Histoires Des Invités

 

Histoire

Weekend Au Chalet

Par alain

 

Le travail a repris son cours et plusieurs voyages m'ont tenu loin de la France. Cela ne m'empêche pas de continuer à vivre mes envies et ma passion pour les dessous féminins. Mes bagages contiennent toujours de tels dessous, ce qui laisse parfois les douaniers surpris.
Nous sommes début juin, j'ai devant moi quelques jours de vacances et ce jeudi matin, alors que je prends mon petit déjeuner, le téléphone sonne, c'est Aline.

Allô, Marc, tu es de retour, justement je pensais à toi, j'ai besoin de tes services pour un dossier très urgent pourrais-tu le voir aujourd'hui ?

Étant libre, je lui propose de passer à son bureau elle me dit alors.

J'ai des réunions toute la journée et ne serai pas disponible avant ce soir, mais je vais te faire porter celui-ci par une de mes collaboratrices, tu pourras le regarder et je passerai chez toi en rentrant si tu es disponible.

Je lui dis qu'il n'y avait pas de problème et que je l'examinerai rapidement. Elle ne peut s'empêcher de me dire :

C'était bien notre dernière sortie non ? Que portes-tu en ce moment ?

Je lui réponds que j'ai un combiné gaine culotte, des bas avec les chaussures à talons et une robe longue fourreau en satin, à manches longues, le tout de couleur noire. Elle réplique :

Tu n'as pas changé d'avis, tu es toujours d'accord pour accepter mes directives ?

Je lui réponds que oui, ma passion pour les dessous et les jeux de bondage est intacte.

Parfait, alors tu vas rester comme ça, et tu recevras ma collaboratrice ainsi habillé.

Je réponds que je ne la connais pas et que cela me gène. Elle réplique aussitôt :

Alors tu mettras en plus un bâillon anneau et la cagoule, fermée avec un cadenas jaune, tu te rappelles que j'ai conservé les clés de tous les cadenas qui ont un point jaune ? Par contre, laisse tous les accessoires dans le sac. Comme cela, elle ne verra pas ta tête, et tu ne pourras pas la draguer. Peut-être lui donnerais-je, en plus, quelques directives à appliquer... Tu verras bien.

Je lui dit que j'allais lui obéir.

Tiens, tu vas lui préparer un café, tu la recevras avec ton petit tablier de soubrette et tu lui servira le café au salon, je vais lui donner mon appareil photo, comme ça elle pourra garder les preuves, n'oublies pas d'ouvrir la porte à l'avance, quand elle arrivera.

Finalement je suis assez excité par la tournure que prennent les évènements, je n'attends personne aujourd'hui. M'ayant avisé qu'elle serait là vers 10h30, je finis de déjeuner tranquillement et après un passage à la salle de bains, me dirige vers ma chambre, sortant avec plaisir de la commode le sac rouge, la cagoule de cuir et le bâillon anneau. J'ajuste celle-ci - je ne l'avais pas utilisée depuis notre dernière expérience - la lace, ferme la glissière métallique qui part du haut du crane, engage l'anneau du fermoir dans le collier, serre celui-ci fermant l'ensemble, et termine en posant le cadenas, dont je n'ai pas les clés. Prenant ensuite le bâillon, je le positionne, passe les sangles dans les passants de la cagoule, le fixe derrière ma tête et termine en posant un autre cadenas bloquant définitivement celui-ci.
Me voilà de nouveau dépendant d'Aline.
A 10h20, une voiture s'arrête devant le portail au bout de l'allée de la maison, discrètement je regarde, il en descend une jeune femme très belle, aux cheveux blonds coupés courts, j'en déduis que c'est elle la nouvelle collaboratrice d'Aline. Elle est vêtue d'un tailleur gris, ses jambes sont gainées de bas fumés et chaussées d'escarpins à talons. Je me dépêche de me mettre dans l'entrée, vérifiant ma tenue. Elle remonte l'allée, hésite un moment, puis avance vers la maison. Elle me voit, s'arrête, et prends le temps de me regarder.

Bonjour, vous êtes Marc, je m'appelle Mireille et je suis la nouvelle collaboratrice de Madame Julien. Ou puis-je poser ces papiers ?

Je lui indique la table derrière moi.

Ne bougez pas, je dois faire quelques photos de vous pour Madame Julien.

Elle pose le dossier et prend deux photos de moi.

Bien, maintenant vous devez aller chercher le reste du dossier dans le coffre de ma voiture.

Je la regarde surpris, la voiture est garée devant mon portail, bien que distant de la route principale d'une centaine de mètres, on peut me voir, et me reconnaître, surtout si ce sont des gens du village !

Allez, ce sont les ordres de Mme Julien, je dois faire des photos de vous, montrant votre action, allez-y.

Je n'ai pas le choix, elle me tend les clés de la voiture et me voila parti, elle prend plusieurs photos. Je me dépêche, autant que me permet l'étroitesse de ma robe, craignant à tout moment de voir une voiture. Heureusement qu'à cette heure-ci, c'est plutôt calme. Je reviens vers la maison, le bruit du moteur d'une voiture qui arrive me donne quelques frayeurs.

C'est bien dit Mireille, posez-le avec les papiers, vous avez du café prêt m'a-t-on dit, je vais m'asseoir sur le canapé.

Elle s'installe confortablement, croise ses longues jambes. Je vais chercher le plateau avec le café et quelques gâteaux secs, le pose sur la petite table devant elle.

Mettez-vous à genoux devant moi et faites le service, je pense que Mme Julien appréciera la photo ainsi.

Je fais ce qui m'est demandé et l'ayant servie, je reste sans bouger, le buste droit, les mains dans le dos, attendant qu'elle le boive, ce qui prends quelques minutes. Ensuite, elle se penche vers son sac, attrape une enveloppe, ce qui me permet de voir qu'elle porte des bas, apercevant un bref instant une jarretelle rouge.

Je n'avais pas le droit de l'ouvrir avant d'être ici, mais je dois vous lire les instructions de Mme Julien à haute voix et les appliquer à la lettre.

Elle ouvre l'enveloppe en sort deux autres plus petites, sur une est écrit "à ouvrir en premier" sur l'autre "attendre". Elle ouvre la première et commence à lire.

Bien, vous êtes prêts tous deux, puisque Mireille lit, Marc, s'il ne l'est pas doit être à genoux, mains dans le dos. Mireille, tu te mets devant lui et tu vas enlever ton tailleur, ensuite tu continues à lire.

Sans être surprise, elle pose la lettre, déboutonne sa veste, l'enlève apparaissant en soutien gorge rouge, puis baisse la fermeture de la jupe, la quitte, et pose l'ensemble sur le canapé. Mireille revient alors vers moi vêtue de ses dessous, en string, p-j, et soutien gorge le tout assorti d'un rouge intense. Reprenant la lettre, elle continue sa lecture.

Voila, vous faites ainsi connaissance, Marc peut te voir, et t'admirer, mais interdiction pour lui de te toucher. Tu vas le préparer pour la journée, il doit te conduire vers son bureau, fermes tout d'abord la porte d'entrée et pose les clés sur la tablette à gauche de la porte.

Pendant que Mireille s'exécute, je prends les affaires et me dirige vers mon bureau. Elle me suit, je pose les dossiers et elle reprend la lecture.

Bon, maintenant, Mireille, tu prends la ceinture de cuir dans le sac et tu équipes Marc, en attachant aussi le bout d'une chaîne, fermes le tout avec un cadenas jaune ensuite, tu vois le radiateur fixé au mur derrière son bureau ? tu vas y attacher l'autre extrémité en laissant la longueur nécessaire pour qu'il puisse s'asseoir et accéder à la photocopieuse.

Mireille, consciencieusement exécute l'ordre, puis reprend la lecture.

Prends une photo de Marc dans cette position, ensuite tu lui donne l'appareil photo et tu vas te mettre face à lui de l'autre coté du bureau, sur le canapé devant la fenêtre, quand tu y est, tu vides le sac, prends l'autre ceinture que tu mets, comme pour Marc, tu attaches l'autre extrémité au radiateur sous la fenêtre, avec environ deux mètres de chaîne libre. Tu utilises les cadenas rouges, ils sont ouverts, les clés sont dans la petite pochette rouge, tu les vois ? Surtout laisse les clés dans la pochette fermée.

Mireille s'exécute et se retrouve elle aussi enchaînée rapidement. Elle reprend la lettre et continue la lecture à haute voix.

Maintenant, tu vas t'asseoir, et lire le contenu de la deuxième enveloppe.

Mireille s'assied et déplie l'autre lettre.

Demandes à Marc de te photographier, ensuite tu vas t'équiper de la cagoule de cuir avec le bâillon, bien la fermer, toujours avec les cadenas rouges, ensuite tu prendras les quatre bracelets reliés par les chaînes, tu mettras une paire à tes chevilles avec des cadenas rouges, et avant de mettre l'autre paire à tes poignets, mains dans le dos, tu fixera le bandeau sur la cagoule. Comme cela tu seras dans le noir. Ensuite, tu attendras mon coup de téléphone, le bureau est équipé d'un répondeur, je te donnerai les instructions pour la suite, tu te libéreras et viendras me retrouver à 15h précises. N'oublies pas. Marc prendra bien sur quelques photos au cours de tes actions. Allez, exécution.

Mireille commence alors à exécuter les ordres et dix minutes plus tard ,elle est couchée sur le canapé, dans le noir, attendant le coup de téléphone d'Aline. Je ne peux m'empêcher de la regarder, c'est un petit avantage, il est 11h15 et je commence alors à travailler, de toute façon, je n'ai pas le choix !!!
Plongé dans le dossier d'Aline, je ne vois pas le temps passer, Mireille complètement aveuglée, s'est endormie et je la regarde de temps en temps, elle est magnifique d'autant plus qu'elle est alanguie sur le canapé et me fait profiter de ses formes, mises en valeur par ses dessous affriolants.
Le téléphone sonne tout à coup, réveillant Mireille en sursaut, je regarde la pendule, il est 13h00.

J'espère que vous êtes tous deux dans les positions que j'imagine ? Bien, Mireille je t'autorise à te détacher, je te donne 3/4h à partir de maintenant pour venir me rejoindre, dépêches-toi.

Elle raccroche aussitôt. Je vois Mireille chercher à tâtons la pochette contenant les clés, à tâtons, puis chercher la bonne clé. Au bout d'un long moment, elle n'y arrive pas, elle s'arrête puis reprend méthodiquement chaque clé. Le temps passe, elle ne parviens pas à se détacher. Après plusieurs essais, elle comprend que les bonnes clés ne sont pas là. Deux solutions, soit Aline s'est trompée ou soit, elle l'a fait exprès!!! J'aurais tendance à pencher pour la deuxième solution, la connaissant.
Mireille s'agite encore un moment, grogne dans son bâillon, puis finalement se recouche sur le canapé, fataliste. Que va-t-il se passer maintenant ?
Tout à coup je réalise que c'est le jour ou la femme de ménage vient, pris de panique, je réalise qu'elle va nous trouver dans une drôle de situation, j'en ai des sueurs froides, tout le village va être au courant de mes penchants pervers et de plus je ne suis pas seul. Elle arrive vers 15h d'habitude, il reste 1h30 avant son arrivée, je me lève et dans la limite de mes mouvements, cherche quelque chose pour m'aider à me libérer. Je fouille dans les tiroirs du bureau, mais peine perdue, il n'y a rien, les cadenas sont solides. Après une demi-heure d'efforts, je me résigne à cette situation, envisageant les conséquences de cette découverte.
Je ne peux m'empêcher de regarder fréquemment la pendule. Mireille de son coté ne bouges pas, sûrement résignée elle aussi.
A 14h50, le téléphone sonne, c'est Aline une nouvelle fois.

Mireille, tu es très en retard, aurais-tu eu un problème... de clés ? Sûrement, j'ai par inadvertance "oublié" de laisser les bonnes clés !!! Tant pis pour toi, tu vas tenir compagnie à Marc toute la journée, puisque je ne suis pas libre avant ce soir. Mais je suis bête, vous êtes bâillonnés tous les deux !!! Dommage, on m'attends, passez une bonne après-midi. Au fait, Marc, j'ai avisé ta femme de ménage, elle ne viendra pas aujourd'hui... Tu es rassuré ?

Elle raccroche aussitôt, je pousse un ouf de soulagement, elle m'a, pendant plus d'une heures fait craindre le pire. Mireille, qui entre temps s'est assise sur le canapé semble de son coté avoir accepté la situation.
Nous passons l'après-midi comme cela, il fait nuit et nous sommes dans le noir,la dernière fois que j'ai pu voir l'heure, il était 20h, je n'ose pas allumer, cela laisse penser qu'il n'y a personne à la maison. Mireille allongée s'est assoupie, jusqu'à quand Aline va-t-elle nous laisser ainsi ? Enfin une voiture s'arrête au portail, des pas sur le gravillon et j'entends la porte s'ouvrir, ce ne peut-être qu'Aline qui arrive.
Effectivement, la porte s'ouvre et la lumière jaillit.

Oh, mais vous êtes dans le noir, et sages à ce que je vois.

Je regarde la pendule, il est 21h00, cela fait dix heures que nous sommes attachés. Aline s'approche du bureau et prends l'appareil photo.

Voyons voir si tout à été respecté à la lettre.

Elle fait défiler les photos en ponctuant de temps en temps par des "bien, bien". Elle s'approche de Mireille, lui enlève le bandeau des yeux, détache sa chaîne du mur, puis ôte celle des chevilles et la fait se lever. Elle la tire avec la chaîne de sa ceinture et l'amène vers moi.

Alors, vous avez fait connaissance ? Qu'en penses-tu Marc, elle est belle, non ? Tu as compris que comme toi elle adore les jeux de bondage, cela promet de belles rencontres. Tu as de quoi manger sûrement, Mireille va nous préparer quelque chose, moi j'ai envie de prendre l'apéritif, tu vas me le servir pendant ce temps je vais examiner tes propositions pour mon dossier.

Elle me libère à mon tour de la chaîne ce qui me permet de retrouver ma liberté, mais je garde tout le reste. Mireille va à la cuisine alors que je me dirige vers le bar. Je reviens portant un plateau avec bouteille , verre, glace et amuses gueule pour Aline. Alors que je prépare à poser le plateau sur la table, elle me dit :

Viens ici et garde le plateau devant toi, bien droit, ne bouges pas, jambes bien serrées.

J'obéis aussitôt, elle se lève du canapé, vient vers moi, prenant au passage le rouleau d'adhésif. Elle commence alors par mes chevilles qu'elle serre de plusieurs tours, en prenant bien soin de prendre le tissus de la robe, puis coupant la bande, elle recommence sous mes genoux. Plusieurs anneaux sont placés ainsi maintenant mes jambes bien collées, elle reprend ensuite au niveau de mes épaules faisant aussi un anneau, un second est placé quelques centimètres au dessous et d'autres jusqu'au niveau des coudes. Je ne peux plus bouger, seuls mes avants bras sont libres tenant le plateau.

Tu es bien comme ça, tu es devenu un bar annexe, c'est bien pour prendre l'apéritif. Je vais voir ou en est Mireille, surtout ne renverses rien.

Ma position n'est pas très stable, surtout avec les talons. Je m'efforce de ne pas bouger, j'ai peur d'incliner le plateau et de faire tomber quelque chose. Je reste un long moment ainsi, Aline parle à Mireille dans la cuisine, je n'entends qu'un murmure. Elle reviennent, Aline dit à Mireille de la servir, elle s'active sur le plateau, remplit le verre.

Donnes le moi, et pose le plateau sur la table, après tu finiras de l'attacher, bien comme il faut.

Mireille prend le plateau, je le lâche sans pour autant bouger, elle l'emporte, puis dans un deuxième temps, elle me prend le poignet gauche et plaque celui-ci contre ma cuisse, puis fait pareil avec le droit. L'adhésif entre en action et en quelques minutes, elle termine le ligotage commencé par Aline, je ne peux plus bouger, même pas un doigt, Mireille consciencieusement m'a enveloppé les mains avant de finir les derniers tours.

Très bien, laisse-le comme ça, c'est parfait, à toi maintenant, mets-toi droite comme lui, juste à coté, près du canapé.

Sans un mot, Aline attache Mireille, on n'entend que le bruit de l'adhésif qui se déroule. Cela dure un long moment, enfin elle dit.

Voilà, vous êtes pareils tous les deux, je vais vous photographier.

Elle bouge autour de nous, prenant plusieurs photos.

C'est très bien, le temps passe vite, il est 22h30, je vais vous laisser un peu et aller manger, ensuite j'aviserai.

Elle part vers la cuisine ou le bruit de la radio, qu'elle a allumée, couvre ses mouvements. Lorsqu'elle revient, elle décide de nous faire manger, commence par nous enlever les baillons anneaux et ensuite nous fait prendre de petits sandwiches préparés par elle ainsi que boire. Elle nous laisse alors un peu de répit, puis nous bâillonne à nouveau. Les bandeaux viennent compléter la fermeture de la cagoule, Aline n'oublie pas de passer les sangles dans les passants latéraux de la cagoule, ce qui empêche tout glissement, et bien sur toute possibilité de les ôter et pose un cadenas.
Elle se plaque contre moi et ses mains me caressent les fesses, voyant que je ne suis pas insensible à ses gestes, elle se colle alors contre mon dos et reprend ses investigations, pinçant mes tétons, puis lâchant l'un, sa main droite saisit ma verge à travers la gaine lui donnant de la vigueur.

Que vais-je faire de vous cette nuit ? J'ai une idée, je vais déployer le canapé et vous coucher dessus.

Elle me lâche alors et je l'entend ouvrir le canapé, celui-ci contient un matelas d'un mètre quatre-vingt de large.

Parfait, je vous couche dessus, l'un et l'autre, je commence par Toi Mireille, tu es la plus légère.

J'entends le basculement de Mireille, soutenu par Aline.

Allez, roule, voilà c'est parfait. A toi Marc.

Elle me pousse alors en arrière, ses mains accompagnant le mouvement, je bascule sur le canapé. Elle soulève mes jambes et les tire.

Bouges-toi un peu, pour te mettre bien droit.

Je m'efforce de suivre ses mouvements.

Encore quelques photos, vous êtes bien tous les deux, ainsi cote à cote, mais il ne faut pas que vous tombiez, je vais y remédier.

Je sens Aline attacher une corde à l'anneau du dessus de ma cagoule, apparemment, elle l'attache au dessus de ma tête, sûrement à la structure du canapé, quelques instants plus tard, ce sont mes pieds qui sont concernés, attachés de la même façon. Aline tire ensuite sur chaque corde en riant.

Essayez de vous soulever un peu pour voir, toi d'abord Marc.

Je ne peux bouger beaucoup, mais je sens les cordes ayant une certaine élasticité.

A toi, Mireille essaye de bouger aussi.

A ce moment là, je ressent les mouvements des cordes, je comprends alors qu'Alice nous a reliés l'un à l'autre, nos cagoules ensemble ainsi que nos pieds.

Vous avez compris que vous êtes attachés l'un à l'autre, mais les cordes passent entre les ferrures du lit, vous ne pouvez donc pas vous toucher vu la largeur du lit. Bon, eh bien, je vais me coucher moi aussi.

J'entends Aline monter à l'étage, puis faire couler l'eau dans la salle de bains. Un moment plus tard près de nous.

Finalement le canapé est vaste, je vais me coucher entre vous deux, ce sera très bien.

Elle m'enjambe, s'appuyant sur ma poitrine et se couche. Je la sens contre moi, effectivement, il y a de la place pour trois !
Je n'arrive pas à m'endormir, à coté de moi, rien ne bouge, dorment-elles ? A cet instant, je sens la main d'Alice se poser sur moi, elle caresse ma jambe, ses doigts glissant sur le satin de ma robe, puis remonte sur ma verge. Celle-ci se tend aussitôt, prise en main par ma voisine. Aline ne bouge pas, sa main seule s'active. Si Mireille est réveillée, elle ne peut se douter de ce qui se passe à coté d'elle !!! A moins que connaissant la malice d'Aline son autre main soit partie en exploration de l'autre côté ? Il m'est impossible de le savoir.
Aline serait-elle endormie dans cette position ? Elle ne bouge plus, et moi par contre le fait d'être dans cette situation m'empêche de dormir, la main qui me tient a des contractions par moment, me conforte dans l'idée qu'Aline dort !!!
Je ne la rejoint dans son sommeil que longtemps après.
Ce qui me réveille est un traction sur la corde de ma cagoule, cela veut dire que Mireille est réveillée, et cherche à bouger. La voix d'Aline se fait entendre.

Alors vous êtes réveillés tous les deux, il est 7h et il faut aller au travail, Mireille, je te détache, tu te prépares.

Je sens Aline s'activer et Mireille, se lever du lit, mais elle ne me détache pas, je suis toujours saucissonné, je bouge un peu sur le lit, les cordes liant ma cagoule et mes pieds sont libres. Aline est près de moi, sa mains m'attrape, me caresse à nouveau.

Mon petit Marc, toujours en forme à ce que je vois, tu es en congés, j'ai bien envie de te laisser comme ça encore quelques heures... Qu'en penses-tu? Tu ne dis rien? Le problème est que ta femme de ménage va venir, j'ai une idée.

Mon bâillon anneau occulte toute manifestation de ma part, cela l'amuse semble-t-il. J'entends des pas dans le salon, Mireille doit être revenue.

Mireille, Marc est puni, on va le laisser attaché, mais il faut le sortir de là, on va le mettre au placard, il va en profiter comme ça un maximum. Tu aimes être attaché, tu vas être servi.

Le placard occupe un pan de mur, il y a des étagères d'un coté, mais de l'autre, c'est vide, le fond est équipé de différents anneaux scellés au mur, que j'avais installé à la demande d'une ancienne amie, pour m'attacher.

Aides-moi on va le lever et l'amener jusqu'au placard.

Ainsi fut fait, quelques instants plus tard, je suis installé dans le placard, les filles m'ont attaché aux anneaux, je suis doublement immobilisé.

Très bien dit Aline, on va fermer la porte à clé, sa femme de ménage arrive vers 9h00. Tu as compris, Marc ce que cela veut dire, profites bien de la situation...

Sans autre mot, elles me laissent la et ferment la porte à clé. Me voilà prisonnier, impossible de bouger, même la cagoule a été attachée, par son anneau en haut !!!

Elles sont parties depuis longtemps, lorsque j'entends la porte d'entrée s'ouvrir, c'est la femme de ménage, elle commence son travail, je l'entends aller et venir dans la maison, elle a mis la radio, ce qui me permet d'avoir un repère dans le temps.
Alors que la radio diffuse les informations de midi, la femme de ménage s'arrête, je présume qu'elle va faire sa pause repas. Je l'entends s'activer dans la cuisine, puis elle revient vers le séjour, j'en déduit qu'elle va manger ici. Elle allume la télé, la regarde un moment, puis tout à coup j'entends un changement de programme, surpris, il y a de la musique, puis des voix, au début je ne comprends pas ce qu'elle regarde, puis tout à coup je comprends qu'elle a mis un DVD, les dialogues sont chauds, elle regarde un de mes film !!!
Anna, ma femme de ménage à environ trente-cinq ans, c'est une belle fille, lorsque je l'ai engagée, après avoir passé une petite annonce il y a trois mois, j'avoue avoir fait mon choix sur elle car c'était une brune typée, mince et que ce jour là elle portait un ensemble noir. Elle dégageait une personnalité affirmée, ce qui m'a plu aussitôt.
Mais les choses en étaient restées la jusqu'à ce jour, il est vrai qu'elle s'occupe de ma maison pendant mes absences en fait, je ne l'ai rencontrée que deux fois depuis qu'elle vient ici. Il me vient tout à coup une pensée : comment Aline a-t-elle pu la contacter pour différer sa venue hier alors qu'elle ne la connaît pas ?
Dans la pièce le son monte, j'entends les personnages distinctement et comprends que le film est un film de domination, la maîtresse est en train de s'occuper de son soumis qui est semble-t-il en train de subir lui aussi diverses choses. Anna qui a vraisemblablement fini son repas, reprend son activité sans avoir éteint la télé, elle est proche du placard, heureusement qu'il est fermé, elle ne se doute pas de ce qu'il contient.
Elle continue un moment, je sursaute tout à coup, le placard près du mien est ouvert, que cherches-t-elle ? Elle fouille à l'intérieur quelques instants, je retiens ma respiration, même si ma réaction est idiote, la cloison fait écran entre les deux parties. Le film finit par s'arrêter, la radio prend le relais Anna est toujours dans la pièce.
Tout à coup, la clé est mise dans la serrure du placard, puis la porte s'ouvre en grand, je panique, Anna est la, soudain devant moi...

Bonjour monsieur Marc, vous êtes bien attaché à ce que je vois, madame Aline m'a laissé un mot vous concernant, je dois m'occuper de vous cet après-midi. Voyons, par quoi dois-je commencer.

Comment Anna est arrivée ici, qu'a fait Aline pour cela, je suis dans une drôle de situation, complètement abasourdi par ce qui se passe. Anna parle à nouveau.

D'après le mot de madame Aline, vous êtes attaché ici depuis ce matin... Vous devez avoir une sacrée envie de vous soulager... Je vais mettre mes gants et m'occuper de ça.

Ses mains viennent au contact de mon ventre, soulèvent ma robe, détachent le gousset de la gaine et s'infiltrent, m'extrayant totalement.

Oui, effectivement, il y a urgence semble-t-il.

Je sens le contact d'un objet dans lequel elle introduit ma verge.

Allez, soulagez-vous dans ce récipient. Cela ira mieux après.

Je me laisse aller, effectivement depuis un moment je commençais à penser sans arrêt à cela, craignant me soulager sans pouvoir me retenir.

Très bien, je vais vous nettoyer un peu.

Je sens un linge froid sur mes parties et le contact des gants de plastique, Anna minutieusement s'acquitte de son nettoyage, agissant lentement, ce qui me redonne une certaine vigueur qui a l'air de la satisfaire.

Mais c'est bien joli tout ça, je ne savais pas que mon patron avait des goûts pour les jeux de rôle, je comprends pourquoi madame Aline m'a fait postuler pour votre petite annonce sur le journal maintenant.

Elle me laisse, semble ne plus s'occuper de moi, puis le bruit de l'aspirateur se fait entendre, elle a repris ses activités. Elle revient un moment plus tard, vous devez avoir soif peut-être, je n'ai pas la clé du cadenas du bâillon, je vais trouver une solution. Cinq minutes environ plus tard :

Allez, on y va, j'ai trouvé un biberon à la buanderie, je vais passer la tétine dans l'anneau du bâillon, rassurez-vous je l'ai bien lavé avant.

La tétine de caoutchouc entre dans ma bouche doucement.

Buvez doucement, vous n'allez pas vous étouffer! J'ai l'habitude des vilains garnements comme vous, cela faisait longtemps que je n'en avais pas rencontré, le hasard m'a fait croiser Madame Aline, finalement je ne suis pas déçue.

Elle me redonne à téter encore, puis s'exprime à nouveau.

Voyons la suite de sa lettre, je vais devoir vous changer de place et vous mettre ailleurs. Ce sont ses directives, il faut que vous soyez en place pour son arrivée.

Elle commence par me détacher des divers anneaux, me fait sortir du placard et avancer de quelques pas. Elle me prend par le bras et m'entraîne.

Nous allons à la salle de bains, je pense que vous en avez besoin.

Quelques pas plus loin, nous y sommes certainement.

Je vais vous faire la toilette, puisque je ne peux pas vous libérer des cadenas de votre cagoule.

Je sursaute, ma femme de ménage entre dans un rôle nouveau. Elle commence alors à me déshabiller, je suis maintenant nu devant elle. Me reprenant par le bras, elle me conduit aux toilettes, et finit alors de m'enlever le plastique entourant mes mains.

Je vous laisse quelques minutes, puis je viens vous laver.

Elle m'approche de la cuvette, m'ayant fait comprendre ou j'étais, puis s'en va fermant la porte. J'en profite, bien que dans le noir ce ne soit pas facile, le bruit de l'eau qui coule précède de quelques secondes le retour d'Anna. Elle m'entraîne à nouveau après m'avoir menotté les mains dans le dos. Je sens le bac à douche sous mes pieds, elle commence par m'asperger entièrement et ensuite ses mains gantées de caoutchouc entrent en action et me lavent entièrement, sans oublier le moindre recoin... Cela ne me laisse pas indifférent et se voit, mais elle ne s'arrête pas pour autant et consciencieusement poursuit sa tache. Elle me sèche ensuite avec des serviettes et me fait sortir de la douche. Je sens contre moi par moment le tablier de caoutchouc qu'elle a du enfiler pour ne pas se mouiller.
Une fois terminé, elle me fait chausser les escarpins et me sort de la salle de bains. De toute évidence je suis ramené dans le living, elle me laisse un moment, puis vient s'activer sur moi. Elle me pose les bracelets aux poignets, de petits "clics" me font comprendre qu'elle les ferme avec des cadenas. Elle me tire à nouveau, cette fois au bruit je comprends qu'elle ouvre la porte fenêtre donnant sur la terrasse, je la suit, me demandant ce qu'elle va faire de moi.
Nous continuons sur la terrasse, puis elle me fait descendre l'escalier du jardin, enfin elle me lâche.

Ne bougez pas.

Me prenant les poignets ,elle m'enlève les menottes et ramène les bras sur le devant. Un "clic" et mes poignets sont attachés à une chaîne. C'est alors que le palan électrique se met en action et mes bras sont petit à petit tirés vers le haut, celui-ci s'arrête lorsque mes bras sont bien au dessus de ma tête. Nous sommes donc dans le garage, ou se trouve le palan.
Elle me déchausse alors ce qui a pour effet de ne plus me laisser de marge, mes bras sont bien tendus.

Je vais maintenant vous préparer comme le souhaite Madame Aline.

Anna commence alors à me mettre autour du corps ce que je perçois comme un corset, elle le positionne, puis commence le laçage. Celui-ci dure un long moment, Anna prend le temps de tendre chaque lacet, puis de s'assurer qu'il ne se détend pas. Celui-ci m'enveloppe du dessous les bras au bassin.

Voila qui est bien, enfilons les bas maintenant.

Soulevant ma jambe, elle m'enfile un premier bas, celui-ci remonte presque jusqu'à l'aine. Elle attache alors les jarretelles, puis la deuxième est parée à son tour. Anna me renfile alors les escarpins qu'elle attache avec les brides.

Vous voila bien paré, cachons ce qui dépasse maintenant.

Elle m'enfile ce que je crois être un slip de cuir, équipé de lacets latéraux qui permettent de l'ajuster. Ma verge est prise et comprimée dans la gangue de cuir. Je ressens la pression d'autant plus que cela m'excite et contraint ma verge. Anna m'ajuste alors les bracelets aux chevilles et nouveau cadenas relie ceux-ci, m'obligeant à rester bien droit..

Bien, c'est ce que souhaite Madame Aline, je vais vous laisser, c'est l'heure de partir pour moi. Elle s'occupera de vous quand elle rentrera du travail, je vais lui envoyer un sms, comme elle me l'a demandé lorsque j'aurai fini de vous installer.

Anna me laisse, je l'entends encore un moment dans la maison, puis elle revient au garage.

Voilà, j'ai terminé ma journée, il est 16h, Madame Aline m'a dit de bien fermer. Au revoir, Monsieur, je reviendrai lundi après-midi comme d'habitude.

Le bruit de la voiture me confirme son départ, me voilà dans une nouvelle situation, dépendante de ma maîtresse.

Une voiture s'arrête, je commence à avoir des crampes aux bras, j'ai l'impression que cela fait longtemps qu'Anna est partie. Des pas, sur le gravillon de l'allée, me font comprendre que quelqu'un arrive, un moment plus tard ,la porte du garage s'ouvre, tout à coup une main se pose sur moi, fais le tour de ma taille, tire sur mes jarretelles.

Anna a bien travaillé dit Aline, il es beau comme ça, n'est-ce pas Mireille ? Constates par toi même, vérifie tous les laçages.

Les mains de Mireille entreprennent alors de tirer sur les lacets, le corset étant chaud sur moi, elle retend celui-ci, puis elle se concentre sur les liens du slip.

Je vais t'aider, dit Aline, tu pourras mieux le serrer.

Elle pose alors ses mains de part et d'autre de mon sexe et plaque le cuir fortement. Mireille refait alors les nœuds de part et d'autre me contraignant au maximum.

Tu vois dit Aline, c'est beaucoup mieux comme ça, agaces-le un peu, il verra comme ça qu'il est bien ajusté.

Mireille se colle alors contre moi, dans mon dos, ses mains entrent en action et s'efforcent de m'exciter au maximum. Je sens ma verge gonfler à la limite de ses possibilités.

Ne bouges pas, Mireille, aides-moi.

Mes chevilles sont libérées du cadenas, le palan est manœuvré, mes poignets sont détachés du crochet, mais toujours reliés par un cadenas.

Mireille, attaches lui les poignets contre les cuisses.

Mes poignets sont détachés, je laisse mes bras retomber le long du corps, aussitôt un lien, placé par Mireille, fixe les bracelets contre les cuisses. Elle passe la corde plusieurs fois entre mes cuisses, ce qui m'excite, ramené à la réalité rapidement par la gaine de cuir qui me contraint.

Attaches-lui aussi les bras, ce sera mieux.

Aussitôt dit, aussitôt fait, mes bras sont maintenant parfaitement collés au corps.

Bon et maintenant allons prendre les affaires, nous allons partir rapidement.

J'entends alors la porte du garage coulisser, puis le bruit de la voiture qui s'approche. Aline dit :

Allez, tu vas monter dans la voiture, Mireille va t'aider.

Qu'a-t-elle décidé, ou veux-t-elle me conduire ? Je n'en sais rien, une main me prend par le bras et me fait avancer, je dois ensuite monter dans la voiture, ce qui n'est pas facile, je m'assied, je la sens contre moi, elle m'attache la ceinture, puis s'occupe de mes jambes, le cadenas reprends sa place entre les bracelets des chevilles et ensuite, avec une corde m'attache les genoux bien serrés.

Comme ça, dit Aline, il ne bougera pas pendant le trajet, je vais avancer la voiture, tu fermeras le garage, nous partons.

Quelques secondes plus tard, la voiture roule, les filles ne parlent pas, ce n'est que longtemps après, qu'Aline se manifeste.

On s'arrête, nous allons faire le plein, nous avons encore une heure de route avant d'arriver au chalet.

Je comprends alors que nous sommes partis pour la montagne et la destination est le chalet d'Aline... Elle a donc prévue d'y passer le week-end avec Mireille et moi. La voiture arrêtée, les filles descendent, j'entends Mireille dire à quelqu'un :

Faites le plein, nous allons faire quelques courses en attendant.

Heureusement que les vitres de sa voiture sont teintées, car sinon le pompiste me verrait dans ma drôle de position!!! Un moment plus tard, le hayon arrière est ouvert, des paquets sont chargés. Nous repartons pour un trajet encore long. Enfin la voiture s'arrête, l'ouverture du garage est enclenchée et quelques secondes plus tard le moteur est coupé, nous sommes arrivés.
Le déchargement commence et ce n'est que plus tard que je suis extrait à mon tour. Bien que nous soyons en juin, je sens la fraicheur, ma tenue plus que légère n'est pas adaptée à la montagne, je suis libéré des liens des bras et des jambes et conduit au chalet.

Je t'autorise à profiter de la salle de bains, ensuite tu nous rejoindra au salon. Je vais t'enlever le bâillon et le bandeau, je vais chercher les clés, commence à te déshabiller en attendant.

Je me déchausse, commence à retirer le corset, dans le noir, ce n'est pas facile, je finis par me déshabiller entièrement. C'est à ce moment là qu'Aline revient.
Baisse-toi, je vais t'enlever les cadenas.

Elle m'ôte le bâillon, puis le bandeau, puis essaye d'enlever le cadenas du collier. Elle s'y reprend plusieurs fois et finit par me dire:

Je n'ai pas la bonne clé, elle est restée à la maison, Tu vas devoir garder la cagoule en permanence. Tant pis pour toi, de toute façon tu n'as pas le choix.

Elle pose des affaires sur la chaise et repart. Nu, je passe directement sous la douche. J'apprécie longuement celle-ci, d'autant plus que je ne sais pas ce que je vais devenir entre ses mains, cela commence bien avec la cagoule !!!
Je sors et m'essuie, puis regarde sur la chaise, il y a mes chaussures, une paire de bas à couture, un porte-jarretelles et un string noir. C'est tout ce que j'ai à me mettre. J'entends la voix d'Aline qui m'interpelle.

Alors tu te dépêches ?

Je n'ai pas le choix, enfile mes affaires et descend les rejoindre. Aline est sur un fauteuil devant la cheminée, en train de lire, Mireille est debout à ses cotés, elle porte un catsuit et une mini robe rouge, ses poignets et chevilles sont dotés de bracelets de cuir fermés de cadenas, une cagoule comme la mienne couvre sa tête et un collier assorti orne son cou. Un jeu de chainettes relie tous les bracelets. Seuls ses yeux et sa bouche sont visibles. Un maquillage rouge assorti à sa tenue les mets en valeur. Elle est immobile, comme une statue, ses mains tiennent une lampe permettant à Aline de lire. Je me présente devant elles, et attends. Ce n'est qu'une dizaine de minutes plus tard qu'Aline lève les yeux sur moi.

Tournes-toi. Les coutures ne sont pas droites, prends le reste de ta tenue sur la chaise et va te préparer.

J'obéis aussitôt, prends les affaires et regagne la chambre. Après avoir repositionné mes bas ,j'enfile ma tenue, robe courte en latex, tablier de devant et perruque brune avec coiffe que je positionne sur tant bien que mal avec ma cagoule. J'ajuste l'ensemble en faisant attention à ce que tout soit parfait et redescend me présenter devant Aline. Comme tout à l'heure je dois attendre plusieurs minutes avant qu'elle ne me regarde. Mireille n'a pas bougé, toujours immobile à ses cotés. Elle se lève alors et m'équipe de bracelets et d'un collier, le tout relié par des chainettes, comme Mireille

C'est mieux, tu vas préparer la table, et faire le service du repas, mais auparavant tu vas me servir l'apéritif.

Je me dirige alors vers le bar et commence alors mon service de soirée. Je porte le plateau avec verre et le nécessaire, le pose sur la table de salon. Aline trouve alors que le plateau est trop loin d'elle et me fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, puis prend le plateau et le pose sur mon dos.

Ne bouges plus, c'est parfait.

Elle se sert alors et reprend sa lecture, prenant de temps en temps un toast. Je reste immobile, en face de moi se trouve la pendule de salon, l'apéritif va durer une demi heure, temps que je vais passer transformé en table de salon. Aline décide alors de passer à table, elle fait changer Mireille de position, et la fait éclairer la table. Je fais le service du repas, me tenant parfaitement immobile entre chaque plat, enfin quand elle a terminé, elle dit

A vous de manger maintenant, allez à la cuisine, mais avant débarrassez et rangez tout. Fais-lui comprendre à Mireille, car elle a des bouchons dans les oreilles, et n'entend presque rien !!!

Une fois terminé, nous nous y rendons, pendant qu'Aline allume la télévision. Elle nous rejoint, et nous fait asseoir sur les chaises. Elle passe derrière nous à tour de rôle et nous attache rapidement par la taille, avec des sangles, et dit:

Je vous laisse demi heure, profitez-en, ne buvez pas trop...

Tant bien que mal, les gestes réduits par les chainettes, nous commençons à manger. Pour atteindre les choses, il me faut parfois me lever, entrainant la chaise avec moi, surtout pour ranger la cuisine et faire la vaisselle.
Aline nous regarde en souriant.

Bien, vous avez fini, je vais vous détacher des chaises.

Elle nous reconduit ensuite au salon, nous fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, face à face.

Approchez-vous l'un de l'autre et levez la tête.

Elle fait des signes à Mireille pour qu'elle comprenne, nous avançons l'un vers l'autre et arrivons presque à nous toucher, c'est alors qu'elle attrape les deux chainettes pendant des colliers, les rejoint et y fixe un cadenas, faisant par la même occasion toucher nos visages.

Bien, ne bougez plus maintenant, je vais regarder mon film.

Elle s'installe alors sur le fauteuil, allonge ses jambes, les posant sur nos dos, nous transformant en pouf de salon, puis déroule une couverture qu'elle jette sur ses jambes, couvrant par la même occasion nos têtes. Elle monte le son du poste et bien installée, se concentre sur le film.
Quant à nous deux, nous ne bougeons pas pendant un moment, nos respirations sont confondues. Cependant imperceptiblement, je sens Mireille bouger sa tête, et l'incliner pour se mettre bien face à moi. Sa bouche se rapproche alors de la mienne, et malgré les cagoules, se colle contre mes lèvres, sa langue pénètre en moi et s'active en un baiser interminable. Je sens monter en moi une douce chaleur et dans le bas de mon corps une turgescence envahit le string !!!
C'est à ce moment là qu'Alice retire ses jambes, et se lève sans toutefois ôter la couverture. Nous restons immobiles, ou va-t-elle ? Quelques secondes plus tard, j'entends ses pas dans l'escalier, Mireille en profite pour reprendre son activité, m'embrassant de plus belle.
Des pas à nouveau nous font cesser rapidement, Aline redescend et se réinstalle à nouveau jusqu'à la fin du film. Elle se lève alors, retire la couverture et nous sépare l'un de l'autre. Elle me repose le bâillon anneau bien ajusté.

Bon, ce n'est pas tout, il est tard, je vais vous installer pour la nuit.

Prenant les chainettes comme des laisses, elle nous fait monter à l'étage et entrer au fond du couloir dans une petite chambre. Celle-ci est dotée d'un lit ancien avec un cadre de bois, les montants sont équipés d'anneaux métalliques à différentes hauteurs. Elle nous fait mettre de chaque coté du lit elle revient vers moi, ôte mes bracelets, puis mes vêtements, me laissant uniquement le string. C'est ensuite au tour de Mireille, elle fait de même et la laisse aussi avec son string. Prenant un bandeau, elle la prive alors de la vue en plus de l'ouïe, puis prend un catsuit noir en latex, lui fait enfiler, le ferme entièrement, et repose ses bracelets aux chevilles puis aux poignets qu'elle relie dans son dos avec un cadenas. Elle est entièrement recouverte de latex hormis sa bouche qui ne tarde pas à être emplie du bâillon anneau. Satisfaite, elle la fait coucher sur le lit, puis l'attache, les pieds reliés au fond du lit et le collier à la tête de celui-ci l'empêchant de bouger. Satisfaite, elle vient vers moi.

Elle est parée, à toi maintenant.

Elle prend un catsuit noir, entièrement opaque. D'un geste elle m'ôte le string, passe ses mains sur mon corps nu, ce qui ne tarde pas à me mettre en érection. Elle commence alors à m'enfiler le catsuit, repose mes bracelets aux chevilles, les reliant de suite avec un cadenas, elle reprend un instant son massage et s'arrête brusquement alors que j'étais sur le point d'exploser. Elle est diabolique !!!
Le catsuit fermé, elle ajuste les bracelets aux poignets, je suis immobilisé comme Mireille, les mains liées dans le dos. A nouveau Aline pose ses mains sur mon corps, insistant cette fois sur les tétons qu'elle pince fortement. Elle me fait coucher sur le lit et m'immobilise à mon tour. Elle me pousse contre Mireille, puis commence à nous relier l'un à l'autre avec des cordes, d'abord au niveau des genoux, puis de la taille et du torse. Elle s'active ensuite autour de mes poignets, elle y fixe une corde, puis passe l'extrémité libre entre mes cuisses et celles de Mireille. Un instant plus tard, j'ai compris qu'elle avait fixé l'autre extrémité aux poignets de Mireille, ce qui colle nos ventres l'un contre l'autre. Aline rit.

Comme ça, vous serez proche l'un de l'autre, mais attention, s'il y a des débordements je le verrai et vous serez punis, alors à vous de choisir. Je vous laisse, passez une bonne nuit...

Aline est partie, Mireille ne bouge pas pendant un long moment, puis tout à coup esquisse un mouvement qui la plaque encore plus contre moi, des épaules aux genoux. Ma verge reprend forme et s'en apercevant, Mireille bouge son bassin et me bloque. C'est terriblement excitant, j'essaye de me contrôler, elle ne bouge plus. Quant à moi, ma raideur ne faiblit pas et nous restons longuement ainsi. Mireille doit craindre aussi les paroles d'Aline... Finalement, nous nous endormons.

Ce qui me réveille ce samedi matin, c'est l'impression de sentir quelque chose dans mon dos, Aline est là, silencieusement, elle entreprend d'ouvrir mon catsuit, descend le zip sous mes fesses, ses mains gantées de latex entreprennent alors une série de massages qui me conduisent rapidement à une érection maximale, ce qui réveille Mireille. Celle-ci colle son ventre contre moi, profitant de mon état. Aline qui se rend compte de la situation passe ses mains entre nos torses et me pince les tétons. Ce qui devait arriver se produit, j'explose tout d'un coup.
Mireille rit, et dit:

Ce n'est pas bien du tout ce que tu viens de faire, tu seras puni pour cela...

Je ne peux répliquer et clamer mon innocence, c'est elle qui est responsables de la situation.

Bon, c'est l'heure de se lever, je vais vous détacher, et vous rendre la vue.

Elle me détache du lit, me fait lever, remplace les bracelets des poignets par des menottes et m'enlève les bracelets des chevilles. Mon bas ventre est humide, mon bandeau enlevé je suis devant la glace et ce que je vois confirme ce que je pensais, le plug vibre à nouveau. Elle s'occupe de Mireille et la détache à son tour, la libère des différents bracelets, ôte son bandeau ainsi que son bâillon. Sous la cagoule elle a toujours ses bouchons d'oreille aussi elle s'approche tout près d'elle, lui demandant de me laver entièrement à la salle de bains, et que nous disposons d'une demi-heure. Elle nous pousse dans la salle de bains et nous laisse.

Mireille s'occupe d'elle en premier, prend son bandeau, elle me le pose m'aveuglant à nouveau, je l'entend quelques secondes plus tard prendre sa douche. Un moment plus tard, elle ouvre la fermeture de mon catsuit, ne pouvant éviter de voir mon état entretenu par le gode qui vibre toujours en moi.
Mes mains menottées dans le dos l'empêchent de me libérer complètement du catsuit. Elle me fait asseoir sur le tabouret, le fait glisser de mes épaules, et repliant mes jambes, me le fait quitter, celui-ci n'étant plus retenu que par mes bras menottés. Elle le roule en boule et me le coince dans les mains. Elle commence mon lavage complet, le dos et ensuite le devant, prenant de toute évidence plaisir devant cette situation particulière. Elle m'essuie ensuite.

Je vais dire à Aline que j'ai terminé.

De toute façon, je ne peux bouger seul. Quelques instants plus tard, Aline entre dans la salle de bains, détache les menottes, m'ôte le catsuit, me rattache aussitôt les mains dans le dos et après avoir vérifié le serrage du bandeau replace un cadenas, interdisant son enlèvement. Elle accroche une chaine à l'anneau de mon collier et me tire nu hors de la salle de bains, on descend l'escalier, arrivés au pied de celui-ci, elle attache l'extrémité de la chaine à la rampe et me laisse. Elle revient me chercher quelques minutes plus tard, je comprends qu'elle m'entraine à la cuisine, me fait asseoir sur une chaise, glisse une corde autour de ma taille me lie à celle-ci, mes poignets dans le dos sont eux aussi pris par la corde. Elle m'enlève alors le bâillon.

Mireille, fais-le déjeuner, tu as dix minutes, je vais prendre ma douche.

La porte de la cuisine se ferme, Mireille me dit alors

Je vais te faire déjeuner, tiens, commence par un croissant chaud...

Je sens le croissant devant mes lèvres et croque dedans, c'est alors que les mains de Mireille se posent sur mes épaules et lentement elle vient s'asseoir sur moi. Je réalise alors qu'elle a mis l'autre extrémité du croissant dans sa bouche !!! Je la sens contre moi, sa poitrine est nue, et le contact de ses cuisses gainées de nylon m'électrise. Elle soulève son ventre et d'un seul coup s'empale sur moi. Quel petit déjeuner !!! En quelques secondes, j'explose en elle. Elle se lève alors.

Il ne faut pas qu'Aline voit ce que l'on vient de faire, je vais faire disparaître les traces...

Je sens alors la bouche de Mireille m'avaler littéralement, ce qui bien entendu n'a pas pour effet de calmer mon émoi. Mireille imperturbable finit alors de me faire déjeuner, laissant sur mon ventre une serviette. C'est ainsi qu'Aline nous trouve quelques instants plus tard. Elle dit à Mireille :

Vas te préparer dans ta chambre, nous partirons dans une demi-heure, je t'appellerai.

J'entends Mireille monter l'escalier, Aline est toujours dans la cuisine, tout à coup, ses mains se posent sur mes épaules, elle est derrière moi, ses mains descendent lentement sur ma poitrine et saisissent mes tétons, les pince fortement ce qui me fait pousser un petit cri. La serviette qui reposait sur mon ventre est alors transformée en bâillon.

Comme ça, tu ne pourras pas crier...

Elle reprend son jeu, se concentrant sur ma poitrine, puis sa main droite descend et me saisit fermement, le jeu consiste alors à alterner pincements et va et vient sur ma verge, m'amenant à une érection totale.
Elle me détache de la chaise, me fait lever, me tire par la verge et m'entraine dans la maison.

Que vais-je faire de toi, Mireille et moi allons profiter de ce beau temps pour aller en excursion, mais la femme de ménage doit venir, accompagner de son mari qui est plombier pour réparer la fuite d'eau, il ne faut pas qu'ils te voient.

On remonte à l'étage et elle me conduit à la salle de bains.

Débrouilles-toi, car tu n'y retourneras pas avant ce soir...

Elle me laisse quelques minutes, puis revient me chercher, nous parcourrons le couloir, et me fait entrer dans la chambre.

Je vais t'attacher sur le lit, Mireille a sorti les cordes, mets toi bien droit, jambes serrées et bras le long du corps et ne bouges plus. Avant enfiles ça.

Elle me tend une culotte de plastique que j'enfile et elle commence alors son ligotage par les épaules et descend méthodiquement jusqu'aux chevilles. Je ne peux plus bouger, les cordes font des anneaux espacés d'une dizaine de centimètres, elle reprend alors d'autres cordes et relie verticalement les anneaux, des pieds aux épaules, devant et derrière, passant une fois à gauche et une fois à droite de ma tête. Enfin deux dernières cordes relient chaque anneau, au niveau des bras, passant entre mes bras et mon corps empêchant toute tentative de ma part de faire glisser ceux-ci. Le bondage est total !!! C'est alors qu'elle appelle Mireille et à elles deux me font basculer sur le lit.

Toute la journée, il risque d'avoir froid, on va l'enrouler dans la couverture, aides-moi.

Elles me roulent alors dans celle-ci.

Passe-moi le sac des sangles, Mireille, il restera bien dedans comme ça et cela nous aidera à le fixer au lit pour qu'il ne tombe pas.

Quelques instants plus tard, je suis attaché sur le lit et l'une d'elle me glisse un oreiller sous la tête.

Bon c'est parfait dit Aline, bonne journée, on pensera à toi, ne t'ennuie pas et ne t'inquiète pas si tu entends du bruit, ce seront les employés qui travaillent, je ne te mets pas de bâillon, comme on n'est pas là, ne fait pas de bruit.

Elle ferme la porte et j'entends la clé tourner dans la serrure. Je les entend dans le chalet un long moment, puis le bruit de la voiture me fait comprendre qu'elles sont parties. Me voilà seul, j'essaye de bouger, en vain, le bondage est parfait et l'enveloppement plus les sangles qui me lient au lit me collent à celui-ci.

Je pense que je me suis endormi, ce sont des bruits dans le chalet qui me réveillent, surement la femme de ménage et son mari. Ils proviennent de la cuisine. Tout à coup une voix féminine se fait entendre.

Tu vas en avoir pour longtemps ?

Je ne sais pas, mais je vais devoir changer un partie du tuyau, une grosse heure environ.

Quelle heure est-il ?

Dix heure trente.

Je vais faire le ménage, puisque c'est comme ça.

Quelques minutes plus tard, l'aspirateur fonctionne dans le séjour, le bruit des chaises et fauteuils que l'on bouge, montre que le travail est bien fait. Cela dure un long moment, puis la voix de la femme se fait à nouveau entendre.

Je vais aller faire les chambres, puisque j'ai le temps, je monte.

A ce moment là, je réalise qu'elle va venir, mais je me souviens aussi qu'Aline a fermé la porte à clé avant de partir. A nouveau l'aspirateur fonctionne à l'étage, elle fait le couloir, puis les deux chambres d'Aline et de Mireille. Tout à coup, la poignée de ma chambre est tournée, puis une deuxième fois en vain. C'est à ce moment là que la femme de ménage parle à nouveau, elle réfléchit à haute voix.

Mais pourquoi ont-elles fermé cette chambre, elles sont agitées ces filles, tant pis, je ne vais pas la nettoyer.

Elle repart, puis quelques minutes plus tard, une clé tourne dans la serrure...

Je savais bien que la clé du placard ouvrait toutes les chambres, voilà.

La porte s'ouvre tout à coup, le clic de l'interrupteur, puis sa voix, mais cette fois très peu forte.

Qu'est-ce c'est que ça ? Elles ont encore recommencé, un nouveau prisonnier, et bien emballé. Elles sont folles ces deux.

Tout à coup, une main se pose sur moi, et commence à travers la couverture à me palper, d'abord au niveau de la poitrine, puis plus bas.

Pas mal le paquet, et bien ficelé à ce que je vois. Bon cela ne va pas m'empêcher de faire le ménage.

Elle active l'aspirateur et se met à le passer dans la chambre. C'est à ce moment la que la voix du plombier se fait entendre.

J'ai fini, tu veux que je monte chercher ton matériel ?

La voix de la femme de ménage dit aussitôt :

Non, non j'ai terminé, je vais descendre, charge la voiture en attendant.

Elle replie son matériel et soudain j'entends près de mon oreille :

Je vais revenir en début d'après-midi, mais seule... A tout à l'heure beau prisonnier.

Elle sort de la chambre et referme à clé aussitôt.

Voilà, j'ai terminé, viens prendre l'aspirateur sur le palier si tu veux.

Quelques minutes plus tard la voiture s'éloigne du chalet. Je suis surpris par la tournure des évènements, apparemment, ce n'est pas la première fois qu'Aline amène quelqu'un dans le chalet, mais quelles sont les intentions de la femme de ménage ?

Une voiture s'arrête devant le chalet, serait-ce le retour de la femme de ménage ? Je ne vais pas tarder à le savoir. Quelques minutes plus tard, la clé tourne dans la serrure, quelqu'un entre dans la chambre.

Me voilà, j'ai toute l'après-midi devant moi, elles rentreront tard, je les ai eues au téléphone, je leur ai dit qu'il y avait une soirée dansante au Club, et que ce serait dommage qu'elles la loupent, et que je passerai fermer les volets pour qu'elles soient tranquilles. Elles ne savent pas que je connais leurs manies, mais que j'adore pratiquer aussi. Voyons voir, je vais te déballer un peu, mais avant tout, te mettre un bâillon, ce sera mieux.

Elle me pose le bâillon anneau et entreprend de défaire les sangles, la couverture est tirée, me laissant nu, avec ma culotte de plastique sur le lit, entièrement saucissonné.

Bon, pas mal protégé et bien attaché, je ne vais rien enlever, les possibilités sont nombreuses à exploiter.

Je sens qu'elle monte sur le bord du lit et soudain, me retourne comme une crêpe.

C'est pas mal de ce coté non plus, je vais te chauffer un peu les fesses, elles ne verront rien, je doute qu'elles te déballent au retour, il sera trop tard.

Un martinet s'abat soudainement sur mes cuisses, puis remonte sur mes fesses à travers la culotte et le bas de mon dos, cela dure un long moment, j'essaye de me soustraire aux coups en vain, une chaleur monte en moi, je dois être cramoisi.

Les lanières sont larges et ne laissent pas de trace, sauf que tout devient rouge, bien sur !!!

Elle reprend son action, poursuit sur l'ensemble de mon corps, l'impression de chaleur ne me quitte plus. Je l'entends à nouveau près de moi, ses mains se posent sur moi et me mettent sur le coté, puis je sens contre mon ventre et le haut de mes cuisses comme un gros coussin, elle me fait basculer sur le ventre et je me retrouve cette fois les fesses en l'air.

C'est parfait, allez encore quelques coups pour bien rougir ton fessier.

Elle baisse la culotte et le martinet entre à nouveau en action pour plusieurs minutes, puis je sens ses mains contre mes fesses, elle a mis des gants de caoutchouc, elle écarte celles-ci. Que vas-t-elle faire ? Je commence à paniquer.

Ne bouges pas, je vais combler ce trou devant moi.

Je sens alors le contact d'un objet, un plug ! Lentement, mais fermement, elle l'introduit en moi jusqu'à ce que je sente le contact de la partie large contre mes fesses et remonte la culotte.

Tu vois, cela rentre bien avec un bon lubrifiant.

Elle me retourne alors d'un seul coup sur le dos, bloquant en même temps l'objet en moi. Je ne suis pas insensible à son action et cela se voit.

Oh, mais tu as l'air d'aimer ça dis-moi.

Ses mains gantées s'emparent de mes tétons et les triture fortement.

Bon quelques pinces à linge en bois maintenant, rien de mieux pour entretenir ton état.

Elle commence par mes seins, puis mes bourses, suivent les cuisses, le ventre. Je pense qu'elle ne s'arrête que lorsque toutes ont été placées. Je sens alors le martinet se promener sur moi, faisant bouger les pinces, c'est diabolique. Je pense que mon érection est maximale à ce moment là.

Mais cela t'excite mon salaud, tu aimes ça, eh bien, tu vas en profiter, je vais te laisser un bon moment avec.

Pendant quelques secondes, sa main gantée glisse sous la culotte, s'empare de ma verge et me lâche au moment ou la pression monte.

Gardes tes forces pour tout à l'heure. Je reviendrai plus tard, je vais voir ma copine. Qui sait, peut-être je lui parlerai de ce que j'ai fait de toi...

Elle s'en va, et la voiture s'éloigne du chalet, me voilà seul et sous la torture des pinces qui se font sentir partout sur mon corps. Combien de temps cette situation a durée ? Le fait est que les pinces agissent et j'aimerai bien qu'on me les enlève.
Enfin une voiture s'approche, quelques instants plus tard, la porte de la chambre s'ouvre.

Alors comment as-tu passé cette heure qui vient de s'écouler ?

C'est bien la femme de ménage, elle a remis les gants de caoutchouc et se promène à nouveau sur mon corps, quelques pinces tombent, à chaque fois je sens l'afflux de sang et cela provoque un grognement de ma part.

Je vais t'en enlever quelques unes de plus, mais avec le martinet, tu vas voir, tu vas apprécier...

Effectivement, elle se met au travail et de nombreuses pinces sautent, me faisant sursauter à chaque fois. Cela produit aussi un autre effet dont-elle ne peut pas ne pas voir.

Mais tu aimes ça, tu es vraiment maso.

Ses mains, nues cette fois, baissent ma culotte, s'emparent de ma verge et lentement font des va-et-vient. C'est à ce moment là que je reçois de nouveaux coups de martinet. Elle n'a pas trois mains !!! Il y a donc quelqu'un avec elle, une personne qui ne parle pas, mais qui m'a pris en main !!!
Cette personne s'allonge sur moi tête bêche, elle est nue de toute évidence et je sens des sangles se positionner et nous lier ainsi l'un à l'autre. De toute évidence, nous sommes collés l'un à l'autre, je ne sens pas ses bras ni ses mains, ce qui laisse supposer qu'elle les a maintenant liées dans son dos. Sa bouche est contre ma verge et tout à coup m'avale littéralement.

Mais c'est bien comme ça, je vais vous laisser une petite heure, vous pourrez profiter de ce contact. Allez, vides-le pour voir si tu peux et pas de saletés donc débrouilles-toi.

Ma « partenaire » se remet à l'œuvre et en quelques secondes arrive à ses fins.

Bien, je vous laisse, tu peux recommencer si tu veux dans quelques minutes, tiens prend ça dans tes mains,cela pourra te servir.

Elle s'en va et à nouveau repart du chalet.

Ma partenaire d'infortune a reposé sa tête sur mon bas ventre, mais quelques minutes plus tard ,sa langue commence à se mettre en action et me redonne de la vigueur. Se soulevant légèrement; je suis à nouveau avalé et ne peux résister à ses attentes. Cependant elle a réussi à coller sa vulve contre l'anneau de mon bâillon et je ne peux résister à activer ma langue, ce qui la fait immédiatement réagir et un long spasme la secoue. La scène va encore se reproduire, elle est vraiment insatiable, et jouit plusieurs fois. Quant à moi, je m'épuise à ce jeu et ai du mal à répondre à ses attentes. Une vibration se fait en moi, mon plug vibre, elle lui a mis la télécommande dans les mains, et elle essaye ainsi de me réactiver.

C'est ainsi que va nous trouver la femme de ménage à son retour.

Vous avez l'air ramolli complètement, il est bientôt dix neuf heures, il faut partir, on va tout remettre en place.

Elle détache alors ma partenaire et remet la culotte en place et la couverture sur moi, puis les sangles comme elle m'a trouvé.

Je vais t'enlever le bâillon, surtout pas un mot à qui que ce soit de notre passage, bien compris ?

Je fais oui de la tête et elle m'ôte le bâillon. Quelques instants plus tard, elles sont prêtes à partir.

Allez, fais-lui un petit câlin avant de partir, tu en as bien profité, non ?

Ma compagne d'après-midi posant une main sur ma verge à travers la couverture, m'embrasse alors longuement, jusqu'à ce que j'ai montré par une nouvelle raideur que j'avais apprécié la situation.

On s'en va, la maison est fermée, elles ne rentreront pas avant plusieurs heures encore, mais tu aimes-ça n'est-ce-pas ? Bonne soirée et qui sait, à une autre fois ?

Elles repartent me laissant dans ma méditation avec toujours le plug enfoncé en moi. Je finis par m'endormir et c'est le bruit de la voiture d'Aline qui me réveille.

Elle ouvre et entre dans la chambre.

Alors, tu es toujours là ? Mais tu n'as pas bougé du tout, c'est bien. Il est très tard, je n'ai pas le courage de te changer de position, on verra demain matin, bonne nuit.

Elle sort de la chambre et me laisse ainsi. L'activité de la journée ,malgré mon immobilité a été intense et finalement je m'endors moi aussi.

Des bruits dans la maison me font comprendre qu'elles sont levées, personne ne vient me voir, et je me demande si elles vont me laisser ici encore longtemps. Enfin la voix d'Aline se fait entendre.

Il est 8 heures, tu as bien dormi, tu es reposé, couché depuis hier, mais peut-être tu as envie de passer à la salle de bains, je vais te détacher.

Elle me libère, et sans me faire prier file directement à la salle de bains, réussissant à lui cacher le plug qui est en moi. J'ouvre la douche et m'y glisse dessous, appréciant vivement cet instant. Les marques des cordes sont encore présentes, Aline tout à coup m'appelle et m'ordonne de descendre nu. Je m'empresse de m'essuyer et descend à la cuisine. Elles sont la toutes deux, Aline en survêtement et Mireille avec un body et une cagoule de latex rouge, des bracelets de cuir aux poignets et chevilles.

Allez, tu déjeunes et ensuite on va décider de la journée, il fait beau nous allons en profiter pleinement avec Mireille.

J'en conclus que pour moi, cela va être encore une journée de privations.

(à suivre)

 

ŠLE CERCLE BDSM 2009