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Histoires Des Invitées

La Déchéance De Denise

Par Maître Michel

 

A peine rentrée chez elle après sa journée de travail, Denise s'était empressée d'aller s'enfermer dans son bureau puis elle avait allumé son ordinateur pour vérifier sa boite mail et s'assurer qu'elle avait bien reçu un message de son Maître.

Cette Québécoise d'apparence distinguée, passait auprès de tous pour une personne aimable et chaleureuse.

Mariée et mère de deux enfants, elle semblait heureuse et épanouie mais au fil du temps, sa vie de couple lui était souvent apparue un peu trop fade à son goût. A 42 ans, cette femme sportive et dynamique arborait un physique avantageux qui attirait inévitablement le regard des hommes.

Ceux-ci remarquaient toujours sa poitrine épanouie et généreuse qui lorsqu'elle n'était pas emprisonnée dans les bonnets D de son soutien gorge, oscillait en cadence au gré de ses pas.

Lorsque les circonstances le permettaient, Denise n'hésitait pas en effet à laisser ses seins libres sous sa robe ou son chemisier et ce n'était pas le moindre de ses atouts. Dans sa jeunesse, elle avait également remporté le " prix des plus belles jambes " de son école et il vrai aussi qu'elle avait vraiment de très très belles jambes.

La quarantaine dépassée, sa libido s'était exacerbée et elle avait voulu alors explorer des contrées encore inconnues

Elle s'était donc mise en quête de Celui qui pourrait lui révéler sa nature profonde en devenant son Maître, car tel était bien son fantasme le plus fort, devenir la soumise d'un Maître et lui obéir totalement ! Deux semaines plus tôt, elle était entrée en contact étroit avec un homme qui s'était affirmé d'emblée comme étant particulièrement pervers et cela lui procurait des sensations particulièrement intenses.

Même au travail, il lui arrivait désormais de plus en plus souvent d'avoir des difficultés à se concentrer tant elle était hantée par les désirs obscurs de son Maître. Dès le début des échanges entre eux, leur relation était devenu torride et survolté. Denise avait un Maître exigeant ! Son premier objectif avait été de la maintenir dans un état d'excitation quasi permanente et l'état de la culotte de Denise, montrait bien ce soir là encore qu'il y était bel et bien parvenu.

Plusieurs fois au cours de la journée, elle avait ressenti l'impérieux désir de se masturber sans oser vraiment aller au bout de son envie mais elle avait néanmoins réussi à se procurer du plaisir en serrant fortement ses jambes nues, en les croisant et les décroisant afin d'accentuer le frottement de la mince étoffe sur son clitoris enflammé et turgescent.

A deux ou trois reprises, elle avait connu ainsi un mini orgasme en craignant à chaque fois d'attirer l'attention de son entourage tant son visage s'était empourpré, sans parler du petit jet de cyprine qu'elle n'avait pu maîtriser et sentait ensuite s'écouler doucement sur sa cuisse. À ses moindre déplacement, elle sentait qu'elle s'était trahi dans ses désirs coupables auprès de son entourage du moment.. En partant tout à l'heure elle avait même eu l'impression de sentir sur elle le regard goguenard de quelques uns de ses collègues.

Elle n'avait plus désormais qu'une envie, rentrer chez elle au plus vite afin de pouvoir lire le dernier message de son Maître. En retrouvant le nom de celui-ci dans sa boite de réception elle compris qu'une nouvelle fois il était au rendez vous. Il lui fallait donc désormais se mettre en situation.

Comme il en avait été convenu entre eux dès le début de leurs échanges, elle commença par se dévêtir complètement, par " SE FOUTRE A POIL " comme il disait, avant de s'agenouiller les cuisses largement écartées pour lui offrir sa vulve bien dodue, ouverte et déjà humide.

Ses lourdes mamelles de mère de famille pendaient aussi librement et avant même d'avoir commencé à lire le message de son Maître, elle écrivit quelques lignes pour simplement lui signifier qu'elle était prête … En commençant sa lecture, elle ressentit aussitôt la même émotion qui l'étreignait à chaque fois.

Le message commençait tout simplement par " GROSSE TRUIE " et elle comprit alors que son Maître avait vraiment envie ce jour là de la déshumaniser davantage. Ces premiers mots étaient importants car ils donnaient souvent le ton général du courriel. Au début de leur relation, il l'appelait Madame puis Chère Denise avant de lui proposer de se choisir un nom.

Il avait été convenu alors qu'elle s'appellerait désormais Denise, LA GROSSE TRUIE ROSE.

Rose … Elle trouvait d'ailleurs que cet adjectif atténuait un peu la comparaison dégradante avec l'animal dont le cuir était pourtant de cette teinte. Rose, car tel était bien en effet la couleur de sa peau de rousse authentique mais dont les cheveux tiraient maintenant vers un blond dorée qui aurait pu la faire passer pour " La belle aux bois dormant ".

Sa chevelure naturelle était d'ailleurs si flamboyante que nombre de gens pensaient toujours qu'un tel éclat résultait obligatoirement d'une teinture.

Ainsi le Maître pour s'adresser à sa nouvelle soumise disait parfois Denise ma Grosse Truie Rose ou Denise ma Truie mais là c'était directement Grosse Truie et ce qualificatif humiliant qu'elle acceptait pourtant, contribuait à accroître son excitation. Plusieurs gouttes de cyprine venaient d'ailleurs de tomber sur le parquet de son bureau et elle sentit également un filet de sueur couler de ses aisselles et entre les deux globes charnus de ses seins.

Pourquoi s'était elle choisi ce qualificatif au lieu de nombreux autres peut-être moins humiliants ? Dès le début de leur relation, Maître Michel avait utilisé à son encontre des termes plus souvent usités comme Salope, Chienne, Pute ou autres

Avec sa généreuse poitrine bien pendante et ses pis roses, son Maître l'avait assimilée à plusieurs reprises à une Bonne Grosse Vache Laitière en utilisant un langage imagé. "En parlant de te traire Denise, l'image de la Vache s'est bien imposée à moi, une bonne Grosse Vache laitière avec les tubes chromés d'une machine à traire accroché à ses pis et j'ai même à l'oreille le bruit cadencé d'aspiration et de succion de tes Lourdes Mamelles !"

Alors pourquoi Denise avait elle choisi ce qualificatif encore plus humiliant ?

Il y avait bien sûr une raison à cela

Tout se rapportai toujours à sa peau laiteuse et légèrement rosée qui pouvait sous le coup de l'émotion et l'excitation, prendre rapidement une teinte plus soutenue. De rose pale, elle pouvait alors devenir d'un beau rose vif en quelques secondes. Mais ce choix avait été également dicté par le souvenir d'un film américano-australien sorti en 1995 " BABE, le petit cochon ".

Elle l'avait trouvé si mignon sur le grand écran de la salle de cinéma que son mari pour la taquiner un peu, lui avait lancé : " C'est toi quand tu étais petite ! ". Sur le coup Denise s'était quelque peu sentie offusquée, mais elle connaissait bien les taquineries fréquentes de son mari et son humour coquin.

Mais quand elle avait revu ce film quelques années plus tard, c'est Denise elle même qui cette fois avait dit : " C'est moi ça, quand j'étais petite ! ".

A l'occasion d'une balade en voiture à la campagne, son mari l'avait encore taquinée en découvrant sur le bord de la route une de ces fermes où l'on élève encore librement des cochons. Et lorsqu'il avait apostrophé l'un de ces animaux en ces termes : " Denise ! Qu'est-ce que tu fais là ! ", tous les passagers de la voiture avaient éclaté de rire et cette chère Denise était bien évidement devenue toute rose d'émotion.

Ces allusions drôles et répétées avaient finies par produire leur effet et inconsciemment, elle en arriva à s'identifier à ce quadrupède souvent déprécié et qui pourtant ne manque pas d'une certaine noblesse.

Comme beaucoup d'autres, le film a sombré dans l'oubli mais quand des années plus tard, Denise a commencé à vouloir concrétiser son fantasme longtemps inavoué, et devenir enfin La Soumise d'un Maître qui n'hésiterais pas à lui imposer les pires sévices, à la dégrader, à l'insulter et à l'humilier, c'est tout naturellement qu'elle a voulu devenir vraiment une Grosse Truie !

Comme elle venait dans son précédent message de lui adresser une image animée de sa généreuse poitrine virevoltante, son Maître qui semblait avoir particulièrement goûté le spectacle lui avait alors détaillé la manière dont il aimerait voir traiter ces deux superbes obus de chair. La poitrine était chez Denise une zone particulièrement érogène et elle rêvait toujours de se faire durement maltraiter les seins jusqu'à l'orgasme.

A la lecture du message de son Maître, cette femme multiorgasmique sentait monter en elle le désir à la simple évocation des sévices qu'il pourrait lui réserver :

"Je t'imagine déjà devant moi, la poitrine nue, tu es assise, jambes écartées, les mains et les bras solidement liés dans ton dos de manière à faire jaillir de ton torse ces deux beaux globes charnus que tu offres à ma convoitise.

Après les avoir empoignés, je les soupèse en les relevant doucement pour commencer puis de plus en plus vite. Utilisant mes deux mains, je saisi tes tétons entre le pouce et l'index et je commence à les faire rouler de plus en plus vite tout en les pressant de plus en plus durement. Un liquide blanchâtre commence légèrement à couler de tes tétines qui durcissent et s'allongent sous l'action de mes doigts.

Je colle alors ma bouche au téton droit que je saisi entre les dents tout en malaxant la chair tendre et souple de ton sein nourricier pour m'abreuver à sa source. Le téton gauche subit bientôt le même traitement et je t'embrasse sur la bouche pour que tu puisses aussi goûter aux sécrétions de tes glandes mammaires.

Je dégrafes alors ta jupe afin de dénuder complètement ce corps généreux de Femme, de Mère, de Salope, de Truie ! ".

Devant son ordinateur Denise qui commençait à sentir monter le désir, s'était déshabillée avant de lire mais là elle imaginait que c'était Lui, Son Maître, Son Propriétaire qui la dénudait totalement et elle s'écria avant de poursuivre sa lecture : " OUI ... Met-moi à Poil ! " . " Je commence ensuite à te "Gifler les Seins" très durement et la peau rose de ta poitrine prend alors une teinte plus rougeoyante. Ton beau visage se crispe mais je lis dans tes yeux que tu souhaites continuer.

J'ai attaché tes pieds nus à l'arrière de la chaise et tes cuisses se sont ainsi plus largement ouvertes. Ah, j'aime te voir ainsi, Toi la femme respectable, bonne épouse et bonne mère de famille, A Poil, la Vulve ouverte et qui commence à couler de plaisir.

Oui MA TRUIE, je vais continuer à maltraiter tes GROS NICHONS, à les pétrir, à les malaxer durement, je veux voir des larmes dans tes yeux ! Dans ton regard embué je lis cependant toute ta reconnaissance et cela conforte mon désir !

Je frappe à la volée tes lourdes Mamelles qui oscillent de gauche à droite sur ton torse nu avec un bruit mat de chair qui s'écrase. Tu as les seins tout rouges maintenant et je te sens prête !

"Vas y Denise, vas y ma Grosse Truie, Jouis ! Jouis ! là Maintenant !"

Un jaillissement entre tes cuisses m'éclabousse alors qu'un Orgasme fulgurant te foudroie !!!

Cette Grosse Truie avait une facilité déconcertante à jouir de ses seins.

Le soir venu, c'est dans un état fébrile d'émotions salaces et de fantasmes ludiques que Denise alla se coucher..

Après une nuit particulièrement onirique, Denise devait s'éveiller le lendemain matin dans un état d'excitation extrême.

Devenue dans son rêve, l'attraction d'un salon de l'Agriculture un peu particulier, elle s'était retrouvée parquée dans une sorte d'enclos installé au cœur du pavillon principal et une foule compacte se pressait autour des barrières pour venir admirer cet animal d'un genre un peu particulier.

Face à cette foule de promeneur dans laquelle se trouvaient le plus souvent des personnes de connaissance, voisins, amis ou collègues de travail, elle était à sa grande honte, exposée nue, à 4 pattes sur un sol presque boueux recouvert d'une couche de paille.

Si la plupart des rêves apparaissent souvent assez confus, elle se souvenait pourtant parfaitement de celui-ci, et ce jusque dans les moindres détails.

Sans savoir pourquoi elle avait eu cette impression, ce devait être un dimanche en fin d'après midi et elle devait être là depuis longtemps car la paille était à plusieurs en-droits, souillée par ses déjections qui n'avaient sans doute pas été nettoyées depuis le matin.

Certains visiteurs semblaient d'ailleurs s'amuser de cette situation et les remarques graveleuses qui lui parvenaient aux oreilles, accentuaient encore plus son humiliation. Une inscription sur ses flancs, au marqueur et en lettres grossières, indiquait simplement qu'elle était " A Vendre " et un panneau de bois accroché aux barrières précisait : " Denise, 42 ans, Superbe Grosse Truie de 55 kg, ayant déjà " Mis bas " à deux reprises - Prix à Débattre "

Il n'était pas permis d'en douter, elle était bel et bien mise en vente sur cet étonnant marché aux bestiaux.

Dans la soirée, un homme au visage vaguement familier était apparu devant le stand et lorsqu'il s'était approché vraiment, elle avait alors parfaitement reconnu Michel, Son Maître dont elle avait découvert la photo peu de temps auparavant. Ce dernier, en conversation avec l'exposant, il lui demandait crûment : " Combien voulez vous pour cette Grosse Truie ".

Bizarrement elle n'avait aucun souvenir du prix, mais son acheteur potentiel semblait hésiter. Après avoir enjambé la barrière, il était cependant venu palper ses lourdes mamelles en affirmant qu'elle était sans nul doute encore capable d'allaiter.

Puis il était venu flatter longuement sa large croupe avant d'en terminer par une tape énergique sur son gros fessier. Il lui avait ensuite fait ouvrir la bouche pour examiner le fond de sa gorge et l'état de sa dentition en tirant fortement sur sa langue.

Ses investigations s'étaient poursuivies par un examen minutieux de la vulve et du trou du cul de Denise en provoquant l'hilarité d'une bande de jeunes qui passaient à proximité. Il s'agissait a priori d'étudiants dont elle aurait sans doute pu être la mère ce qui la gênait terriblement. Ce n'était pas le cas de ces derniers qui s'étaient enhardis à demander s'ils pouvaient aussi " inspecter la bête ".

Tandis que deux d'entre eux prenaient plaisir à lui maltraiter un peu les seins, deux autres avaient introduit leurs doigts dans son intimité la plus secrète en la fouillant sans ménagement. Puis ils ressortaient ensuite leurs doigts souillés qu'ils essuyaient sur sa peau rose. Maintenant à l'aise d'examiner la Truie, les jeunes ne se gênaient pas pour gifler et claquer fortement la peau tendre et rose de la pauvre Denise livrée en pâture à ces jeunes fauves sans scrupules.

Les visiteurs se faisaient maintenant se plus en plus nombreux autour du stand, de plus en plus démonstratifs aussi et les plus petits jouaient des coudes pour accéder au premier rang et ne rien perdre du spectacle qui se déroulait dans l'enclos et même, encourageait ces jeunes dans leurs actions envers cette bête sans défense.

Le plus jeune de la bande paraissait timide et réservé même si la bosse dans son pantalon trahissait son émoi.

Mais après être demeuré longtemps simple spectateur, il devait brusquement perdre toute ses inhibitions et sortir son pénis pour se mettre à pisser abondamment sur le corps dénudé de Denise. Puis ses compagnons l'imitèrent sous les applaudissement de l'assistance surexcitée par un tel spectacle. Denise était totalement souillée et recouverte d'urine..

A l'heure de la fermeture, le service de nettoyage vint sur le stand et l'un des hommes entreprit alors de nettoyer Denise avec un balais-brosse et une lance d'arrosage dont il dirigea le puissant jet vers les endroits les plus sensibles et les plus souillés, puis, il frottait Denise sans précaution avec la brosse qui marquait sa peau fragile.

Maître Michel était alors en mesure de récupérer le bien convoité mais avant de conclure l'acquisition, il avait voulu vérifier le poids exact de cette Belle Truie qui avait été alors conduite sur le plateau suspendu d'un lourde balance.

Le poids exact affichait 54,4310844 kilogrammes pour une bonne Grosse Truie toute fraîche et toute rose.

Après d'âpres échanges, le prix avait été enfin conclu d'une vigoureuse tape dans la main comme il est de mise entre marchand de bestiaux. Au moment où son nouveau propriétaire s'apprêtait à l'emmener, une longe attachée autour du cou, le réveil interrompit sa rêverie et Denise s'aperçut alors que sa vulve était trempée et que les draps portaient les traces de son excitation.

A peine levée, Denise s'était alors empressée de rédiger un courriel à son Maître pour lui raconter son rêve. Après s'être isolée dans son bureau, elle avait immédiatement ôté sa robe de chambre sous laquelle elle ne portait absolument rien puis avec des mini pinces crocodiles mordant cruellement sa chair intime, elle s'était accroché des poids aux grosses lèvres de son sexe.

Elle agissait aux recommandations de son Maître qui souhaitait en effet réussir ainsi à les étirer au maximum afin de les faire pendre naturellement entre ses cuisses.

Dès le début de leur relation, il lui avait fait part de son envie de la " transformer " , de la modeler selon ses désirs et cette perspective éveillait en elle un désir étrange. D'ailleurs, comme Propriétaire, il lui avait formellement interdit tout soutien-gorge pour que les mamelles de sa soumise s'affaissent encore plus. Maître Michel aimait les Grosses Truies aux mamelles bien pendantes. L'étirement des lèvres lui faisait un peu mal mais elle avait appris à apprécier cette douleur, non qu'elle soit devenue masochiste, mais cette idée de souffrir pour le plaisir de son Maître la faisait terriblement mouiller.

Après la nuit " agitée " qu'elle venait de passer, sa vulve ne devait d'ailleurs pas tarder à se transformer en une véritable source de vie car elle avait cette particularité d'être aussi une " femme fontaine ".

Agenouillée devant son ordinateur, elle s'était mise à relater d'un seul jet ses rêveries nocturnes, sans rien omettre des détails les plus salaces car elle ne voulait rien dissimuler de ses désirs secrets, même les plus inavouables.

Après en avoir fini, elle s'était préparée pour partir au travail, optant pour une jupe moulante noire mi-cuisse. Elle avait gardé les jambes nues car elle aimait les sentir naturellement à l'air libre et portait des escarpins noirs à talons vertigineux qui en soulignaient le galbe parfait.

Pour le haut, elle avait choisi une belle blouse bleu ciel en coton satiné et comme elle avait décidé de laisser ses seins libres, elle portait un foulard pour les dissimuler au regard de ses collègues. Tout au long de sa journée de travail, elle allait être l'objet de l'attention de ces mes-sieurs qui cherchaient visiblement à s'assurer qu'elle ne portait rien sous son chemisier.

En papotant à la pause avec trois d'entre eux, elle avait même senti s'écouler sur sa cuisse un filet de liqueur intime tant qu'elle était excitée de tout ce que son Maître exigeait d'elle. S'étant aussitôt précipitée aux toilettes, elle avait recueilli avec son doigt un peu de ce suc entre ses lèvres inondées car elle adorait goûter ses propres sécrétions au doux parfum enivrant. Par chance, le foulard parvenait à dissimuler ses lourdes Mamelles dont les mamelons si délicieusement rosés avaient triplé de volume sous le coup de l'excitation.

A l'issue de cette journée, elle était alors rentrée chez elle complètement épuisée. Malgré la fatigue qui lui alourdissait les paupières, elle n'avait pas manqué de lire le dernier message de son Maître. Pour la première fois, il évoquait la possibilité d'une rencontre à plus ou moins longue échéance. S'ils parvenaient à se libérer tous les deux pendant plusieurs jours, il lui proposait de vivre ensemble une expérience unique et d'une rare intensité.

Pendant cette semaine de folie, il promettait (ce si naturellement elle acceptait de le suivre) d'explorer avec elle différentes formes de perversité dans une sorte de remake d'histoire d'O revisité par Sade et mis en scène par Pasolini. Denise avait été tellement séduite par cette proposition, que le soir même elle en parlait, sommairement bien sûr, avec son mari.

Elle était avec lui depuis son adolescence et ils ne se cachaient rien car la jalousie n'était pas de mise entre eux. Aussi quand elle lui avait fait part de ce qu'elle éprouvait pour ce Maître encore inconnu, il l'avait tout de suite encouragée, non sans avoir pris quelques précautions au préalable, à aller au bout de son fantasme en concrétisant cette expérience. Son mari ne savait que les grandes lignes de cette nouvelle relation que Denise avait nouée, question de confiance, sa femme avait droit à son jardin secret et là s'arrêtait ce qu'il devait savoir de la relation de sa femme avec son Maître, tout le reste était secret entre Denise et Maître Michel qui Lui, avait toute latitude pour travailler Denise comme il rêvait le faire

Complices, Denise et son mari avaient fait l'amour avec passion, alignant les positions, les unes derrières les autres car Denise était une femme exigeante au point de vue sexuel, elle aimait par dessus tout se faire pénétrer longuement par tout les orifices. Repus et apaisés ils s'endormir doucement.

Le lendemain, Denise se décidait à écrire à son Maître qu'elle se sentait prête pour vivre une telle expérience avec lui. Au cours des mois qui suivirent, leurs échanges allaient s'intensifier et leur relation devait s'approfondir.

Une fois pourtant, sur un malentendu, leur belle aventure aurait pu capoter car si elle était dotée d'un solide tempérament, Denise n'était pas non plus une soumise ordinaire et elle pouvait parfois se rebeller. Car elle avait aussi du caractère mais comme elle l'avait dit alors à Michel : " avec une femme comme moi c'est parfois un peu plus compliqué mais tellement plus génial !!! ".

Ils étaient sortis renforcés de cette crise et au fil du temps, leur désir respectif devenait de plus en plus intense. Puis un jour, Michel lui avait enfin déclaré qu'il allait être en mesure de pouvoir se libérer pendant toute une semaine entière en il lui laissait le choix entre plusieurs dates.

 

A suivre

 

 

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