Histoires Des Invités

 

Les Voies De La Déesse

Par Thémis

 

Cette histoire prend place dans un monde médiéval imaginaire. Le Culte de la Déesse est en train de s'y répandre, par les armes ou la séduction. Cette religion prône la suprématie féminine absolue et rabaisse les hommes au rang d'esclave ou de serviteur. Nous suivrons le parcours dans la soumission d'un général vaincu, obligé, pour sauver son peuple et sa femme, à se soumettre à la volonté des Prêtresses de la Déesse.

 

Les Voies de la Déesse

Le voyage II


Ma rébellion fut de courte durée. Plusieurs fois dans la journée, Flora vint dans sa cabine accompagnée de différentes Amazones. Elle me montrait comme une bête de foire. A deux occasion, elle me caressa afin que je bande bien devant ces dames. J'avais très soif et commençais à regretter ma désobéissance de la veille. J'espérais qu'en me laissant faire elles finissent par me donner à boire. J'espérais également qu'elle me fasse jouir, mais ce ne fut pas le cas. Je pensais beaucoup à Solena, ma fiancée, et me sentais déprimé. J'étais affamé, mais la soif était pire. J'avais la langue lourde et la bouche asséchée. Enfin, Flora revint vers moi en fin d'après-midi.

Revenu à de meilleurs sentiments, Monsieur le prisonnier de guerre?

Je fis oui de la tête.

C'est bien. Tu m'as fait de la peine hier. Si tu veux que tout se passe bien, il faut que tu obéisses. Oublie qui tu étais et concentre-toi sur ta soumission, si tu veux un bon conseil. Ce sera plus facile pour tout le monde et le résultat sera le même.

Elle reposa la gamelle à mes pieds et saisit mon sexe. Je ne bandais pas, elle me fit uriner puis remplit le récipient d'eau. Elle détacha la sangle qui m'empêchait de parler et ouvrit la cage. J'avais toujours les mains attachées dans le dos et les jambes semi-écartées. Je me tenais à genoux me demandant quoi faire. Je gardai le silence. Flora se recula et déposa la gamelle entre ses deux pieds. Elle se tenait debout devant moi

Tu peux boire, esclave.

Boire dans cette gamelle où j'avais uriné me répugnait, mais ma soif prit le dessus.

Pouvez-vous me détacher les mains, s'il vous plaît, Maîtresse Flora?
C'est inutile. Manger ou boire avec les mains est un privilège féminin. Si les chiens arrivent à s'en passer, les mâles doivent pouvoir aussi, non?

Surpris par cette nouvelle contrainte, je la regardais un instant d'un air suppliant. Mais j'étais assoiffé et avait conscience que je ne la ferais pas changer d'avis. Vu comme j'étais entravé, j'allais devoir prendre une position particulièrement humiliante. La tête à ses pieds, dans la gamelle et le cul levé. Je me résignai et m'avançai sur les genoux. J'abaissai mon visage à ses pieds et me mit à laper comme un chien dans la gamelle. J'étais profondément humilié mais bu jusqu'à la dernière goutte. Elle me servit ensuite un brouet de légume que je dévorai, toujours dans la même position. Une fois terminé, Flora me remit mon bâillon et me ramena dans ma cage, elle avait l'air satisfaite. Moi j'avais les larmes aux yeux de m'être abaissé de la sorte.

Mes surprises de la journée n'étaient cependant pas terminées. Flora s'absenta une heure puis revint dans notre cabine accompagnée de deux hommes. Je reconnus immédiatement Gaspard et Norland, deux vaillants guerriers de mon armée vaincue. A ceci prêt qu'ils avaient perdu leur regard farouche. Ils semblaient comme absent et obéissaient au doigt et à l'œil aux injonction de la belle Amazone. Chacun des ordres de cette femme dominante était ponctué d'un 'oui Maîtresse Flora' ou autre 'à vos ordres Maîtresse Flora'. De toute évidence, ils avaient été drogué. J'étais triste pour ces vaillants guerriers et eus une pensée pour leur famille. Le contrat signé deux jours plus tôt de mon sperme stipulait qu'ils resteraient en esclavage pendant cinq ans. Flora les fit nettoyer la cabine. Elle les regardait faire, assise sur son lit. Quand ce fut fait, elle leur ordonna calmement de se déshabiller. Je regardai les deux homme s'exécuter sans hésiter.

Érection, ordonna Flora.

Les deux hommes se mirent à bander en quelques secondes. Sans doute un effet de la drogue utilisée par ces sorcières sur leurs captifs.

Toi, derrière moi, vient me masser le dos et les épaules, dit-elle à Gaspard.
Et toi, à genou devant le lit, ajouta-telle en regardant Norland. Déshabille-moi.

Les deux hommes s'exécutèrent. Flora était très belle. Alors que Norland la dénudait, je me mis à bander moi aussi. Je la voyais nue pour la première fois. Son sexe était recouvert d'une belle toison rousse, régulière. Sa poitrine était droite et fière. Alors que Gaspard la massait, je la vis tirer la tête de Norland entre ses cuisses. Sans recevoir d'autres ordres, celui-ci se mit à la lécher avec application. J'étais moi-même très excité par cette scène. Flora se laissait aller en poussant de légers gémissements. Au bout d'une dizaine de minutes, elle demanda aux deux hommes d'échanger de place. Elle se dit peu satisfaite des prestations de Norland. Gaspard prit position et s'affaira à son tour, visiblement avec plus de succès. Dix minutes plus tard, Flora jouissait. Au moment où ses gémissement s'intensifièrent, elle me regarda droit dans le yeux. Je rêvais de la rejoindre puis je repensai à Solena: elle serait si déçue si elle savait que j'étais excité par cette femme. La scène continua ainsi plus de deux heures. Je n'avais jamais assisté à un tel spectacle. Je n'en perdais pas une goutte. Tour à tour, puis en même temps, ils pénétrèrent Flora. Elle jouit à quatre reprises. Les hommes, eux, semblaient infatigables et ne jouirent pas. Moi non plus vu que j'étais entravé. Pourtant, j'aurais donné beaucoup pour pouvoir me branler. Au bout de deux heures. Flora congédia les deux mâles. Ils se rhabillèrent. Aucun des deux n'avaient joui, mais ils ne semblaient pas déçu. Flora se blottit nue sous sa couverture et éteint la lumière.

Fais de beau rêve, petit esclave.

Je bandai pendant encore une heure au moins avant de m'endormir.


Les Voies De La Déesse (suite)

 

ŠLE CERCLE BDSM 2009