Histoires Des Invités

Soumis, c’était écrit (no 3)

Par sévérin

Pour répondre à votre demande, voilà comment nous organisons notre vie : Le mieux es de vous donner l’emploi du temps d’une journée de la semaine et puis le dimanche

Dans la semaine :
Je me lève le premier vers 6 h 30. Je file dans la salle de bain. Je me rase depuis le haut du pubis jusqu’en haut de la raie des fesses (depuis quelques jours Maîtresse essaie un nouveau produit dépilatoire pur éviter de me raser tous les jours et avoir des boutons). Ma queue est retroussée car je dors toujours avec un petit anneau de caoutchouc autour du gland. Je place trois pinces à linge l’une sur l’autre sur chaque sein et une cordelette autour des boules et de la queue dans le but de m’empêcher de me masturber sous la
douche. Je me lave soigneusement en faisant le moins de bruit possible. Je n ’enlève mes pince et la cordelette que fois séché et j’enfile un peignoir Je vais réveillé Maîtresse et je lui présente mes seins et ma queue. Elle analyse les marques laissées par les pinces. Si elle est satisfaite mes seins seront tranquilles pour la journée dans le cas contraire elle me pose des petites pinces discrètes (ce sont des attaches de tableaux que l’on appelle chez moi des pinces « à clé »). Pour la queue, il suffit qu’elle la gifle doucement : si elle bande immédiatement c’est que je n’ai pas éjaculé alors elle retire le retrousseur et m’embrasse le gland. Si elle ne bande pas tout de suite, alors je vais porter toute la journée une coquille (du même type que portent les boxeurs pour se protéger). Mais pour moi cela veut dire pas le droit d’uriner de toute la journée. Puis je m’habille (en été, seulement une chaîne fine autour de la taille et un anneau en cuir ou en métal selon les envies de maîtresse et en hiver, soutien-gorge et bas à jarretières élastiques. Puis j’enfile les vêtements que je veux pour la journée. Je ne porte jamais de slip ou de culotte

Je réveille ensuite mes enfants et une journée tout à fait normale commence sans fait particulier (sauf que je fais attention de toujours servir Maîtresse en premier, lui ouvrir les portes et portières de voiture, de passer toujours après elle, de ne jamais lui couper la parole, .. . Tous ces petits faits qui discrètement lui montre ma soumission sans que personne ne puisse y voir autre chose que de l’amour et de la galanterie.

Je dépose tout le monde qui au collège qui à son bureau et je file au mien. Grâce au téléphone portable, je lui adresse toujours deux messages d’amour et de soumission dans la journée (du style : « Merci Maîtresse pour la punition d’hier soir, ou je t’aime maîtresse, tu es la plus belle de toutes les femmes »).

Ah autre signe de soumission : je n’urine jamais debout. Je m’assois sur la faïence directement si j’utilise des toilettes, même publiques et sinon dans la nature, je fais accroupi en poussant ma queue en arrière (cela m’oblige dans tous les cas à me déculotter entièrement).

A la pause de midi, elle m’appelle au téléphone si nous ne pouvons pas nous voir. Je lui réponds toujours en l’appelant Maîtresse quelque soit l’ endroit. Pour le repas j’ai des interdictions car j’ai tendance à prendre du poids : (charcuterie gras, fromages, …) que je respecte car la balance est sans appel. Mais j’avoue que c’est dur et que je me laisse tenté parfois à midi, hors de son contrôle. J’avoue de toute manière le soir.

Dès que je rentre, je me déshabille et je lave mes sous-vêtements. Je passe un gant de toilette sur mon anus et je place mon retrousseur du soir. Puis je mets ma guêpière de la soirée et mon peignoir que Maîtresse a raccourci pour qu’il arrive en haut des cuisses. On se retrouve le soir, repas (très souvent fait par moi), discussion entre nous et les enfants.

Pendant que maîtresse couche les enfants je range la cuisine fait la vaisselle : pour les enfants c’est normal puisque chacun à une tâche particulière à accomplir (mise de table, rangement de sa chambre, etc….). Pour moi les taches ménagères sont la cuisine (faire le repas, la ranger, la nettoyer : seule différence : je retire toujours mon peignoir et j’accomplis mon ménage, porte fermée mais en guêpière. Puis je monte dire bonsoir aux enfants .

Maîtresse est allée dans le salon : elle lit, se détend, regarde la télé, …Nous attendons toujours que les enfants dorment puis je retire mon peignoir et je m’agenouille devant elle mains derrière le dos : Je confesse alors mes fautes de la journée (nourriture, regard vers les autres femmes, etc.) ou je raconte ma journée en détails

Selon mes erreurs, maîtresse dresse les punitions immédiates ou avec effet retard, sur le week-end ou pour la nuit ou le lendemain.

Je ne cherche pas forcément les fautes car j’aime être puni : fessées sur les fesses, la queue, le visage, le corps, travail des seins, élargissement anal, port de gode de manière prolongé, privation de nourriture ou privation de masturbation ou d’éjaculation.

Les soirées sont difficiles à résumer car nous ne faisons jamais la même chose et nous faisons souvent l’amour dans le salon ou dans la chambre.Pour le coucher, je remet mon retrousseur si maîtresse l’a retiré dans la soirée pour satisfaire ses envies .Je dors tout nu dans le lit de Maîtresse. Mais il arrive que je sois obligé de dormir ailleurs. Dans le bureau, je dispose d’un petit lit avec juste une couverture qui sert d’ordinaire de canapé. Si Maîtresse est en colère contre loi ou chaque fois que j’éjacule en elle sans son autorisation, je dors là avec un gode dans l’anus pour la nuit et parfois des pinces sur les seins (plus rarement). Je dois alors me lever à 6 h 00 même le dimanche et je dois tout ranger avant que les enfants ne se réveillent.

Le dimanche je me réveille aussi à 6 h 30, je fais ma toilette et je prépare le petit déjeuner que je monte sur un plateau vers 7 h 30. Mais j’attends que Maîtresse se réveille. Je suis tout nu bien sûr et je ne déjeune pas. J’ attends à genoux face au lit en tenant le plateau. La porte est verrouillée et les enfants savent que dans ce cas il ne faut pas nous déranger (nous appelons cela : « la grasse matinée »). Généralement Maîtresse est réveillée par les bonnes odeurs. Dès que le jardin nous l’offre je cueille une rose que je pose sur le plateau. Je l’ai bien sûr cueilli tout nu avec la queue retroussée.

Ensuite nous faisons l’amour : le dimanche je n’ai jamais le droit d’ éjaculer : mais maîtresse doit avoir joui au moins deux fois. Puis elle se retire me laissant la queue vibrante de frustration et de désir. Elle s’ assoit alors sur mon visage et je lui nettoie la chatte de sa liqueur. J’ adore !!! Si Maîtresse est contente de moi, elle en profite pour me gifler les testicules et la queue. Puis j’enfile ma ceinture de chasteté (fabrication maison avec du cuir) je peux juste faire pipi. La ceinture est devant –derrière : cela signifie que maîtresse m’enfonce un gode dans la chatte que je garde toute la journée. Puis nous décidons, ce que nous allons faire de notre journée. Après avoir consulter les enfants, il nous arrive de partir en promenade ensemble. Si les enfants viennent la sortie est seulement familiale (Je fais seulement attention à respecter les attentions d’usage : galanterie, …) Si nous partons seuls, la promenade se termine rarement sans que mes fesses soient rouges, ma chatte élargie, mes seins meurtris et que j’ai dû descendre mon pantalon et montrer aux oiseaux mes sous-vêtements de soumis. Ce que j’adore le plus c’est la douche dorée : Nous la pratiquons uniquement dans la nature pour des raisons de simplicité. Nous cherchons un coin tranquille, je me déshabille et je m’allonge sous Maîtresse qui baisse sa culotte et me pisse dessus, bouche bien ouverte. Parfois, elle s’assoit sur moi pour que je ne perde aucune goutte ou bien m’ inonde et je dois rentrer avec la soutien gorge mouillé ou la guêpière (car il m’arrive de la garder toute la journée). Chaque fois je dois bien la nettoyer et j’adore cela. Pendant la miction, elle choisit toujours une petite badine et me fouette la queue à travers la ceinture de chasteté. Au
début je ne sens rien mais les coups répétés finissent par être douloureux et cela excite ma queue qui veut bander mais est bloquée par le cuir. Ma queue est alors douloureuse pendant un grand moment.

Voilà un peu la manière dont je vis ma soumission au quotidien.

 

©LE CERCLE BDSM 2001