l'ai dit tout à l'heure, du secteur assistance, et écoute. cela induit donc que, si une membre du réseau est en détresse moralement parlant, si elle veut se confier, si elle veut poser des questions, si elle a besoin de quelque chose et que ceci lui est permis, c'est à vous de lui apporter, de l'écouter, de discuter, de l'aider. Il faut que vous sachiez que, comme je l'ai dit à vos consœurs, le réseau Sad va dans les jours qui viennent, se mettre en place, d'un point de vue matériel, puis vous serez envoyé en extérieur pour faire entrer de nouveaux membres que nous aurons repéré auparavant. Ensuite le réseau va naturellement au fur et à mesure s'agrandir, et vous serez amenées à devoir partager vos tâches avec d'autres, voir comme vous aurez l'ancienneté, être responsable d'équipe voir de secteur. Nous en reparlerons quand la situation sera là, mais sachez que cela arrivera sans doute. En ce qui concerne la procédure d'accueil, comme je vous l'ai dit, nous en parlerons avant de vous envoyer en mission extérieure."

Elle fixa les deux jeunes filles dans les yeux, et celles ci baissèrent la tête. Elle repartit en tirant Coralie et Élise derrière elle, en finissant de leur donner les quelques explications qu'elle jugeait manquantes.
Elle revint dans la pièce où les attendaient Sylvie et Armelle. Devant elle, Juliette Laura et Virginie était toujours alignées, à genoux.
Diane amena Coralie et Élise à leurs places, les fit agenouiller, et leurs lia les chevilles.


" - J'ai amené Mathilde à la douche, déclara Sylvie, ça nous fera gagner un peu de temps.
- Oui tu as raison.
- D'ailleurs je vais voir où elle en est."

Sylvie se leva et sortit de la pièce.
Elle revint peu après en disant

" C’est bon j'emmène Laura."

Elle délia les chevilles de la jeune fille, et la tira derrière elle en disparaissant dans un couloir.
Diane s'était rassise, et contemplait les quatre jeunes filles, qui étaient toujours à genoux devant elle. Elle jouait nerveusement avec un cordon de sa jupe de cuir.
Sylvie revint peu après, et Emmena cette fois si, Élise derrière elle.
Puis, elle revint encore et emmena Virginie, puis ce fut au tour de Juliette, et ce fut enfin au tour de Coralie.
Celle-ci, suivit Sylvie dès que cette dernière lui ait délivré les chevilles.
À chaque pas qu'elle faisait, Coralie sentait les instruments qu'elle avait en elle, lui taraudait les entrailles et la faisait grimasser malgré elle.
Elle suivit donc sa maîtresse jusqu'une petite pièce, y entra, tandis que Sylvie refermait la porte derrière elle.
Elle saisit entre le pouce et l'index de chaque main l'un des côtés de la culotte de latex que portait la jeune fille, et la fit glisser le long de ses jambes.
La culotte tomba au sol dans un bruit mou. Sylvie la ramassa, et la jeta dans un grand bac, où se trouvaient déjà des culottes du même type, apparemment celles que portaient les autres jeunes filles.
Sylvie fit écarter les jambes de Coralie, et attrapant les godes qui bouchaient encore les orifices intimes de la jeune fille, les retira d'un coup sec.
Coralie gémit lugubrement sous la douleur de ce traitement.
Sylvie lui délivra ensuite les poignets et lui hotta le bâillon.


" - Aller ma chérie, invita Sylvie, tu te douche rapidement, et je te prépare. Ensuite tu rejoindras Élise dans ton secteur, pour mettre en place, et commencer à travailler.
- Bien madame. répondit Coralie timidement.
- Tu as de la chance, en plus, ce soir tu n'es pas de garde, ce sont Juliette et Virginie. Tu feras ta première garde, demain soir, avec Mathilde.
- Oui madame, c'est noté.
- Aller file, sourit Sylvie en indiquant la cabine de douche à Coralie."

La jeune fille se dirigea vers la douche, avec une démarche un peu chaloupée, sous l'étirement résiduel de ses orifices, et des douleurs qu'elle ressentait encore.
Elle entra dans la cabine, et referma la porte vitrée derrière elle. À travers celle ci, elle aperçut Sylvie qui l'observait. La vitre était totalement transparente, et ne cachait rien de la jeune fille, de ses mouvements, et de ces postures.
Coralie fit couler l'eau et se mit dessous. Elle se lava minutieusement et après s'être rincée longuement, elle sortit et se sécha avec la serviette que lui tendait Sylvie.
Sylvie l'attrapa par le bras et l'entraîna vers une table comme on en trouvait chez les médecins.
Elle l'y fit asseoir, et commença à la préparer. Elle lui installa un lange en lui indiquant qu’avec le travail qu'elle aurait, elle ne pourrait pas se soulager lorsqu'elle en aurait envie. Elle lui enfila en suite une grande culotte de maintient, des collants blancs, un haut à longues manches blanc également, une petite jupe noire, et des souliers noirs. Elle compléta l'équipement de la jeune fille en lui enfilant de longs gants de satin blanc. Elle lui enfonça également un bonnet de tissu blanc sur la tête, qui vint lui couvrir toute sa chevelure, ainsi que ses oreilles.

" - Aller tu es prête, au boulot maintenant, déclara Sylvie en la faisant descendre de la table.
- Bien madame j'y vais tout de suite."

Coralie partit en trottinant, et rejoignit Élise. À sa grande surprise, elle vit que son amie portait exactement la même tenue qu'elle. En voyant les trois lettres, S A D apparaissant sur le devant du bonnet, ainsi que sur le devant du haut, au niveau du sein gauche, Coralie baissa les yeux sur sa propre poitrine, et vit ses mêmes lettres au même endroit, sur le haut qu'elle portait.

Élise lui montra comment elles devaient ranger, et disposer, meubles, et instruments dans leur secteur.

La journée passa tranquillement, et Coralie fut même surprise lorsque Sylvie vint les chercher en leurs signalant qu'il était tant de se préparer pour la nuit.
Elle emmena Élise d'abord, puis revint chercher Coralie.
Elle la suivit jusqu'à la salle où elle avait pris sa douche le matin même, et où Sylvie la déshabilla, la lava brièvement, lui changea son lange, et lui enfila une grenouillère.
Elle suivit ensuite sa maîtresse dans la pièce attenante, et se trouva dans la pièce que Diane avait désignée comme la pièce de repos, pour les demoiselles.
Sylvie la tira vers l'un des bacs transparent. Deux d'entre eux étaient déjà occupé par Élise et Mathilde. Sylvie la fit se coucher dedans, et la couvrit d'une couverture.
Elle repartit ensuite, et revint quelques minutes plus tard avec Laura. Qu’elle fit coucher également dans l'un des bacs. Les quatre jeunes filles, de ce que pouvait voir Coralie, étaient vêtues de la même façon, et donc quasiment identique. Sylvie passa auprès de chaque jeune fille, et leur introduisit quelque chose dans la bouche. Lorsqu'elle arriva auprès de Coralie, celle-ci ouvrit la bouche instinctivement lorsque Sylvie présenta un tube devant ses lèvres.
Sylvie ferma enfin les bacs transparents par des grands couvercles, isolant ainsi les jeunes filles, et les laissant seules, livrées à elle même.
Le tube que Sylvie avait introduit dans la bouche des jeunes filles, leurs permettaient de respirer aisément, sans craindre de manquer d'air, enfermer qu'elles étaient dans leurs prisons de pvc.
Coralie ne pouvant pas bouger, mais se sentant bien n'essaya même pas de résister, et s'endormit très vite.

Elle fut réveillée le lendemain matin, par le bruit du couvercle au dessus de sa tête. En ouvrant les yeux, elle vit Diane auprès d'elle.

" - Aller Coralie, dit Diane en souriant, à la douche dépêche toi.
- Oui madame, tout de suite. Répondit la jeune fille."

Coralie sortit de son lit de fortune, et passa dans la pièce contigüe, où Diane la déshabilla, ou elle mangea, fit sa toilette, et où Diane l'habilla avec une tenue identique que celle de la veille.

Elle partit ensuite pour retrouver son amie Élise, et toutes deux reprirent leur travail.
La journée défila comme la veille, le midi Élise s'absenta pour manger, et lorsque celle-ci revint, Coralie partit pour manger à sont tour.
Lorsqu'elle eût fini de manger, et repartait à son ouvrage, elle croisa Juliette qui elle arrivait pour se requinquer. Elle lui sourit, et Juliette lui rendit son sourire en l'accompagnant d'un petit signe de la main.
La journée continua ainsi, et le soir arriva vite. Diane vint chercher Élise et l'emmena se préparer pour la nuit. Elle revint ensuite et guida Coralie jusqu'une toute petite pièce. Elle la fit asseoir sur un tabouret et reparti pour revenir quelques instants plus tard accompagnée de Mathilde, qu'elle fit également asseoir auprès de Coralie.

" - Mesdemoiselles, commença Diane, comme c'est votre première garde de nuit, je dois vous expliquer votre travail.
Pour l'instant, comme le réseau ne compte comme membres, que vous, votre travail ne se résume qu'à veiller à la tranquillité des locaux, en faisant chacune votre tour une ronde générale dans le bâtiment toutes les demies heures. Lorsque dans quelques jours, le réseau comptera de nouveaux membres, il vous faudra en plus de vos rondes, veiller à la sécurité des membres, et à la préparation éventuelle de certains secteurs ou certaines pièces, dont nous aurions besoin le lendemain matin. Et tout ça, dans le silence le plus complet, et la discrétion totale. C’est bien compris?
- Oui madame, répondirent les deux jeunes filles d'une même voix.
- Si vous n'avez pas de ronde à faire, ou de travaux à préparer, vous devrez être dans cette pièce, dans laquelle vous pourrez parler entre vous si vous le souhaitez, du moment que vous ne gêniez pas la tranquillité des autres. Je dois vous signaler également que comme tout le bâtiment, cette pièce est sous surveillance caméra, et donc si il arrivait quelque chose, vous seriez bien sur facilement confondue, et sanctionnées en conséquence."

Elle s'arrêta en fixant les jeunes filles dans les yeux et après une minute de silence leurs sourit.

" Bien maintenant je vous laisse et vous souhaite une bonne nuit."

Elle les salua de la main et sortit en fermant la porte derrière elle, laissant les deux jeunes filles seules.
Coralie resta quelques instants immobiles, considérant sa coéquipière pour la nuit. Cette dernière attendit quelques instants, et après s'être assuré que Diane était partie, elle se leva, et fit quelques pas. Elle se tourna vers Coralie et la regarda en souriant.

" - ça va tu vas bien? Demanda-t-elle.
- Euh oui, ça peut aller, répondit Coralie timidement.
- Oui comme moi quoi?
- C'est ça voilà, sourit Coralie.
- Je ne sais pas ce que c'est exactement ce truc SAD, mais à mon avis les filles qui vont nous rejoindre l'auront pas forcément voulu à 100 pourcents.
- Si tu veux mon avis, continua Coralie, je crois même qu’elles ne l’auront même pas voulu du tout.
- Oui, j'en ai bien peur. Acquiesça Mathilde l'air grave.
- Un peu comme nous quoi. reprit Coralie.
- euh oui si on veut.
- Oui.
- Tu sais, déclara Mathilde après un temps d'arrêt, j'ai du mal à comprendre ce que je fais là, je suis au service si on peut dire, de madame Armelle depuis juste deux mois donc tu vois ça fait pas longtemps.....
- C'est indiscret, si je te demande comment tu es arrivée chez elle? Interrogea Coralie.
- Non pas du tout, répondit Mathilde, après tu me diras ce qui t'es arrivée! En fait, j'ai 24 ans, et il y a encore deux mois, j'avais un petit ami avec lequel je m'entendais excellemment bien. Un jour je suis entré dans le salon de madame Armelle pour me faire faire un soin, comme tu le ferais de temps en temps. La première séance je n'ai rien vu, ni sentit de particulier. En payant, madame Armelle m'a dit qu'il faudrait que je revienne encore 2 ou 3 fois, afin de finir le soin complètement. J’ai donc pris rendez-vous et je suis revenue quelques jours plus tard. La deuxième séance c'est bien passée, et on m'a même proposé de boire un café, que j'ai accepté. Lorsque j'ai bu, j'ai trouvé que le café avait un goût étrange, mais je me suis dit que cela devait être dû à la machine qui était mal réglée. J’ai finit ma séance, et je suis partit. Arrivée à ma voiture, je me souviens avoir ouvert la porte, être montée au volant, et puis plus rien. Et je me suis réveillé complètement ligotée, et là j'ai dû me soumettre à madame Armelle, malgré mais protestations. Depuis ce jour là, je n'ai jamais revue mon amie, jamais revu quoique ce soit de familier."

En finissant son récit, Mathilde essuya une larme qui venait d'apparaître au coin de ses yeux.

" - je comprends. Dit Coralie en souriant et en posant sa main sur celle de Mathilde. Il est temps de faire la première ronde, si tu veux je la fais. Repose-toi, reprends tes esprits. Je te raconterai mon histoire plus tard en revenant.
- Oui d'accord je veux bien. Merci. Répondit Mathilde."

Coralie se leva, et partit dans les couloirs. Elle traversait de multiples pièces, de toutes tailles, et de toutes formes, contenant, des meubles et des instruments de tout genre et de tous types. Elle marchait lentement, en faisant attention de ne faire aucun bruit. La faible luminosité délivrée par les veilleuses, disposaient à distances régulières dans les couloirs, lui permettaient à peine de voir devant elle.
Elle passa devant la pièce où dormaient ses camarades, et en tournant la tête, aperçut les corps de ses compagnes dans leurs prisons transparentes. Elle continua sa progression, et après quelques minutes revint dans la pièce d'où elle était partie.
Lorsqu'elle entra, elle trouva Mathilde, assoupit sur son tabouret. Elle posa sa main sur son épaule.

" Mathilde? Mathilde? murmura-t-elle."

La jeune fille tressaillit.

" - Oui? répondit-elle en sursautant.
- Tu t'étais endormie.
- Oh excuse-moi. dit la jeune fille confuse.
- ça n'est rien, mais fait attention, si ça avait été l'une des maîtresses, tu aurais pu avoir des ennuis.
- Oui tu as raison, se reprit Mathilde. Tu me raconte ton histoire?
- Si tu veux, Déclara Coralie. En fait, J'ai rencontré madame Sylvie......."

Coralie raconta toute son histoire à Mathilde, comment elle était tombée dans les mains de Sylvie, comment s'était modifiée sa vie, comment elle avait connue Diane et Armelle, comment Élise était arrivée.....
Mathilde écoutait à la fois intéressée, mais aussi stupéfaite, des choses que Coralie avait subit et vécue.

La nuit se poursuivit lentement, et les deux jeunes filles parlèrent de leurs propres expériences, de leurs aventures.... Leurs discutions étaient entrecoupées des rondes régulières qu'elles accomplissaient chacune leur tour.
A 6 heures, Diane entra et les conduisit dans une pièce adjacente afin de les faire manger et les envoya directement à leurs travaux.

Élise arriva quelques minutes plus tard, rejoignant son amie. La journée se déroula comme celle de la veille, Coralie, n'ayant pas dormi depuis plus de 36 heures, commençaient à peiner dans ses travaux accablée par la fatigue.
Lorsqu'à la fin de la journée, Armelle vint la chercher pour la préparer pour la nuit, elle fit signe à son amie, en lui souhaitant bon courage pour sa première garde, et ne se fit pas prier pour se changer, et se mettre au lit. Le couvercle fut à peine refermé qu'elle fermait les yeux et plongeait dans un sommeil profond.


Deux semaines passèrent à ce rythme, et Coralie et ses amies commencèrent à s'habituer à ce nouveau type de vie.
Elle avait eu l'occasion de faire connaissance avec Virginie, Laura, Mathilde, et Juliette, lors de ces gardes de nuit, et avait sympathisé avec elles, toutes comprenant qu'elles devaient s'entraider si elles voulaient pouvoir tenir dans cette atmosphère.

Un soir Sylvie Armelle et Diane, les rassemblèrent toutes les 6 dans la pièce où elles avaient étaient amenées le premier jour.

" - Mesdemoiselles, commença Sylvie solennellement, voici plus de deux semaines que vous êtes dans le réseau SAD. Il est temps d'accueillir de nouveaux membres parmi nous. Pour cela, Voici comment cela va se passer. Contrairement à ce que vous nous avions dit le premier jour, vous ne serez pas toutes les 6 mais nous vous diviserons en deux équipes. Les trois premières iront sur place en mission extérieures, afin d'aller cueillir la fleur que nous voulons, et les trois autres attendrons ici, afin de prendre soin de la fleur à son arrivée et de l'accueillir. C’est bien compris?
Voici les équipes pour ce soir, à savoir qu'elles changeront régulièrement. Élise, Virginie, et Laura, vous irez sur le terrain. Coralie, Juliette, et Mathilde, vous accueillerez la nouvelle à son arrivée.
Les demoiselles partant sur le terrain veuillez suivre madame Diane et Madame Armelle, les autres restaient ici, avec moi nous allons nous préparez à accueillir la nouvelle."

Virginie, Laura, et Élise, se levèrent lentement et suivirent Diane et Armelle.

" Nous allons attendre que vos camarades se préparent et sortent avant de nous préparer. Déclara Sylvie. "


Quelques minutes plus tard, Sylvie emmenait Coralie, Juliette, et Mathilde, chacune leur tour à la douche et les rhabiller avant de les faire revenir dans la pièce.
Elle leurs expliqua la procédure d'accueil qu'elle avait mis au point avec Diane et Armelle, et une fois qu'elle se fut assurer que les trois jeunes filles avaient compris elle les amena dans un grand hall au bout du quel, se trouvait une porte pouvant laisser passer une camionnette.

" Maintenant, il faut attendre. Déclara Sylvie d'un air grave."

Les quatre femmes attendirent pendant plusieurs dizaines de minutes.
Coralie ressentait à la fois une honte immense de participer à ce genre d'action, mais éprouvait aussi une excitation immense.
Sylvie se tourna vers les trois jeunes filles en leurs disant :

" Reculez vous, Elle arrive. "

Coralie et ses deux compagnes eurent le temps de reculer pour laisser le passage à une camionnette qui vint s'arrêter devant elles. La porte s'ouvrit et Élise, Virginie, et Laura apparurent, complètement recouverte d'une combinaison de latex noire, et encadrant un brancard, sur lequel gisait le corps d'une jeune fille inanimée.
Lorsque le brancard fut sortit du véhicule, Sylvie déclara

" Mesdemoiselles c'est à vous."
Coralie et ses amies s'avancèrent, se saisirent du brancard, le poussèrent vers l'intérieur du bâtiment,
Et disparurent bientôt après avoir tournée le coin du corridor qui les amenait au véhicule.

 

ŠLE CERCLE BDSM 2008