Histoires Des Invités

 

La Carotte Nantaise 1

Claude D'Eon

 

CHAPITRE 1: VOISINS, VOISINE - LA REVELATION

Je n'ai pas de problèmes avec mes voisins sauf avec un : c'est homme d'environ trente cinq ans, Denis, un beau gaillard, taciturne et peu loquace, le poil blond, un peu empâté, mais moins que moi. Il est marié à une femme plus âgée, Diane, très sympathique, mais souvent en déplacement. Ils ont tous les deux un enfant d'un précédent mariage, un garçon et une fille, mais je ne les vois quasiment jamais. Je crois qu'ils vivent à Paris chez leurs parents respectifs. Lui, par contre, est souvent à la maison car, comme moi, il gère pas mal de choses de chez lui. Il travaille dans une société de négoce de matériel agricole et de produits d'élevage. Nous lui avions passé une commande d'aliments pour la basse-cour et les autres bestioles de Carole, mais il y avait eu un litige, je ne me rappelle plus pourquoi. Carole en sait plus que moi à ce sujet. Le différend s'était envenimé, et je crains que ce fait ait été aggravé par l'alcool. Je lui avais promis de venir le voir pour arrondir les angles -Carole ayant son petit caractère -mais entre-temps il avait " invité " de force mon épouse à lui tenir compagnie, ce qui m'avait un peu refroidi. Pourtant, je ne voulais pas en rester là, d'autant que nos deux couples avaient jusqu'à présent d'excellents rapports.
Quelques semaines plus tard, - nous étions fin juin - après le dîner, l'émotion étant retombée, je confiai à mon épouse:
-" Si on commence à l'ignorer maintenant que ça va un peu mieux, on risque d'aggraver les choses. On devrait lui rendre visite... " Carole répondit :
- " Non merci ! Vas-y tout seul, il me fait peur ! J'irais quand Diane sera rentrée. "
- " D'accord, j'y vais. Alors, soit je reviens tout de suite et en courant, soit ça risque d'être assez long pour recoller les morceaux... "
- " Prends ton temps, moi je reste devant la télé, j'ai enregistré plein de feuilletons pour les filles. Comme ça je n'entendrais pas tes commentaires ! "

Je partais donc : Cent cinquante mètres de marche ! Le ciel était sombre malgré l'heure et la saison, et il commençait à pleuvoir, quelques grosses gouttes éparses. " Ca s'annonce bien ! ", Pensai-je. Les volets étaient fermés sur une grande partie des façades. Cela m'inquiétait peu car Denis, un peu flemmard comme beaucoup d'hommes seuls, n'ouvrait que le strict nécessaire. D'ailleurs, les volets de la cuisine et du salon étaient ouverts, et la lumière était allumée. On ne voit rien de la rue, l'angle est mauvais, et plus loin la vue est masquée par de nombreux arbres. Je sonnais au portail, plusieurs fois, pas de réponse. Enfin, je le vis arriver du fond de son jardin ; il devait achever une tâche quelconque avant l'orage. Arrivé à ma portée, il me fixa avec un regard froid, sur la défensive :
- " Oui, c'est pour quoi ? "
- " Salut ! Je voulais te dire bonjour, discuter un peu... On n'a pas trop eu le temps la dernière fois... "
- " Je crois qu'on n'a rien à se dire. " J'hasardai :
- " Tu voulais pas me voir pour une histoire de clôture ? " Il m'en avait parlé, mais cela faisait au moins six mois…
- " Mouais... Entre, je finis et j'arrive. "
Je ne me fis pas prier, vu le temps. J'entrai dans leur grande maison, décorée avec goût - Diane est une antiquaire renommée, c'est pour cela qu'elle est souvent en déplacement. Le salon baignait dans une douce lueur dispensée par de nombreux photophores. Denis entra après moi, trempé ; L'orage prenait de la vigueur : beaucoup d'eau, mais heureusement peu de foudre et de vent : depuis que je suis propriétaire, je m'en méfie.
- " Assieds-toi, je me change et j'arrive. " Il gravit rapidement les escaliers qui mènent à l'étage.
Je m'exécutais donc : il m'avait désigné un grand sofa, dans lequel Carole et moi avions l'habitude de nous installer lors de nos visites. Il faut dire qu'ils sont très accueillants : sur la table basse devant le sofa étaient disposés une coupe de fruits, un service à thé et à alcool, des chocolats, des biscuits...
Denis revint transformé : il était tout sourire et gentillesse, et arborait une longue chemise de nuit en coton qu'il avait dû emprunter à son épouse -quoique j'aie les mêmes ! - et des sandalettes indiennes.
- " Tu bois quoi ? Thé, café, bière, whisky ? … "
J'ai appris une chose avec Denis, c'est qu'il ne faut pas lui dire non : il continuera à proposer tout ce qu'il a dans sa maison jusqu'à ce qu'on lui cède.
- " Va pour une bière, alors... "
En attendant son retour de la cuisine ou de Dieu sait où, je méditais sur sa personnalité étrange. J'en étais parvenu à la conclusion que c'était quelqu'un de sensible et généreux et qu'il a dû se sentir trahi par notre silence, lorsqu'il réapparut avec un plateau chargé de bières et de biscuits apéritifs.
- " Alors, ça va , qu'est ce que tu racontes ? "
Vu la tournure des choses, je pris la décision d'escamoter tout ce qui pourrait ramener la conversation sur les sujets de voisinages. Nous discutâmes donc de banalités, de nos épouses et animaux respectifs - pardon pour l'amalgame !
Je commençais à me sentir euphorique, sûrement grâce à la bière :
- " Hou là, elle cogne ! Quatorze degrés ! " Dis-je en déchiffrant l'étiquette. Je ne bois quasiment jamais. Je remarquai que Denis profitait aussi des effets de la bière : il avait un début d'érection qui soulevait son Tee-shirt à rallonge. Il ne portait visiblement pas de sous-vêtements. Il vit que je m'en étais aperçu et releva son bassin pour mettre son sexe en évidence :
- " Eh oui, ça fait un moment que j'ai pas eu ma " Lady Di " sous la main... "
En un éclair je repensai à toutes mes expériences homosexuelles de mon adolescence, aux garçons attirés par mon côté fille (j'étais très mignonne) et par mes seins de pré-adolescente (et aussi un peu enveloppé, déjà)... que j'ai cruellement chassés, alors que quand j'étais seul j'avais un désir violent de leur appartenir. Ce souvenir me hante encore souvent, ainsi que les regrets…
Mais ce soir, l'alcool et l'orage m'excitent, et avec l'âge on fait fi des conventions. Je me penche vers lui, glisse ma main sous sa chemise de nuit, remonte maladroitement le long de ses cuisses, caressant du bout des doigts ses gros testicules et son sexe, bien proportionné pour moi (j'en ai un petit), mais un peu mou encore. Il n'a pas esquissé un geste, juste un petit mouvement de plaisir.
- " Tu… Tu veux que je m'occupe de toi ? " Lui soufflai-je.
- " Oui, vas-y... " il releva sa chemise et attira ma tête vers son sexe que j'engloutis aussitôt. Il était déjà humide de désir et j'avalai cette liqueur avec délice. J'allais et venais tout doucement, sans trop serrer son membre, en pétrissant ses grosses couilles. Je n'avais jamais sucé un garçon, mais c'est comme ça que j'aimerais qu'on me le fasse. M'étant mis à genoux devant lui, je cambrai mes reins et je sentis mon petit trou s'ouvrir, me provoquant une envie furieuse de me faire pénétrer. Je me dégageai lentement de son sexe tout en le gardant bien serré entre mes mains et lui fit part de mon désir en le regardant dans les yeux :
- " J'ai envie que tu m'encules... " Je sentis son sexe faire un bond entre mes mains, c'était bon signe. C'était la première fois que je m'offrais à un garçon. Je me libérai rapidement de mes vêtements pour me retrouver entièrement nu devant lui. Je regardais autour de moi pour trouver de quoi me lubrifier. J'avisais les bananes de la coupe de fruit :
- " Enfonce une banane dans mon cul, tu verras, ça marche très bien. " J'avais déjà essayé ça avec succès dans ma jeunesse... Je m'allongeai, le ventre sur le coin du sofa, la croupe offerte. Denis tenta de m'enfoncer la banane, mais elle cassa dans mon petit trou toujours trop serré à mon goût.
-" Enfonce la avec tes doigts, caresse-moi ! " Denis m'enfonça deux doigts englués de banane écrasée et me caressa en tournant ses doigts. Que c'était bon ! Je matais la scène dans un grand miroir ancien. Après quelques minutes de ce traitement, mon anus était devenu bien plus accueillant. J'allais inviter Denis à me pénétrer, mais il avait déjà cessé ses caresses et je sentais son gland humide frapper mes fesses. Je sentais que j'étais trop bas et attirai rapidement deux gros coussins en cuir sous moi. Il m'arrive de sodomiser Carole de cette façon, et je savais comme il était désagréable de ne pas être en position confortable. Elle n'aime pas ça, mais elle aime me faire plaisir. Elle me propose même son petit trou lorsqu'elle est en " travaux ", comme elle dit. Elle m'accompagne bien en ondulant de la croupe, mais elle n'en tire visiblement aucun plaisir, et ça rend le mien un peu triste.
Denis me pénétra en douceur, par petits coups, de plus en plus profond. Cela me fit plus mal que j'aurais cru, son sexe étant de taille assez respectable. Je poussais des petits cris à chaque pénétration, ce qu'il prit pour des encouragements. Petit à petit, la douleur fit place à un plaisir profond que je n'avais jamais encore ressenti. Denis me prenait les seins à pleines mains et les pétrissait sauvagement. Je n'avais jamais connu une telle sensation, même quand j'avais exploré cette voie moi même.
Soudain je sentis Denis se dégager rapidement et se relever. Je me dis qu'il voulait changer de position. En fait, je regardais autour de moi - j'avais fermé les yeux pendant un grand moment - et je vis avec stupeur Diane, debout dans l'encadrement de la porte, derrière nous. Elle était rentrée à l'improviste et a dû nous épier par la fenêtre. Elle était trempée, ses longs cheveux châtain clair dégoulinants sur son grand tee-shirt, un sac à l'épaule. Elle n'était pas très jolie, petite et assez boulotte, le visage rond, ses seins qui à mon souvenir n'avaient jamais vu de soutien-gorge tombant sur un gros ventre, les fesses et les cuisses bien rondes. Ce qui me plaisait le plus en elle était le fait qu'elle se moquait de son physique, qui ne collait pas avec son métier et son intérieur. Je n'arrivais pas à définir son expression, toujours est-il qu'elle devait être là depuis un petit moment, peut-être même qu'elle nous avait vu par la fenêtre car nous ne l'avions pas entendu entrer. Denis était tétanisé. Moi non plus je n'osais pas bouger. J'étais encore dans la même position humiliante, offerte.
Comme j'allais me relever, elle me lança :
- " Mais c'est notre petit voisin ! Non, ne bouge pas ! " Et à son mari :
- " Tu aurais pu fermer les volets, heureusement que j'y pense ! Je t'en prie, finis de baiser ta poupée gonflable ! "
Je fus choqué par son vocabulaire, bien plus châtié d'habitude. Son ton était étrange, assez neutre : à cet instant, je ne pouvais pas dire si c'était une colère sourde ou une terrible excitation. Il me rappelait confusément une expérience que j'avais vécue dans un lointain passé. Elle ferma rapidement les volets, en nous quittant des yeux le moins possible. Comme nous étions figés sur place, penauds et honteux, elle encouragea Denis d'une voix plus câline :
- " Vas-y, ça ne me gêne pas... " Nous étions beaucoup moins fougueux. Elle entraîna doucement Denis par le sexe, me remit en position d'une main ferme et même assez brutale. Elle se défit rapidement de ses vêtements : un short saharien, un tee-shirt, une culotte et des sandales, trempés, et se sécha sommairement avec la chemise de nuit de Denis. Elle s'agenouilla derrière lui, l'enlaça tendrement et tenant toujours son sexe, tenta de me le rentrer dans mon petit trou. Malheureusement, je m'étais sérieusement contracté et l'érection de Denis avait beaucoup baissé. Je sentais Diane s'énerver :
- " Tu étais plus ouverte que ça, tout à l'heure, salope ! " Elle me frappa comme elle put sur le haut de la fesse droite, ce qui me fit crier, plus de stupeur que de douleur.
- " Doucement ! " Lui murmura Denis. Je remarquai rapidement la différence avec laquelle elle nous traitait :
- " Non, laisse, elle a raison, c'est ma faute. " Interviens-je. Je prenais pleine possession de ma qualité d'esclave sexuel. Je commençais à aimer la tournure des évènements. Je me souviens maintenant de la dernière fois que j'avais entendu une femme parler de cette façon d'enfant cruel : c'était dans mon enfance, je devais avoir une dizaine d'année. Comme j'étais turbulent, une grande fille de ma rue - elle devait avoir quinze ans - m'avait ligoté en prenant bien soin de me faire passer la corde sur mes parties et profondément dans la raie, les jambes repliées. Je m'étais soumis à sa voix autoritaire, et ça la faisait bien rire. Elle me libéra après une dizaine de minutes, après m'avoir longuement maintenu sous sa semelle, avec une préférence pour mon sexe. Par la suite, je n'ai plus eu affaire à elle. Dommage.
Diane repoussa tendrement son mari vers ma tête :
- " Je vais te préparer le passage. Va dans sa bouche en attendant qu'elle soit prête. "
J'adorais la façon dont j'étais traité : un jouet pour un garçon gâté, que sa maman essaye de faire marcher. En plus, si elle me traite de salope... Elle dut remarquer la banane à peine entamée sur la table basse. Moi, je ne voyais plus rien, le visage dans la forêt pubienne de Denis :
- " C'est avec ça que tu lui as beurré le trou, mon chéri ? " Denis opina de la tête, déjà Il allait et venait dans ma bouche comme s'il était encore dans mon cul.
Diane me décocha une violente claque sur les fesses :
- " Regarde mon mari dans les yeux quand il te baise ! " J'obéis immédiatement, cela renforçait mon humiliation. Diane essaya de m'enfoncer la banane, mais elle cassa encore, ce qui l'agaça. Denis, qui commençait à être sérieusement excité par la conduite de sa femme, ainsi que pas ma soumission, se prenait au jeu :
- " Enfonce-lui tout avec tes doigts, je suis sûr qu'elle adore ça... Hein, ma poule ? " Il se retira de ma bouche le temps de me laisser répondre :
- " Oh oui, j'aime ça, faites ce que vous voulez de moi... " Diane eut un petit rire :
- " Heureusement ! Tiens, je suis en train de te farcir comme la grosse dinde que tu es ! Tu as vraiment un beau cul, j'aimerais bien te sauter. Tu devrais t'épiler, et mettre des bas et un porte-jarretelles, tu serais encore plus bandante. Et aussi mettre une perruque de blondasse et te maquiller comme une petite pute ! " Je sentais ses doigts pousser la pulpe de banane le plus loin possible. Quand elle eut fini, je me sentis plein, et elle me donna ses doigts à sucer :
- " Nettoie-moi, tu m'as salie, vilaine ! "
Elle fourragea un moment sur la table basse, au bruit je devinais qu'elle prenait la bouteille de bière que je n'avais pas terminée. Elle me planta le goulot dans les fesses sans ménagement et se mit à la secouer vigoureusement, ce qui finit de la vider entièrement dans mon derrière. L'alcool me brûla puis m'anesthésia un peu. Elle tenta de me l'enfoncer plus profond mais je criai de douleur :
- " Tu me fais trop mal ! Je n'ai pas envie d'aller à l'hôpital pour me la faire sortir ! " Elle me fessa bruyamment :
- " Tu te prends pour qui, raclure, pour me tutoyer ? Je ne t'ai pas autorisé à parler ! Puisque tu t'inquiètes tant pour ton petit cul, Je voulais juste tester tes limites. Je vais te fourrer avec autre chose, j'espère que tu pourras me donner plus de satisfaction ! "
- " Merci, maîtresse ! " Risquai-je. Je perçus un sourire triomphal sur son visage quand elle passa dans mon champ de vision. Elle quitta la pièce, en quête d'un objet plus à même de me dilater sans danger pour moi. Denis était sorti de ma bouche pour se ménager : cela aurait été dommage que Diane m'ait préparé pour rien ! Elle revint avec une bougie décorative du plus bel effet... sur moi. Elle faisait une quarantaine de centimètres, conique, de trois à dix centimètres de diamètre d'un bout l'autre, avec des motifs indiens en relief. Diane s'agenouilla derrière moi et entreprit de me l'enfoncer. C'était vite devenu douloureux et je me dérobai à ses coups de boutoir, en abandonnant le sexe de Denis -que je venais juste de reprendre - pour crier. Il compatissait silencieusement. Il s'écarta car il avait remarqué que j'aimais nous regarder dans le miroir. D'ailleurs, il faisait de même.
Diane me fessa encore :
- " Arrête de bouger, connasse, tu veux que je sois méchante ? Si tu ... "
Soudain, le téléphone sonna. Je hais ces engins. Rien de mieux pour briser l'ambiance. Diane, sans quitter sa position de torture, attrapa le téléphone sans fil sur un guéridon voisin. Elle reprit la voix enjouée que je lui ai toujours connue :
- " Oui ? ... Ah! Salut Carole ! " C'était ma femme. De mieux en mieux. Tout en devisant avec une bonne amie, Diane continuait de me sodomiser sans ménagement. Seulement, là, j'étouffais mes cris. Elle cala le téléphone sur son épaule pour avoir les mains libres :
- " Eh oui, ce soir... Non... Oui, il est là, ils font quelque chose de compliqué avec l'ordinateur de Denis. " Lasse de me voir me dérober sans cesse, elle me donna une petite claque pour ne pas faire trop de bruit, m'attrapa énergiquement par les testicules et me tira en arrière.
- " J'évite de les dér ... Ah bon ? ... Tu as besoin d'aide ? ... OK... Oui... Je... Je lui dirais... Non, il est sage, il a bu son biberon avec Denis... D'accord, mais je lui en ai déjà mis une ! (Rires)... T'inquiètes pas... Salut, Bises ! " et elle raccrocha :
- " C'était Carole : elle dit qu'elle part chez... heu... Mélanie, elle l'a appelé d'urgence, c'est juste pour pas que tu t'inquiètes en rentrant. Tu as une belle femme, je me la ferais bien. J'adore ses gros seins blancs tout rond, sa touffe de feu avec un petit grain de beauté dans le coin de la lèvre, et son beau cul bien pommé aussi. Il faudra que tu me la prêtes. Je lui donnerais sûrement plus de plaisir que toi ! " J'étais perplexe : elle l'a déjà vue nue ? Elle re-durcit le ton :
- " Maintenant, tu vas arrêter de bouger ! " Elle fourragea dans le tiroir du guéridon en maintenant le gode en place d'une main et en sortit un morceau de fine chambrière en corde satinée. Elle fit un nœud coulant, me le passa à la base de mon sexe -malgré la terrible excitation que je ressentais depuis le début je n'étais pas en érection, j'étais trop soumis pour ça - sans oublier les testicules. Elle retira brusquement la bougie pour la caler en haut de ses cuisses. D'après les mouvements de ses mains, elle dût écarter ses lèvres qui chevauchaient ainsi le gode improvisé pour avoir un contact plus intime. Elle tendit la corde et se l'enroula autour de la taille de façon à m'avoir à sa merci. Elle me pénétra ainsi, sans brutalité. Elle continua à me distendre le petit trou pendant encore cinq minutes. Elle poussait de profonds soupirs en faisant des va-et-vient lents et profonds. Puis elle rappela Denis que j'avais abandonné depuis un moment, trop occupé à me débattre :
- " Viens mon chéri, son cul est à point, c'est du velours ! " Elle détacha la chambrière de sa taille, mais la garda entre ses cuisses. Elle se recula pour laisser la place à son mari au comble de l'excitation. Assis sur le sofa, devant nous, il était resté les yeux rivés sur le miroir. Il présenta son gland bien dur maintenant contre mon cul et commença à me pénétrer doucement. Diane avait repris sa place derrière Denis, tendit la chambrière en la tirant entre leurs cuisses, par derrière. C'est elle qui dirigeait la pénétration : elle me forçait à m'empaler sur le sexe de Denis en me tirant en arrière et poussait les fesses de son mari à grands coups de boutoirs en l'enlaçant de très près pour éprouver ce qu'il ressentait :
- " Comme je voudrais avoir une queue pour pouvoir défoncer des culs comme celui de cette petite pute ! " A peine eut-elle prononcé ces mots que Denis jouit bruyamment et vida son sperme chaud et abondant dans mes entrailles. J'en ressentis un grand plaisir, non loin de l'orgasme. Quelques instants plus tard, lorsque Denis reprit ses esprits, et qu'il se soit rassis sur le canapé devant moi, Diane libéra mon sexe qui commençait à s'engorger, mais pas mes testicules. Elle tira un coup sec sur la chambrière :
-" Lève ton gros cul de là et allonge-toi sur le tapis ! " Le tapis en question était de l'autre côté de la table basse, plus près du miroir. Je m'allongeai sur le ventre, en prenant soin de me placer de façon à ne rien louper du spectacle qui s'annonçait. Je vis Diane ramasser le bout de la cordelette. Elle m'écrasa les fesses de son pied nu et commença à l'insinuer dans mon trou bien lubrifié en poussant fort, tout en me faisant remonter mon sexe entre mes cuisses en le tirant par ma laisse. Je poussais un cri de douleur.
- " Tu crois peut-être que je vais passer mon temps à t'enculer, ma chérie ? Sur le dos ! " C'était la première fois que je la voyais de face depuis qu'elle s'était mise nue : elle était entièrement épilée, ce qui mettait en valeur son abricot bien rebondi et fendu très bas.
Je craignais de ne pas pouvoir me retenir longtemps si elle voulait prendre son pied sur mon petit membre. Diane fit le tour de ma personne et me donna son pied souillé à sucer. Je m'attardais sur son gros orteil, que je suçais en faisant des va-et-vient. Elle paraissait enfin apprécier ma conduite :
- " Tu es vraiment une bonne petite suceuse ! Allez, tourne-toi, maintenant ! "
Je m'exécutai : mon sexe était pitoyable, ramolli, presque pas en érection, tout dégoulinant, les couilles toujours étranglées par la chambrière. J'étais un peu inquiet, mais à ma grande surprise, Diane n'y jeta pas un regard. Elle vint s'installer à genoux sur ma bouche, à l'envers. Je compris tout de suite pourquoi elle avait dédaigné mon sexe :
- " Ne t'étrangles pas avec le cordon ! " Dit-elle en riant. En bon petit esclave, je me mis à la lécher le plus largement possible malgré ma situation inconfortable. Ses lèvres et son clitoris étaient durs et gonflés.
. D'aussi près, elle ne pouvait pas me cacher son excitation et j'étais fier d'en être responsable. Elle oscillait son bassin pour que j'insiste sur ses endroits préférés. J'ai tenté de lui caresser les seins, mais elle me frappa les mains et tira sur la chambrière qu'elle ne lâchait pas et dont elle usait pour me rappeler à l'ordre :
- " Toi, tu n'as le droit de toucher que mon cul, et encore, si je le veux ! " Elle attrapa ensuite sur la table plusieurs chocolats qu'elle s'enfourna un par un dans les fesses, juste sous mes yeux :
- " Ce sera ta petite récompense. Ne dis pas que je ne te gâte pas ! "
Comme son excitation grandit, elle se mit à me pincer et tirer les tétons pour que je mette plus d'entrain, tout en gardant ma laisse enroulée autour du poignet. Denis, excité par la contemplation de notre duo, était de nouveau en érection et voulait participer : il m'enjamba et présenta son sexe devant la bouche de son épouse. Elle n'était pas d'accord :
- " Non, tu sais bien que je n'aime pas ça. En plus tu viens de l'enculer. Baise-la, plutôt ! " Comme il ne savait pas comment s'y prendre, elle lui fit mettre les gros coussins sous mes reins pour me surélever. Je participai du mieux que je pouvais en me tortillant et écartant les cuisses en grand. Diane me fit comprendre que ce n'était pas suffisant en tirant la cordelette :
- " Lève tes cuisses, petite conasse ! On ne t'a jamais appris à te faire sauter dans ton bordel ? "
Il me pénétra par petits coups, mais prit beaucoup moins de précautions qu'au début, si bien que je commençais à avoir mal au ventre. Denis prit mon sexe pour me masturber, mais Diane s'interposa :
- " Ne t'occupe pas d'elle, on lui donne bien assez de plaisir comme ça ! Occupe-toi plutôt de moi ! " Elle pris ses mains qu'elle écrasa sur ses seins tombants et ils s'embrassèrent à pleine bouche pendant quelques minutes, puis ils jouirent ensemble sans aucun égard pour moi. Diane m'écrasait le visage avec son sexe trempé par ma salive et Denis me défonçait le cul et me remplissait une nouvelle fois de sperme. J'étais au bord de l'évanouissement, mais comblé. Ils se retirèrent et s'enlacèrent sur le sofa, heureux et amoureux. Quand Diane revint à elle, elle fixa le sexe de son mari, et se leva, furieuse. Elle me força à me traîner en me tirant par la chambrière et me plaqua le visage sur le sexe de Denis :
- " Salope ! Tu as vu ce que tu as fait ? Lèche-moi ça tout de suite ! " Je contemplai mon œuvre : son sexe était maculé jusqu'aux testicules, du sperme continuait à s'écouler doucement de son gland violacé. Je me mis à l'œuvre en léchant son sexe en commençant par la base. En même temps je se sentais mon ventre se rebeller. J'interrompis ma besogne :
- " Maîtresse " fis-je timidement, " il faut que j'aille aux toilettes ! " Elle m'écouta gravement. Elle s'était bien rendu compte que j'étais torturé par mes entrailles, réfléchit puis me dit :
- " Finis ton travail, on verra après. " Je continuai donc. Je massai la queue de Denis de bas en haut pour en faire sortir tout le sperme que je pus. Quand j'eus sucé la dernière goutte, je commençai vraiment à avoir mal au ventre que je tenais à deux mains. Diane fut alertée par mes gargouillis. Elle comprit que je devais me soulager d'urgence. Elle se leva et me tira par ma laisse sans un mot ni ménagement et m'entraîna aux toilettes. Elle me fit entrer et laissa la porte grande ouverte pour me surveiller d'un air moqueur. Quand j'eus fini, elle me traîna derrière elle à l'étage et me fit asseoir sur le bidet de la salle de bains :
- " Lave-toi bien. Je ne voudrais pas que tu salisses encore mon homme. " Une fois ma rondelle étincelante, elle redescendit en me tenant toujours en laisse, sans un regard pour moi ni sans même s'assurer que je suivais. Je me faisais l'impression d'être un jouet que les petits enfants traînent derrière eux. Cette fois, elle allait à la cuisine - nous sommes repassés devant Denis, toujours sur son sofa, qui suivait notre manège d'un oeil amusé. En pénétrant dans la cuisine, elle eut un choc :
- " Non mais quel foutoir ! Jamais, il fait la vaisselle ou quoi ? " Elle inspecta la pièce et trouva un reste de purée dans une casserole, sur la cuisinière. Elle sembla réfléchir puis ouvrit le frigo et se saisit d'une bouteille d'eau minérale. Elle me la roula sur le corps, du torse jusqu'aux cuisses, ce qui me fit bondir :
- " Ne bouge pas ! " J'avais très chaud et la bouteille était très froide. Elle expliqua son geste :
- " J'aime pas boire trop froid. " Elle but au goulot, puis me fit :
- " Ouvre la bouche. Profite-en bien, c'est tout ce que tu auras. " Diane se remplit la bouche et recracha tout dans la mienne. Ca tombait bien, moi non plus je n'aime pas boire glacé. Elle s'empara de la casserole en gardant sa bouteille et nous sommes revenus au salon. Elle n'était pas contente :
- " C'est quoi, ça ? Tu sais bien que je n'aime pas qu'on gâche la nourriture ! Jouer avec, d'accord, mais pas gâcher ! " Denis était embarrassé :
- " J'ai pas eu le temps de ranger... Il y a eu l'orage et Luc est arrivé ... " Elle se rendit compte que sa scène était aussi disproportionnée qu'inopportune :
- " C'est pas grave. ma petite esclave va la finir. Je suis sûre qu'elle en meurt d'envie. N'est-ce pas ? " Elle ponctua sa question par un coup sur ma longe.
- " Oh oui, maîtresse ! " En vérité, j'avais soif. Très soif. L'alcool empirait la chose, et ce n'était pas la becquée de Diane qui m'avait éclipsé l'envie de boire. Elle débarrassa rapidement le plateau du service à thé et y servit ma purée. Elle récura longuement la casserole pour ne rien y laisser. Non, apparemment, elle n'aimait pas gâcher. C'est une chose que nous partageons avec Carole. Elle, c'est pire, elle me fait manger des produits périmés. Ce n'est que quand je suis malade qu'elle me l'avoue. Diane posa le plateau sur le sol :
- " Mets-toi à quatre pattes, et mange ! " Je me mis en position, et elle me refit le coup de la bouteille baladeuse, mais sur le dos cette fois. Ca me donnait la chair de poule. Elle but encore quelques gorgées et tendit la bouteille à son mari. Elle s'installa sur un pouf confortable tout à côté de moi et posa ses pieds sur mon dos. Je mangeai avec grand peine : La purée était très épaisse, elle a du rester longtemps sur le feu. J'avais de plus en plus soif et la position était tout à fait inconfortable, et très peu pratique.
Diane fixait le miroir : Denis se masturbait lentement en nous regardant. Enfin, je crois qu'il fixait mes fesses. J'avais fini mon plat, mais pas assez au goût de Diane :
- " Allez, fait la vaisselle maintenant ! ". Je commençais à lécher consciencieusement le plateau. Bien sûr, toujours face au miroir. Je vis Diane, vautrée sur son pouf, faire un signe de tête à Denis, qui avait ralenti la cadence à la fin de ma collation. Il se leva d'un bond, semblant attendre l'ordre de son épouse. Il se colla contre moi et poussa son gland humide entre mes fesses. J'eus un peu mal, mais je me sentais plus vaste, libéré de tout ce qu'on m'avait enfourné. Par son poids, il me força à m'allonger sur le tapis pour pouvoir m'enculer à fond. Je continuais bravement à nettoyer le plateau sous ses assauts. Je tournai rapidement la tête pour voir si Diane me préparait encore un calvaire quelconque pour cette longue soirée, mais je la vis dans une autre activité : elle caressait sa vulve du plat de la main, les cuisses écartées, m'adressant même un petit sourire fugace. Elle se releva et s'adressa à Denis :
- " Tu peux arrêter, chéri, elle a terminé. " Il se dégagea à contre cœur, en me caressant les fesses à regrets, et s'allongea à côté de moi. Elle ramassa ma laisse et tira dessus :
- " Allez, tourne-toi, petite salope, tu ne penses donc qu'à te faire baiser ? " Je me retournai donc, docile, en écartant le plateau :
- " Non, laisse le sous ta tête, tu vas tacher mon tapis ! "
Elle tapota son ventre rond :
- " Tu n'as pas pris ton dessert ! Il ne te plait pas ? " Je repensais aux chocolats. Elle me releva le menton du pied pour me faire répondre :
- " Oh si, maîtresse, mais je croyais ne pas l'avoir mérité... " Mon ingénuité la fit éclater de rire :
- " Qu'elle est mignonne ! Mais si, mais si... " Elle s'agenouilla au-dessus de mon visage. Denis s'était rapproché, tout près, fasciné, et, à vrai dire, encore bien dur. Je pris sa queue dans la main. Elle me tendit son petit trou en s'écartant les fesses en grand. Je voyais ses ongles entrer dans sa chair tant elle était excitée. Je l'abouchais en grand. Elle se déversa en moi en quelques spasmes, et j'avalai à grandes gorgées. Cela ne dura qu'un instant, intense pour nous deux. J'entrepris ensuite de faire sa toilette. Ce fut rapide, mais elle resta plusieurs minutes sur moi, les fesses toujours bien écartées : elle semblait apprécier que je la fouille profondément. Je dardai ma langue et mimais la pénétration. Elle finit par se retirer, et me contempla, pensive. Je crus voir briller une larme au coin de ses yeux. Etrange... Elle se reprit rapidement :
- " C'est bien, tu n'as pas bavé. Enfin, presque. Je crois qu'on ne peut pas trop t'en demander ! " En effet, un filet de chocolat dégoulinait le long de ma joue. Denis s'empressa de me le lécher. Diane rit :
- " Tu as de la chance que mon époux ait le béguin pour toi ! " Sa voix devient plus grave :
- " D'habitude, je tolère moins bien ses maîtresses. " Denis baissa la tête. J'avais eu des échos par le voisinage que leur couple battait de l'aile. Elle s'adressa à lui :
- " Tu peux la détacher, maintenant. Je n'ai plus besoin d'elle. " Denis me libéra, tenta de me prendre à nouveau, mais Diane l'en empêcha et me dit d'une voix sensuelle :
- " Allonge-toi sur le sofa. Sur le dos. " Je m'allongeai donc. Elle s'agenouilla devant mon sexe martyr et le prit entre ses lèvres. Denis en fut surpris et osa :
- " Ah tiens ! Je croyais que tu n'aimais pas ça ? " Sans un mot, et sans s'interrompre, elle lui désigna ma bouche. Il s'agenouilla à son tour : il s'enfonça entre mes lèvres et y reprit le va et vient qu'il avait dû interrompre. Je lui glissais une main entre les fesses en cherchant son trou du majeur. Il se vida dans ma bouche au moment où je l'enfonçai entièrement, puis s'allongea sur le sol, vaincu. Diane m'imita : elle m'écarta les cuisses et m'enfonça deux doigts en les tournant. Elle me suçait doucement, sans serrer, en de longs va-et-vient. Je finis moi aussi par jouir. J'eus un long orgasme, exacerbé par tant d'émotions, et je lui remplis la bouche en criant mon plaisir. Elle me suça encore longuement, me débarrassa des derniers fils de sperme qui ne finissaient pas d'apparaître et se rapprocha de mon visage. Elle avait les joues gonflées. Je compris et j'ouvris la bouche en grand. Elle laissa couler longtemps mon sperme dans ma bouche, en se nettoyant soigneusement de sa salive. Lorsqu'elle se sentit parfaitement propre, elle déposa un petit baiser tendre sur mes lèvres, me les tapota à deux reprises du bout de l'index et nous dit à tous les deux en souriant :
- " J'avale pas !!! " Je lui rendis son sourire et pris sa main. J'ouvris la bouche et suçai ses deux doigts salis. Elle me sourit de plus belle et se leva d'un bond :
- " Ne bouge pas, j'ai encore quelque chose pour toi ! " Je l'entendis fourrager dans son sac et elle revint rapidement. Elle tenait deux tampons dans la main. Elle m'écarta les cuisses puis les fesses et m'en installa un d'un geste expert. Elle me tendit l'autre en riant :
- " Ca y est, tu as le câble ! " Elle devint plus sérieuse :
- " Tu es une vraie fille, maintenant. " Elle se tourna et me présenta son postérieur :
- " A ton tour : fais-moi pareil ! " Les tampons glissaient tout seuls, peut-être grâce à tout ce que l'on a eu dans les fesses …
Le jeu était fini.
- " Viens te laver. " Ils m'entraînèrent tous deux dans la salle de bain, où je me débarrassais de toutes les traces compromettantes. Diane et Denis allèrent passer une robe de chambre pendant que je me rhabillais. Nous nous sommes retrouvés dans le salon. Ils l'avait rapidement débarrassé des accessoires utilisés. Le silence était difficile à rompre. Comme ils revinrent s'asseoir à côté de moi, sur le canapé, je me levai en même temps pour m'asseoir en face d'eux, dans un fauteuil.
Denis hasarda :
- " Vous buvez quelque chose ? "
- " Moi, je prendrais bien un petit Vermouth, mais la dernière fois que j'ai bu, ça c'est mal terminé ! " Répondis-je. D'accord, le vermouth se boit à l'apéritif, mais j'adore ça. Denis éclata d'un rire nerveux.
- " Moi, un cognac, chéri ! " Dit Diane en riant aussi, qui avait probablement loupé le début mais pas tout le film... Denis servit un Vermouth et deux cognacs, bien tassés. Chacun plongea son nez dans son verre, autant pour se donner une contenance que du courage. Dopé par le renfort de l'alcool, je me jetai à l'eau. Avec une ancre, il est vrai. J'attirai l'attention de Diane et lui posai la question que nous attendions tous :
- " Alors comme ça, tu es rentrée ? " Elle réfléchit à la pertinence de ma question. Pas longtemps...
- " Et ouaiiis ... Je crois que j'aurais dû t'appeler, chéri " dit-elle à l'adresse de son mari, " mais je ne regrette plus de ne l'avoir pas fait... " Elle termina la phrase les yeux fermés et en secouant la tête de gauche à droite, arborant un sourire béat. Je continuai :
- " Heu... Ca faisait longtemps que tu étais là ? "
- " Je vous ai vu quand tu t'es couché sur le canapé... Ou tu que venais de te déshabiller, je ne sais plus. Enfin, je suis rentrée pour consulter des bouquins sur la déco du dix-huitième ... "
- " Arrondissement ? " La coupai-je avec un grand sourire. Elle me rendit mon sourire et continua :
- " ... Siècle pour l'ameublement d'une ancienne maison de maître qui me cause des soucis. Bref, je pensais passer en coup de vent, je ne comptais même pas voir Denis (elle lui prit la main.) Je me suis garée dans la rue, ce doit être pourquoi vous ne m'avez pas entendue, la voiture de Denis me bouchait le portail. J'allais rentrer en trombe à cause de l'orage quand je vous ai vu par la fenêtre. Ca m'a fait comme un flash, je suis restée figée sous la pluie pendant plusieurs secondes. J'avais très envie de pisser, mais je ne voulais pas vous déranger. Enfin, pas comme ça. J'ai fait sous le gros chêne devant la fenêtre. Quand je me suis relevé pour m'essuyer, j'ai vu Carole détaler, au portail. Je ne sais pas si elle m'a vue... Si je l'avais vue plus tôt, je l'aurais invitée ! Non, je rigole... Je n'avais vraiment pas la tête à ça. A ce moment... " La nouvelle m'alarma : Carole n'est pas trop pour le libertinage, j'espérais qu'elle n'aura rien vu de compromettant, à part le bon abricot rose de Diane... Elle poursuivait :
- " .... Libérée de mon envie pressante, je me suis demandé comment je devais réagir : j'avais déjà surpris Denis en … conversation avec une fille, Il y a deux mois à peu près, et ça c'était très mal passé. Pour nous trois. " Denis opina :
- " Ouais, on peut dire qu'il y a eu de la capillotraction ... " Je mis quelques secondes à décoder le terme. Me voyant en intense réflexion, Denis explicita :
- " Du crêpage de chignon, quoi. " Diane reprit :
- " Je ne savais toujours pas comment réagir. Denis me trompait encore une fois, d'accord, - Il baissa la tête - " mais avec un garçon. Du coup, comme je ne savais pas sur quel pied danser, j'ai attendu patiemment que l'un de vous me remarque. Ca a pris du temps, vous sembliez très absorbés. " Moi, toujours à l'affût d'un bon mot :
- " C'est surtout le sexe de Denis qui était bien absorbé ! " Nous nous sommes tous mis à rire. Diane poursuivit :
- " Dès que vous m'avez vue, tout a changé : vous étiez si minables tous les deux que j'ai eu envie de vous donner une leçon. Mais plus vous étiez dociles, plus une autre moi-même prenait les commandes. J'ai fait des choses... Je n'aurai s jamais cru en être capable. Je... " Elle baissait les yeux, s'adressant à moi :
- " Je suis désolé... je t'ai fait mal... "
- " Ne t'inquiètes pas, j'ai beaucoup aimé. " Je lui caressai rapidement le genou.
- " Mais quand même... Je ne suis pas belle, toute grosse... " Elle se palpait le ventre. Je la consolai :
- " Mais moi je te trouve très désirable, surtout avec ton minou épilé ! Pardon Denis, je sais que vous êtes mariés, mais ça fait longtemps que je désire Diane. Moi, par contre, je n'ai jamais vraiment eu de succès avec les femmes, sûrement à cause de mes kilos et de ma petite queue. D'ailleurs, Jusqu'a maintenant, elle ne va qu'à Carole. " Elle fit une moue dubitative :
- " Je te trouve très mignon, et j'aime aussi tes rondeurs. J'ai beaucoup aimé quand Denis t'a peloté sauvagement les seins... Je suis contente que mon sexe épilé te plaise : je l'ai fait parce qu'une amie marocaine m'a dit que ça avait transformé son couple, qu'elle avait beaucoup plus de plaisir en faisant l'amour. C'est vrai, mais ça ne nous a pas suffi. J'étais un peu réticente, mais elle m'a convaincue d'essayer. Maintenant, je n'y trouve que des avantages. Je me sens vraiment nue, et ça apporte des sensations nouvelles. Mais ta queue, je n'ai pas pu encore l'essayer... Et toi, chéri ? " Denis était un peu embarrassé. D'une aventure d'un soir, je m'étais transformé en rival :
- " Je ne sais pas si j'aimerais ça. J'aime pas faire la femme. " Il baissait les yeux, il avait sans doute eu peur de m'avoir vexé. Diane ne l'entendait pas comme ça et prit ma défense :
- " Chéri, ce n'est pas gentil pour Luc. De toute façon, tu vas y passer. Je ne te laisserai pas le choix ! D'accord ? " Il continua, en éludant la question. Il comptait sûrement reporter cet ultimatum aux calendes grecques. Sans jeux de mots :
- " En tout cas, vous m'avez donné beaucoup de plaisir tous les deux. " S'adressant à moi :
- " C'est la première fois que je désirais un garçon. C'est aussi la première fois que je... enfin... passais par là. Déjà, Diane n'aime pas ça. " J'eus du mal à le croire. Enfin, surtout en ce qui concerne ses deux " premières fois." Diane allait protester, mais il la devança:
- " Toi, chérie, tu m'as fortement impressionné ! Je me croyais dans l'Exorciste ! " Ah! Ces hommes... Aucun sens du compliment ! Diane était un peu froissée :
- " Merci pour la comparaison ! Est-ce que tu as entendu : ta mère suce des bites en enfer ? Non ? Alors ! " Elle se calma vite :
- " Je crois qu'on a tous eu notre part de plaisir ce soir. " J'avais encore quelques questions :
- " Dis-moi, Diane, quand as-tu vu Carole toute nue ? " Son visage s'illumina :
- " Ah oui ! le grain de beauté... C'était il y a deux mois: J'ai acheté une mini-robe blanche, très moulante. Oh, ce n'était pas pour moi, je sais bien que ça me va pas du tout. Je ferais plutôt Bibendum là-dedans... Non, c'était pour elle... Je l'ai invitée pour essayer des fringues qui ne me vont plus. Là, je lui ai fait essayer la robe. Je lui ai dit qu'on voyait ses sous-vêtements et qu'elle devait les enlever pour mieux se rendre compte de l'effet que ça faisait sur elle. Elle ne s'est pas fait prier. Elle s'est mise nue devant moi et m'a bien laissée profiter de son anatomie. Je l'ai complimentée et m'a demandé mon avis sur chaque partie de son corps. Je ne sais pas si tu l'as vue dans cette robe mais elle est sublime. " Ca, elle ne me l'a pas raconté… J'avais une autre question, pour Denis :
- " Et toi Denis, qu'est ce qui s'est passé quand tu as invité Carole ? " Il n'était pas très à l'aise, surtout vis-à-vis de Diane. Apparemment, elle n'était pas au courant :
- " Heu… Pas grand-chose… J'ai voulu lui faire du gringue, mais ça n'a pas pris. J'ai vite arrêté, pour discuter de choses et d'autres, mais elle n'a pas voulu rester trop longtemps. J'ai eu plus de chance avec toi … "
Diane tournait son verre entre ses mains. Elle le fixait comme pour mieux lire dans sa propre âme ; l'alcool est un formidable psychothérapeute. A dose raisonnable, bien sûr. Elle se jeta à l'eau. Les premiers mots étaient lâchés :
- " Il faut que je vous raconte... J'étais gosse, neuf ou dix ans... Mes parents habitaient Lyon. Ils travaillaient beaucoup mais n'étaient pas très riches... Je passais les vacances chez le petit frère de ma mère, dans la Drôme. Ils avaient une grande maison, des terres et des bêtes. Je me rappelle que mon oncle me mettait sur un poney pour me promener. " Elle rit :
- " J'ai toujours cru qu'il s' appelait " boulette ", jusqu'à ce que je trouve une vieille photo de nous trois : La légende disait " Diane chevauchant Bullet ! " Comme nous restions de marbre, elle s'agita :
- " Mais oui ! Bullet ! Bé-u-deux-ailes-heu-té ! Balle, en Anglais ! " Nos visages s'illuminèrent et une biphonie corse lui répondit :
- " Ahhhh ! "
Diane reprit son récit, avec l'air de devoir se remémorer un pan obscur de son enfance :
- " Donc, j'étais très heureuse, tous les deux - mon oncle et ma tante - m'adoraient, j'étais comme leur fille. Je crois que ma tante a failli en avoir une, mais ça s'est mal passé. Elle est morte et ma Tante - Gisèle - ne pouvait plus avoir d'autre enfant. Bref, je m'amusais comme une folle, avec tout ce terrain, ces bâtiments à explorer, tous ces animaux, plus les enfants du village. Je passais vraiment des super vacances. Il n'y a qu'un endroit où je n'avais pas le droit d'aller, c'est un grand bâtiment en pierre à côté de l'écurie, qu'ils appelaient la réserve. Ma tante Gisèle m'a dit qu'Oncle Serge y rangeait des outils très dangereux et ils ne voulaient absolument pas que j'y entre. C'est le genre de chose qu'il ne faut pas dire à une petite exploratrice ! J'ai empilé des caisses pour voir à l'intérieur. Tout le tour il y avait une rangée de petites fenêtres, d'une trentaine de centimètres à peu près, et très hautes pour moi. D'après mon souvenir - j'y suis retourné il y a une dizaine d'année, pour une fête de famille - elles devaient être à plus de deux mètres. J'ai absolument rien vu : il faisait noir, je ne voyais que la rangée de fenêtre en face. Les vitres étaient pleines de poussière et de toiles d'araignées. J'ai bien tenté de les nettoyer, mais c'était pareil à l'intérieur. J'ai essayé de plusieurs moyens, mais j'ai vite renoncé.
Un soir de juillet, je sentais qu'il se passait quelque chose : Mon oncle et ma tante n'ont pas arrêté de rentrer et sortir de la réserve, de charrier des caisses de bouteilles, de la vaisselle, des cartons... Ils m'ont fait manger seule et assez tôt pour m'envoyer coucher. Ils n'ont pas fait ça pour se débarrasser de moi - J'ai bien vu qu'ils étaient pleins de remords - mais surtout pour que je ne voie pas ce je ne devais pas voir. Ils m'ont dit qu'ils organisaient une fête, et que leurs amis étaient un peu bizarres, que c'était pas de mon age. Bien sûr, j'ai protesté, que je serais sage, mais ils sont restés inflexibles. Je me suis donc couchée. Enfin, pas longtemps. J'espionnais comme je pouvais par ma fenêtre l'arrivée des invités, j'avais compté deux couples, deux hommes et trois femmes seules, si je me souviens bien. Mais ce n'est plus très clair... De ma fenêtre, je voyais juste un coin de la réserve, enfin plutôt la lumière qui en sortait. J'étais jeune, mais ça me parut étrange - à la réflexion - qu'une soirée soit organisée dans une réserve poussiéreuse alors que mes parents avaient des grandes pièces qui auraient pu faire l'affaire. Je me doutais bien qu'il y avait quelque chose de pas clair. Au moins une heure s'est écoulée avant que je décide d'y aller voir. Je suis descendue silencieusement, en chemise de nuit et à pieds nus - il faisait chaud, c'était l'été - et j'ai escaladé avec précaution - je ne voyais pas grand-chose - la pile de caisse qui était toujours en place sur le long du bâtiment, côté maison. Je voyais assez bien, malgré la saleté des vitres, et là, ce que j'ai vu m'a complètement halluciné : ce n'était pas des outils mais des engins de torture médiévaux, ou en tout cas des choses dans ce genre. Une belle table était mise au milieu de la pièce, et certains convives mangeaient, riaient, enfin ça tenait de l'orgie. Ils avaient des tenues extravagantes, les femmes vêtues de lingerie fine ou en cuir, les hommes soit nus, soit habillés en milord. Tout autour, il y avait des piloris, des anneaux, des barres avec des chaînes, des chevalets, des fouets... Enfin, tout ce qu'il faut pour bien s'amuser entre adultes. J'ai aperçu enfin mon oncle : il était nu, attaché sur un chevalet, les yeux bandés. Une grosse femme en guêpière et bas rouge lui fouettait le visage avec une cravache, en lui donnant à manger un morceau de viande. Elle se frottait l'entrejambe sur une de ses cuisses, et elle riait car mon oncle ouvrait la bouche pour manger, et tout ce qu'il ... " Diane s'arrêta pour pleurer, et nous la laissions reprendre tranquillement le cours de son récit. Les yeux et la voix plein de larmes, Elle reprit :
- " … Il avait du sang qui coulait au coin de sa bouche... J'ai cru le revoir, tout à l'heure, quand je t'ai... J'ai cru que j'allais fondre en larmes. " Je lui dis doucement :
- " Oui, je m'en suis rendu compte... j'ai bien vu que quelque chose n'allait pas. Je croyais que tu avais peut-être des remords... " Elle me rassura avec aplomb:
- " Non, je n'ai aucun remords de t'avoir violé et humilié comme je l'ai fait. J'en éprouve d'ailleurs une grande fierté. Si ma tante m'avait vue... Enfin, je reprends: à ce moment, je sens une main sur ma cuisse. Je sursaute et manque de tomber: C'était ma tante, elle avait un pichet à la main et allait sûrement à la cuisine. J'avais entendu le bruit qu'ils faisaient devenir plus fort un moment, et c'est seulement là que j'ai compris que c'était la porte qui s'était ouverte. Ma tante m'a fait descendre sans un mot, elle avait l'air très gênée. Elle aussi était en guêpière et bas, noirs, avec une robe de chambre en satin, qu'elle avait mise -je pense- pour sortir. Elle était superbe, je lui ai dit le lendemain, ça lui avait fait plaisir et remonté le moral. Elle me tenait par la main, elle ne savait pas quoi dire. Mais moi je savais quoi faire. Je bondis sur la porte mal fermée et en deux secondes j'avais traversé la pièce, sans m'occuper des choses ni des gens. Je voulais libérer mon cher tonton serge. Comme je criai son nom, il cria lui aussi, mais pour que je m'en aille, que tout allait bien. Ca m'a arrêté net, et ma tante m'a arraché prestement à ce monde de turpitudes. Elle m'a entraîné dans la cuisine et m'a dit: " D'abord, sache que nous ne faisons rien de mal. " Bien sûr je protestai mais elle décida de -presque- tout me raconter. " Je sais, ça peut faire peur à une petite fille, mais chacun de nous est consentant, personne n'est forcé à faire ou subir des choses qu'il ne veut pas. " Je lui dis que je voulais sauver mon oncle, mais elle continua: " Tu vas certainement pas le croire, mais ton oncle est d'accord pour subir ce qu'il subit. Et s'il veut s'en aller, il n'a qu'un mot à dire pour qu'on le laisse partir. " Moi, je nageais en plein cauchemar, même ma chère tante était devenue folle. J'allais lui dire ce que je pensais de leur cirque quand mon oncle apparut. Il ne saignait plus et avait revêtu sa robe de chambre que je connaissais. Il avait aussi l'air très gêné. Il m'a dit: " Ca va, petite curieuse ? Tu as compris, maintenant, pourquoi tu devais rester sagement dans ta chambre ? " Je lui demandai s'il avait mal, ce qui l'a fait rire : " Mais c'est un jeu ! Un jeu de grands que les petits enfants ne peuvent pas comprendre ! C'est comme quand tu joues au docteur avec tes petits camarades ! Un jour tu comprendras. Ce jour là, promet-nous de nous le dire, ça nous fera très plaisir... En attendant, n'en parle surtout à personne, ni à tes amis ni à tes parents. D'accord ? " Nous avions repris nos occupations habituelles, et plus jamais je me suis mêlée de leurs affaires. Mais je crois que je vais les appeler demain. Je tiens toujours mes promesses. " Elle s'adressa à moi :
- " Luc, tu peux faire ce que tu veux maintenant, rejoindre ta petite femme... " Mais l'alcool me montait décidément à la tête et me donnait des ailes :
- " C'est trop tard pour que je reprenne ma liberté: Denis et toi m'avez marqué au fer rouge, je suis à vous. Appelez moi et je vous obéirai. Je suis même entièrement à vous. D'ailleurs, Diane, tu me ferais un grand honneur si tu tenais à ce que je sois présent lorsque tu appelleras tes parents. " Elle parut enchantée et reprit sa voix autoritaire :
- " Mais c'est très bien ! Tu me fais là un grand plaisir ! Viens t'asseoir à mes pieds que je te donne tes ordres ! " Je m'installai à genoux à ses pieds et entreprit de les masser. Elle se cala au fond du canapé pour s'abandonner plus facilement, elle appréciait vraiment mes caresses. Elle avait dû avoir une dure journée :
- " Mmm... Ecoute bien, petite souillon : d'abord, je veux ta femme. Ca prendra le temps qu'il faudra, mais je l'aurai. Demain, tu reviendras travailler un peu avec Denis. Tu le sais peut-être, mais nous avons un système de vidéo surveillance couleur dans toute la maison, sous plusieurs angles. Cerise sur le gâteau, il y a le son. Comme je sais que tu t'y connais en micro et vidéo, tu arriveras sûrement à nous faire un petit film bien mouillant. " Cette nouvelle m'inquiétait un peu, j'avais peur qu'ils s'en serve comme moyen de pression. Elle dût lire l'angoisse dans mon regard:
- " N'aie crainte, nous ne sommes pas des bandits. Tout ce que tu feras, tu le feras de ton plein gré. Bien sûr, je vais te motiver par quelques sévices pour renforcer ta servilité. Demain, je prendrais tes mesures et je te ferais essayer des vêtements de fille. Et tu viendras avec un plug. " Je la fis répéter:
- " Un quoi, maîtresse ? "
- " Un plug, tu ne sais pas ce que c'est, idiote ? Même moi, qui suis bien moins salope que toi connaît ça : C'est un genre de gode que tu te mets dans le cul pour te le dilater, comme ça tu es toujours prête. "
- " Mais je n'en ai pas... " Elle dégagea un de ses pieds pour me donner une ruade dans la poitrine :
- " Débrouille-toi ! Je ne vais pas faire ton travail ! Ou plutôt si ... Je m'en occuperai personnellement, avec le reste de tes tenues. J'en choisirai un très gros pour te punir de ta nullité. Une dernière chose: Tu garderas ton tampon jusqu'à demain matin. Tu raconteras alors tout à Carole, en lui disant bien que c'est moi qui t'ai dit de le faire. Si elle découvre ton tampon avant, tu lui raconteras tout à ce moment, de la même manière. J'enlèverai le mien en même temps, demain matin. Maintenant, retourne t'asseoir. " Et elle m'adressa un grand sourire. Nous continuâmes à discuter quelques minutes, puis je pris congé d'eux pour rejoindre ma douce et tendre qui devait être rentrée de son expédition à présent. C'est alors que je pris conscience du fait que j'avais complètement occulté les réactions possibles de mon épouse. Comment allait-elle réagir ? Je pris le parti de rester naturel, et de tout lui révéler le moment venu, advienne que pourra.


A suivre dans " La carotte Nantaise 2: Nos amies les bêtes. "

 

ŠLE CERCLE BDSM 2007