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Histoires Des Invitées

Emma's Come Back from Evil

Par Rubberjohn

Alors que l’emprisonnement de Whore au fond du puits fétide continue jour après jour, une certaine inquiétude commence à gagner Peter. Il suit attentivement les signaux vitaux transmis par les capteurs installés dans la combinaison de Whore. Le rythme cardiaque s’est ralenti, l’activité cérébrale est très faible, et elle semble tombée dans un semi-coma où elle ne manifeste plus d’activité autre que le faible, mais régulier, battement de son coeur. Les orgasmes ont totalement disparu, elle ne manifeste plus de désir et sombre visiblement dans l’inconscience. Il commence à craindre que malgré son entrainement et son excellente forme physique ce traitement ne se traduise par un glissement définitif vers le coma et la mort. Il s’en ouvre à ses deux collègues, Magdalena et John, qui depuis le jour de l’immersion ont quitté la villa pour retrouver leurs activités et laissé à Peter le soin du monitoring permanent de Whore. John lui répond qu’il n’y a pas à s’inquiéter, qu’il a connu des esclaves durer plusieurs semaines dans cette situation sans dommage irréversible et Magdalena confirme cet optimisme en affirmant que la punition doit durer encore jusqu’à ce que Whore soit affaiblie et totalement cassée. Aucun des deux ne souhaite faire preuve de clémence car ils veulent d’une part punir définitivement cette arrogante, si possible en lui laissant des séquelles, et d’autre part s’assurer que Peter aura le cran de conduire cette punition jusqu’au bout si nécessaire.

Au 18e jour de captivité, l’ordinateur qui traite les signaux vitaux envoie une alarme, que lit Peter avec angoisse : « Vital signals are dangerously weakening. Life of subject endangered ». Il transmet cette information à ses deux collègues, qui ne prennent pas la peine de lui répondre. Il prend alors l’initiative d’appeler le médecin de l’Organisation qui l’avait aidé à préparer Emma. Celui-ci prend en charge sérieusement le sujet et l’information remonte au plus haut niveau de l’Organisation. Emma en effet est un sujet à haut potentiel et fait l’objet d’un suivi méthodique. C’est un asset majeur pour l’organisation et comme toute multinationale bien gérée, le suivi des actifs clefs est opéré avec sérieux !

Peter explique longuement que sacrifier Whore maintenant serait une erreur. Certes sa révolte mérite une punition sévère, mais elle doit l’assumer elle-même de façon consciente et lucide. Elle a montré une exceptionnelle aptitude à la souffrance et une grande créativité dans son choix de se prostituer comme sujet masochiste. Pour l’Organisation, exploiter les talents de Whore est beaucoup plus pertinent que de l’abandonner au fond de ce puis à une mort certaine, à la fois inexploitable à des fins commerciales et dépourvue d’exemplarité. Elle n’en tirera elle-même aucun plaisir alors qu’elle y est déterminée lucidement. Il propose donc que sa peine soit différée et que Whore ait le choix du châtiment auquel elle devra de toute façon s’exposer. Il est surtout indispensable que ses aptitudes soient exploitées.

Après concertation au sein de la commission de discipline de l’Organisation, la décision d’épargner Whore est transmise à Peter, comme à John et Magdalena. Ils n’ont que peu de temps pour la sauver car les indicateurs continuent de montrer une dégradation préoccupante de sa condition et elle n’est évidemment pas facilement accessible. La décision de dégager l’entrée du puits est prise et les ouvriers arrivent quelques heures plus tard avec un engin. Six heures plus tard, la trappe est accessible, et Peter et John, revêtus de leurs lourdes combinaisons de latex, de masques à gaz connectés à des bouteilles et de cuissardes, libèrent la trappe d’entrée. L’odeur est insoutenable. Ils approchent un palan auquel ils attachent la corde qui est reliée à Whore et commencent à remonter son corps, qui apparait après quelques minutes. Elle ne manifeste aucun signe de vie et Peter craint qu’ils ne soient arrivés trop tard. Sans la détacher, ils la nettoient avec de l’eau sous pression, puis délicatement, reposent son corps inanimé sur un brancard qu’ils s’empressent de porter dans la maison. Là, ils enlèvent son masque et lui administrent de l’oxygène pour la ranimer. Cela prend quelques longues minutes et enfin elle entrouvre les yeux. Son crâne lisse, son visage dépourvu de sourcils, d’une grande pâleur forment une sorte de masque mortuaire que la timide lumière dans le regard ne parvient pas à animer. C’est une Emma sans vie qu’ils extirpent de la combinaison emplie de plus de quatre semaines de déjections. Sa peau une fois nettoyée au jet glacé, apparait en tous points de son corps, de la même couleur livide que son visage. Elle ne bouge aucun muscle, elle est incapable d’articuler un mot. Pétrifiée par son séjour dans le puits, Whore reste totalement sans vie.

Après concertation au sein de la commission de discipline de l’Organisation, la décision d’épargner Whore est transmise à Peter, comme à John et Magdalena. Ils n’ont que peu de temps pour la sauver car les indicateurs continuent de montrer une dégradation préoccupante de sa condition et elle n’est évidemment pas facilement accessible. La décision de dégager l’entrée du puits est prise et les ouvriers arrivent quelques heures plus tard avec un engin. Six heures plus tard, la trappe est accessible, et Peter et John, revêtus de leurs lourdes combinaisons de latex, de masques à gaz connectés à des bouteilles et de cuissardes, libèrent la trappe d’entrée. L’odeur est insoutenable. Ils approchent un palan auquel ils attachent la corde qui est reliée à Whore et commencent à remonter son corps, qui apparait après quelques minutes. Elle ne manifeste aucun signe de vie et Peter craint qu’ils ne soient arrivés trop tard. Sans la détacher, ils la nettoient avec de l’eau sous pression, puis délicatement, reposent son corps inanimé sur un brancard qu’ils s’empressent de porter dans la maison. Là, ils enlèvent son masque et lui administrent de l’oxygène pour la ranimer. Cela prend quelques longues minutes et enfin elle entrouvre les yeux. Son crâne lisse, son visage dépourvu de sourcils, d’une grande pâleur forment une sorte de masque mortuaire que la timide lumière dans le regard ne parvient pas à animer. C’est une Emma sans vie qu’ils extirpent de la combinaison emplie de plus de quatre semaines de déjections. Sa peau une fois nettoyée au jet glacé, apparait en tous points de son corps, de la même couleur livide que son visage. Elle ne bouge aucun muscle, elle est incapable d’articuler un mot. Pétrifiée par son séjour dans le puits, Whore reste totalement sans vie.

Peter et John se succèdent toutes les deux heures et Whore reste profondément enfouie dans son sommeil… Il faudra près de deux jours pour qu’elle retrouve enfin la voix pour susurrer à la forme latexée et masquée qui se penche sur elle :
- Qui que vous soyez, ne vous donnez aucune mal pour moi. Je reviens de l’enfer dans ce puits, je souhaite tout arrêter maintenant. Ne me ranimez pas pour me torturer encore, je n’en peux plus. Achevez-moi maintenant, par pitié
- Whore, dit doucement une voix féminine, c’est Magdalena, qui retire alors son masque. Tu me reconnais ?
- Non, répond-elle. Qui est Whore ? Qui es-tu ? Suis-je déjà en enfer ?
- Tu es Emma, tu as décidé d’oublier ton passé et de devenir Whore. Souviens-toi de la ferme ? Du sous-bois ?
- Oui, Emma, je me rappelle. Vais-je au bureau demain ? Et les allemands ont-ils signé ? Qui suis-je ? Où cette chambre ?
- Rendors-toi, jeune femme, tout ira bien…

Whore referme les yeux, épuisée par cet effort, et replonge dans le sommeil. Magdalena raconte cet échange à Peter, et le médecin, consulté, confirme qu’elle a subi un très grave traumatisme peut-être irréversible. Que seuls beaucoup de repos, un régime approprié, permettront peut-être de la faire revenir pleinement à la vie…

Plusieurs semaines se soins seront nécessaires pour que Emma/Whore refasse le lien entre tous les épisodes des derniers mois de sa vie. Ses trois tuteurs, Magdalena, John et Peter l’aident patiemment à retisser tous les fils brisés. Retrouvant progressivement quelques forces, elle essaye de se lever, et après plusieurs tentatives, ses premiers pas lui redonnent de l’énergie. Puis un matin, elle demande un expresso, que Peter s’empresse de lui préparer, et à son retour elle luit :
- Peter, j’ai bien réfléchi, tout revient clairement dans ma tête. Pourrais-tu me redonner ma combinaison en latex, et surtout mon masque et mes gants, je veux sortir dans la cour. Peter, toujours lui-même en latex, s’exécute et l’aide à sortir de la maison, sous une pluie battante.
- Peter, c’est bon, j’aime tant la pluie. C’est comme cela que tout a commencé. Je veux continuer mon chemin. Je veux reprendre où je l’ai abandonné, provisoirement, là !
Montrant le puits au milieu de la cour, elle dit :
- J’ai bien cru mourir là, mais c’est aussi là que j’ai eu les plus beaux orgasmes de ma vie, surtout quand l’air venait à manquer. J’ai finalement aimé sentir graduellement mes excréments envahir ma combinaison, j’ai compris la profondeur de mon masochisme et je veux pleinement l’exacerber maintenant. J’ai beaucoup réfléchi en remontant la pente où vous m’aviez jetée. Je suis désolé d’avoir manqué à toute discipline. J’ai simplement craqué, oubliant mes souhaites les plus intenses, trahissant votre confiance. Votre châtiment était légitime et vous m’avez finalement graciée. Je vous dois la vie et je vais pleinement vous satisfaire maintenant. Je veux revoir TheWhore, je veux prendre sa place. J’y suis résolue. Mais je sais qu’auparavant je dois m’acquitter de ma dette envers l’Organisation.
- Whore, j’ai beaucoup tenu à te ramener vivante de ce puits. Je vais m’attacher comme nous l’avions décidé ensemble, à t’aider à te faire vivre le plus longtemps possible tes désirs les plus extrêmes. Rentrons, je dois expliquer tout cela à l’Organisation qui décidera.
- Merci, Peter, pour tout cela, pour cette vie extrême, pour l’intensité de ces traitements qui répondent et, au-delà, à mes vœux. Je sais que je flirte avec les limites, mais c’est ainsi que je veux continuer.... Est-ce suffisamment clair ? Dois-je resigner le contrat ? Ais-je mérité d’entrer en phase 3 ?
Peter se ravise et prenant Whore par la main, l’attache au poteau placé au milieu de la cour. La pluie continue intensément. Whore le remercie et Peter entre discuter en visio-conféernce avec l’Organisation. Ils se connecte avec John, Magdalena et quelques responsables. Peter relate sa discussion avec Whore. Après plus d’une heure d’intenses échanges, Peter sort et ramène Whore ruisselante pour continuer la discussion. Tous ont un masque à gaz et sont uniformément vêtus de latex.

Sur l’écran, un des dignitaires de l’Organisation prend la parole :
- Whore, ton attitude a été indigne de ton engagement mais finalement, après l’enfermement épuisant qui t’a éprouvée, nous avons décidé de te gracier provisoirement. Sache que la sentence est simplement et provisoirement suspendue. Pour la commuer en grâce, provisoire d’ailleurs car ton contrat conserve une phase 4 que tu as librement choisie, tu devras racheter ta peine par une conduite exemplaire. Tu seras, sous le contrôle de tes trois tuteurs, seule en charge de démontrer librement la réalité de ton engagement. Tu as six mois pour le faire. Tu es libre de tes choix, et bien entendu, tu seras assignée à résidence dans la maison où tu te trouves. Mais tu seras la seule juge de l’intensité des tortures que tu devras subir pour te racheter. Tes tuteurs t’assisteront, te guideront, et dans six mois, nous jugerons sans appel l’intensité de ton parcours. En cas de défaillance, tu seras immédiatement exécutée comme Karen.
- J’ai parfaitement compris. Je vous démontrerai ma détermination comme ma créativité.
- Et bien , nous nous somme tout dit, il te reste 180 jours…

La conférence prend fin, et Whore se retrouve seule avec Peter, ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps.

- Peter, je te demande de m’enfermer dans la pièce où j’étais depuis mon arrivée et de m’attacher au lit métallique. Ne me libère que dans 48 h, je dois réfléchir intensément à ce qui doit être mon programme. Mais auparavant, je souhaite, maître, que vous acceptiez de déféquer dans ma bouche pour montrer que vous désirez toujours votre pute maso et scato. Peter n’attend pas pour s’exécuter, puis lui urine dans la bouche et sur la combinaison latex, et reconduit Whore dans sa cellule, où elle est solidement attachée sur le lit métallique, sans matelas, Les portes métalliques se referment à nouveau sur Whore, sereine face à ses choix, sa révolte s’étant mué en profond désir de servir et de s’avilir cette fois sans espoir de retour à une autre vie.

la suite....."Nouveaux Rituels"

 

 

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