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Histoires Des Invitées

Florence

Par Florence

 

Je m'appelle Florence. J'ai 44 ans et je suis propriétaire de plusieurs salons de coiffure situés dans des lieux côtés. Mariée, je vis dans une aisance financière et je ne rate jamais une occasion de le faire savoir. On me dit assez hautaine et méprisante, notamment vis-à-vis du " petit peuple ", mes employées, de préférence en CDD, mes apprentis, enfin toutes les personnes qui sont en position de faiblesse vis-à-vis de leur employeur. Je n'hésite pas à les rabaisser voire les humilier de préférence devant les clientes de la boutique, par exemple en les faisant balayer plusieurs fois au même endroit, en les envoyant me chercher un café au bar d'en face et les reprendre systématiquement car le service n'est jamais assez rapide et impeccable, enfin en leur rappelant qu'elles n'arriveront jamais à réussir dans la vie comme j'ai pu le faire.

Mais, depuis peu, la situation s'est nettement inversée. J'ai en effet licencié une jeune fille en CDD, Malika, 25 ans que je ne trouvais pas assez à a hauteur et assez insolente. Et c'est vrai que de licencier cette fille issue des quartiers m'a fait particulièrement plaisir ; quand j'ai vu sa tête quand je lui ai annoncé que ce n'était pas la peine de revenir le lendemain et que son contrat était terminé ! Elle s'est dit qu'elle avait laissé passer sa chance et de la voir ainsi sans ressources et démunie m'a, j'ose le dire, excitée.

Mais dès la semaine suivante, Malika est passée à la boutique en fin de journée alors que j'étais seule à faire ma caisse. Elle m'attendait à la sortie. Ben que fais-tu là ma pauvre, tu n'as pas retrouvée du travail ? Je suis vraiment désolée pour toi lui ai-je dis d'un air faussement désolée. En effet, la veille un confrère m'a appelé pour savoir ce qu'elle valait et je ne me suis pas gênée pour l'enfoncer !

Mais son regard avait changé : c'était une Malika sûre d'elle qui m'a apostrophée :

    - Toi tu vas payer, et cher ! A partir de maintenant tu ne dormiras plus tranquillement ! J'ai ton adresse et ça va être l'heure du règlement de comptes.

Puis elle est partie sans dire un mot. J'étais un peu abasourdie, choquée par son tutoiement sans retenue, entre la stupeur de la voir transfigurée et ses paroles qui m'ont fait froid dans le dos. Sur le coup je me suis dit qu'elle bluffait et le soir même je n'ai rien dit à Julien, mon mari. Mais ma nuit n'a pas été très sereine, comme elle me l'avait annoncée. Je me suis réveillée à 4h du matin en rêvant que j'étais cambriolée et surprise dans mon lit avec mon mari par des jeunes encagoulés !

Le lendemain et les jours suivants, j'ai repensé à cette visite surprise mais le souvenir s'estompait petit à petit. Le réveil fut brutal 10 jours plus tard.

Ce matin, un lundi, j'étais à la maison, seule, ne travaillant pas ce jour-là. J'habite une villa cossue dans un quartier chic de la ville, décorée par une architecte d'intérieur dans un style moderne et clinquant. Une piscine agrémente le jardin et donne une ambiance à la fois feutrée et bourgeoise à cet habitat.

Vers 9h30, peu de temps après que Julien soit parti travailler pour la journée, j'entends la sonnette retentir. N'attendant personne en particulier de la matinée, je sors dehors pour m'approcher du portail occultant m'empêchant de voir dans la rue. Je porte alors une jupe droite noire, un chemisier blanc, des escarpins noirs vernis, des dim up en soie, un tanga-string et soutien-gorge noir dentelles, une veste cintrée en velours noir. J'ai des bijoux de valeur : un collier, une montre bracelet en or et des perles de grande valeur, une bague de fiançailles. Je suis coiffée cheveux tirés en arrière et maquillée avec du rouge à lèvres rouge rubis teint mat.

    - Oui qui est là ?

Malika me répond une voix pleine d'assurance : c'est Malika !

Oh mon sang ne fait qu'un tour et mon estomac se noue ! Mais arrête de me harceler dis-je d'une voix que j'aurais aimé plus assurée…

    - Ouvre-moi Florence, insiste de manière autoritaire Malika.
    - Non, non pars ou j'appelle la police !
    - Pas la police ou ta famille va souffrir, dit Malika !

Je suis tétanisée et là-dessus j'entends des mains tambouriner sur mon portail métallique faisant un bruit d'enfer dans ce quartier habituellement si tranquille ! Après quelques secondes qui me paraissent durer une éternité, les frappes s'arrêtent et Malika dit :

    - Ouvre de suite ou on va devenir méchant !

Et les coups reprennent sur le portail. Je dis :

    - Non non je vais vous ouvrir, dis-je terrorisée à l'idée de provoquer un scandale dans le quartier et de la menace sur ma chère famille !

Mais sitôt le portail entrouvert un coup de pied l'enfonce et je reçois le portail dans la figure qui me fait trébucher et tomber au sol !

Avant d'avoir repris mes esprits, j'entends le portail se refermer en claquant, je devine trois individus qui rentrent et je me sens agrippée par les cheveux d'une main ferme par Malika qui me dit :

    - T'en as mis du temps pour ouvrir, tu nous a fait attendre, ça a le don de m'exaspérer !

Je lui réponds en pleurnichant :

    - Aïe tu me fais mal pitié lâche moi !

J'entends des rires sardoniques et Malika continue en parlant aux deux hommes rentrés avec elle, des jeunes comme elle, du type " banlieue " avec un accoutrement à peine propre et que je sens tout avides de " se payer une bourge ! " :

    - Vous avez entendu les gars ? Elle n'a pas compris que la situation a changé et qu'elle n'a plus rien à commander ici !

Et pour toute réponse je reçois un aller-retour appliqué violemment sur mes joues ! Les coups sont terribles, je suis sonnée et je crains d'être littéralement tabassée et des images de terreur me viennent, images et témoignages de ce qui se passe en banlieue, un milieu si éloigné de mon monde protégé qui me pète d'un coup à la figure !

Les cheveux toujours agrippés, me tenant avec les mains mes joues qui me chauffent, je me sens tirée à l'intérieur de ma villa obligée de marcher à moitié penchée en avant en canard, je dois être ridicule et je sens que mes agresseurs n'en n'ont que faire…

A peine la porte d'entrée franchie je suis jetée sur le carrelage de mon salon comme une bête ramenée comme trophée d'une partie de chasse :

    - Non, non pitié je vais vous dédommager Malika si je vous ai fait du mal !

C'est un comble, me voilà en train de la vouvoyer alors qu'elle me tutoie sans aucune gêne, la situation a en effet bien changé. Ils me regardent tous les trois d'un air sadique !

- Oh que oui tu vas nous dédommager ! Mais comment penses-tu t'y prendre ?
- Je vais vous donner de l'argent, dis-je affolée attrapant mon sac à main et sortant les quelques billets à l'intérieur et les tendant à Malika : voilà, voilà, c'est tout ce que j'ai !

Malika attrape les billets et me dit en ricanant :

    - Ah oui c'est tout ce que tu as ?

Et elle s'approche de ma cheminée sur laquelle trônent quelques objets de valeur : un vase, une pendule, etc. Et d'un geste négligent elle fait tomber au sol le vase qui éclate en mille morceaux ! Je crois rêver ! Ce vase qui coûte une fortune ! J'éclate en sanglots et me tiens le visage à pleine mains avec l'impression de vivre un enfer !

Mais Malika est impassible et continue :

    - Ton fric ! Oui il m'intéresse ! Et je vais te plumer, mais ces quelques billets serviront à peine à couvrir nos frais de déplacement de ce matin !

Et d'un autre geste bien ajusté elle attrape ma montre bracelet et l'arrache d'un coup :

    - Et ça c'est pour rembourser nos frais de repas dit-elle en riant !

Je suis catastrophée, Je tiens mon poignet meurtri. C'était une montre offerte par mon mari à l'occasion de notre anniversaire de rencontre !

    - Mais tu vas payer aussi de ta chair ! Tu vas souffrir autant que tu m'as fait souffrir !

Je suis terrorisée ! Je suis coincée chez moi aux mains de cette folle et de ses deux acolytes qui me regardent avec avidité ! Malika me sort de ma torpeur en disant très froidement :

    - Va nous faire du café !

Affolée mais appliquée à être docile pour éviter son courroux je me précipite à la cuisine et reviens quelques minutes plus tard au salon avec la cafetière pleine et trois tasses sur un plateau. Je tremblote à moitié en revenant inquiète à l'idée de ne pas bien faire les choses. Les deux hommes sont vautrés dans les fauteuils du salon et dénotent dans cet environnement chic qui est mon quotidien. Ils ont mis leurs baskets sur la table basse en acajou ; j'ai à peine le temps de penser aux marques que ça peut laisser sur la table que Malika qui est restée debout me dit :

    - Vas servir Luca et Djamel ! Et sans plier les genoux !

Honteuse de cette consigne, je sens bien que celle-ci a pour but de les exciter de me voir en fâcheuse posture. Je m'exécute et leur sert le café sur la table basse bien obligée de me pencher en avant dévoilant mes cuisses blanches ! Je n'ose imaginer qu'ils devinent le simple string que je porte dessous ! Je les entends simplement dire :

    - belle portion de viande ! Ca donne envie hein Luca dit Djamel qui lui répond :
    - Oui de la bonne viande de boucherie !

Ces paroles d'une vulgarité sans nom me font trembloter de peur ce qui fait que je renverse du café dans les soucoupes avant de servir des deux hommes.

    - Stop dit Malika tu es vraiment une piètre serveuse ! T'as d'ailleurs jamais su quoi faire à part commander dans ta vie mais ça c'est ta vie d'avant !

Et elle demande à Luca d'aller chercher une chaise en métal qui est sur la terrasse qu'elle installe devant les fauteuils :

    - Assis toi là, je vais te montrer comment on sert le café !

Je m'assois sur la chaise, les mains sur mes cuisses à plat à moitié découvertes.

    - Tes mains dans ton dos ! crie Malika. Et ne t'avise pas de les bouger !

Je m'exécute immédiatement. Malika remplit une des tasses et l'approche de mon visage et doucement commence à la renverser en me regardant d'un air sadique. Je vois avec effroi la tasse se renverser sur mes cuisses nues sans pouvoir rien faire tétanisée les mains gardés dans mon dos et d'un coup je sens le café brûlant qui tombe sur ma peau nue. Je pousse un hurlement et je trépigne des cuisses pour atténuer la douleur ! Malika redresse la tasse en me regardant narquoisement :

    - Tu veux pas rameuter les voisins quand même.

Puis elle renverse de nouveau du café qui inonde mes cuisses et éclabousse ma jupe.

    - Aïe ! Aïe ! pitié !

J'ai les larmes qui coulent de mes joues ; j'ai le visage rouge de douleur je serre les dents, je dois être horrible !

    - Eh les gars dit Malika filmez cette grue en train de souffrir, je me repasserai le film ce soir en me masturbant !

J'en peux plus, les cuisses en feu, la caméra qui tourne devant moi et Malika très fière qui avance la tasse à moitié vide et avec un grand sourire la déverse d'un coup dans mon décolleté à moitié ouvert.

    - Aïeeeeeeeeeeeeeeee !

C'est horrible ! Je sens le liquide brûlant dégouliner entre mes seins ébouillanter mon ventre. Je n'en peux plus Je baisse la tête Je gémis de douleur me contractant au maximum pour ne pas hurler. Tout mon corps est tendu à l'extrême prenant en moi cette souffrance terrible…

Malika laisse passer quelques secondes pour me voir souffrir puis me redressant la tête par les cheveux pour que la caméra saisisse toute ma souffrance, elle me chuchote à l'oreille :

    - Ce n'est que le début ma chérie, tu n'as pas finis de souffrir et de regretter ce que tu m'as fait !

Elle se redresse et dit :

    - Alors voilà, en l'honneur de notre première rencontre, tu vas subir trois épreuves ! Tu as un objectif pour chaque épreuve : si tu n'atteins pas l'objectif, tu as un gage pour être sûre que tu sois bien motivée pour réussir l'épreuve !

Je l'entends comme si c'était un autre monde, complètement déconnectée, encore sous le coup de la souffrance provoquée par la brûlure du café sur ma peau. Je fais des signes d'approbation de la tête comme si je jouais à un jeu sans conséquence pour moi alors que je sais pertinemment que je risque ma dignité, mon honneur, ma famille, mon métier, ma position sociale, ma vie quoi !

    - Première épreuve : on va chauffer tes fesses de bourgeoise ! Mets-toi à poil !

Je suis tétanisée ! là ? Chez moi ? C'est mon ancienne employée, en CDD qui plus est, qui me donne des ordres d'une humiliation totale devant des jeunes hommes qui n'attendent que ça !?

J'ai un semblant de rébellion !

    - Non, vous n'avez pas le droit, c'est odieux !

Mais ma révolte est étouffée dans l'œuf par un nouvel aller-retour infligé par Luca et sa poigne autrement plus forte que celle de Malika. Je manque de m'écrouler et de tomber de ma chaise et j'entends Malika qui me dit :

    - Ne t'avise pas de jouer à ça, sinon, on va déjà diffuser les photos de ta gueule tordue en train de couiner de douleur à toutes les adresses mails de ton ordi avec un mail d'accompagnement bien senti ! et ensuite, on s'occupera de ta famille proche dit-elle d'une voix doucereuse, ta famille très proche…

Et, sur ce, elle décroche un cadre de photo au mur, où je suis avec mon mari Julien, un portrait avec nos deux visages en gros plan, reflétant le bonheur de notre couple qui a tout réussi dans la vie ! Que tout cela me semble déjà loin ! Malika regarde la photo en souriant en disant :

    - Oh quel beau couple ! Mais c'est un couple qui va devenir fragile…

Et sur ces paroles, elle fait tomber le cadre au sol qui éclate en mille morceaux. Je suis terrorisée ! Puis elle se baisse et recueille la photo un peu froissée sous le choc, la prend et la déchire très lentement devant moi que je vois bien que la déchirure tombe juste entre nos deux visages :

    - Tu sais que c'est un projet que j'ai pour toi ça : ruiner tes salons de coiffure et ruiner ton couple mais on va y aller progressivement : alors, prête à passer notre première épreuve ?

Je la vois triomphante et je sais qu'elle est prête à tout ! Docilement et en pleurs je fais oui de la tête. Malika me crie alors dessus :

    - Alors à poil et dépêches-toi ! Sinon je connais deux mecs qui seraient ravis de le faire à ta place mais tu risques de retrouver tes habits en lambeaux !

Vaincue et honteuse, je me lève et ôte mon chemisier puis ma jupe dévoilant ma peau nue et bronzée. Je porte seulement un string en satin rose et un soutien-gorge assorti. Je lève le regard vers Malika qui a un grand sourire et dit :

- Tu fais moins la fière maintenant ? Qu'est-ce que ça va être quand tu auras la chatte à l'air !

Sa vulgarité me donne la chair de poule mais je comprends que je dois m'exécuter. J'ôte mes chaussures, mon soutien-gorge puis mon string en n'osant croiser le regard des deux hommes qui me matent sans aucune gêne mais au contraire avec une avidité non contenue. Me voilà nue intégralement devant eux trois les bras le long du corps, mon intimité à l'air avec encore les marques du maillot de l'été !

Malika dit :

    - Comment vous la trouver les gars ?

Luca lâche :

    - Je me la ferais bien la bourgeoise répond-il en se massant l'entrejambes !

Malika me dit :

    - Ecarte tes cuisses et tes lèvres devant Luca !

Honteuse mais obéissante, je m'exécute écartant mes cuisses et mes lèvres pour dévoiler mon intérieur intime tout rosé… Malika rajoute :

    - Ca ne tient qu'à toi de ne pas te faire défoncée par Luca en fin d'épreuves ce matin ah ah ah !

Elle me regarde du'n air méprisant. Je suis livide, je sens que tout m'échappe, que je risque d'être… baisée par ces deux types qui doivent rêver de ça !

Djamel ajoute :

    - Montre ton cul !

Honteuse je me tourne dévoilant mes fesses blanches encore fermes pour mon âge.

    - Hmmm, dire qu'on va le massacrer son cul dans pas longtemps lâche Malika ! Penche-toi en avant et écarte tes fesses pour bien montrer à Djamel !

Je suis rabaissée jusqu'au tréfonds de moi-même mais je n'ose rien dire et jambes tendues je me penche en avant et j'écarte mes fesses dévoilant mon petit orifice !

    - Hmmm dis Malika, tes vierge du cul ? Heu oui, heu non je…, je bredouille, Non non mais j'évite par-là ! en me disant qu'ils se feraient un plaisir de me déflorer par là.
    - Ah ah ah dit Malika en riant, tu n'as pas de chance, Djamel adore défoncer les anus de bourgeoise mature !

Elle rajoute à l'attention de Luca :

    - Filme et fais un plan rapproché de ses deux orifices ouverts.

Je suis toujours en position et j'entends la caméra qui filme sans pouvoir rien faire ! C'est l'humiliation totale de montrer sans retenue mon intimité secrète à des gens que je ne connaissais pas une heure plus tôt !

Malika reprend :

    - Allez première épreuve ! Assis toi sur ta chaise métallique !

Je m'assois les fesses nues sur le métal froid de la chaise ce qui me fait un peu sursauter. Malika dit d'un air narquois :

    - T'inquiète pas, ça va pas rester longtemps froid ce métal !

Elle repère des petits lumignons que j'ai sur ma cheminée, en prend 5 qu'elle me montre en riant :

    - Tu vois au début ça donne une douce sensation de tiédeur mais très vite la tiédeur se transforme en chaleur intense… puis en brûlure insupportable…

Je bredouille :

    - Mais, mais… c'est horrible !
    - Si c'est ça que t'appelle horrible tu connais rien à la vie, mais t'en fais pas je te ferai découvrir ce que c'est que l'horreur plus tard !

Ses paroles me glacent le sang. Je suis à sa merci, assise nue intégralement sur cette chaise métallique et sous la menace de son chantage... avec les deux hommes en rut excitée de me voir humiliée.

- Tu dois tenir 5' avec les 5 lumignons allumés sous la chaise : si tu craques avant tu as un gage ! tu es prête ?

J'ai pas le temps de réfléchir et je fais oui de la tête. Malika allume les cinq lumignons puis les glisse sous la chaise, exactement au centre. Je ferme les yeux pour me concentrer ! Mon objectif est de réussir à tout prix l'épreuve et d'éviter le gage. Très rapidement je sens la tiédeur des flammes sur mes fesses nues par l'intermédiaire du métal qui devient chaud ou directement par les espaces entre les plaques de métal, ma peau directement au contact de la chaleur des flammes. Au bout de 30 secondes, je commence déjà à ressentir une douleur, une souffrance et je commence à gigoter sur ma chaise pour répartir la douleur. Malika me reprend aussitôt

    - Si tu bouges trop, c'est comme au flipper, tu risques de faire " tilt " et de tout perdre !

Luca me filme toute entière dans toute mon intimité. Je n'ose le regarder et essaie de rester concentrée mais la douleur monte et monte, devient intense… Je commence à respirer fort et je n'en suis même pas à 1'. Je sens progressivement mes fesses qui me chauffent j'essaie de les contracter et les détendre pour amortir la douleur mais l'effet est quasi nul : la chaleur m'envahit progressivement mes cuisses, mes fesses, je serre les cuisses pour éviter la monter de la chaleur vers mon entrecuisses. Malika me voit essayer de lutter contre la douleur et me sourit sadiquement :

    - Ma pauvre, t'es pas à 2' et on dirait que tu souffres déjà le martyr ce sera quoi à 4' !

J'avais déjà eu les brûlures du café mais là la douleur est moins brutale mais plus progressive ce qui la rend plus terrible encore. Je souffle je grimace, mon visage devient rouge de douleur. Je sens maintenant la chaleur qui monte qui monte tout au long de mon corps. Je supplie Malika :

    - Pitié c'est trop dur !

Malika que je sens prendre plaisir à me voir la supplier me répond pleine de sang-froid :

    - Mais tu peux arrêter quand tu veux ! Ca ne tient qu'à toi !

Elle se touche entre ses cuisses devant moi en me disant :

    - Tu sais que ça nous excite de te voir en grande difficulté ! Plus tu souffres plus je suis excitée, tu sais que tu me fais même mouiller !

C'est horrible ! je vois sa montre où les aiguilles vont à une lenteur inimaginable pour avancer ! J'en suis à 3'25 j'ai les fesses en feu, le métal étend progressivement la chaleur sur toute la peau de mes fesses et de mes cuisses et la douleur est encore plus terrible entre les lames de métal ; je dois avoir la peau rouge ! J'ai peur d'avoir des brûlures irréversibles : mes fesses que je passe tant de temps à maintenir au mieux au fil des ans, j'ai peur qu'elles soient défigurées. Je n'en peux plus, c'est trop dur je me penche en avant et m'écroule par terre juste avant les 4'.

Malika me voit lovée au sol et me dit :

    - Ben dis donc, tu manques d'endurance et ça dès la première épreuve, tu vas prendre cher dit-elle en se frottant les mains de plaisir. Vous avez vu son cul rougi avec les marques du métal ? Comme de la viande cuite à point !

Les deux hommes approuvent en riant ! Je suis submergée : de douleur, de honte, je suis avilie, dégradée ! Je m'abandonne :

    - Je regrette Malika, tout ce que j'ai pu faire, je dis-je en me touchant les fesses meurtries encore brûlantes avec les mains et les larmes aux yeux !
    - Ah bon dit Malika ? mais c'est un peu tard ! Et déjà que tu as raté l'épreuve 1 j'éviterais de la ramener si j'étais toi !

Elle demande à Luca d'apporter le sac de sport qu'ils ont amené et me dit :

    - Mets-toi à 4 pattes devant moi ! Je m'exécute prenant une pose obscène, de soumission, mes seins pendants devant elle, nue comme un ver !

Elle sort tout d'abord un groin de cochon en plastique, un de ces objets qu'on trouve dans les magasins de farces et attrapes pour se mettre sur le nez mais là ce n'est pas une farce !

    - Mets ça sur ton nez !

C'est horrible je prends l'objet le regarde, je vais vraiment avoir l'air une truie ! Un tirage de cheveux en arrière suivi d'un crachat que je reçois en plein visage me ramène brutalement à ma triste réalité : je vais devoir mettre ce groin sur mon visage. Je m'exécute bien sûr sous l'œil de la caméra qui tourne. Voilà qui est fait ; je dois être d'un ridicule ! Pire que tout

Malika et les deux hommes rigolent fort en me voyant affublée ainsi et Malika sort une queue en tire-bouchon en plastique mais, horreur, celle-ci est reliée à un plug ! Je comprends tout de suite le message !

    - Oh non je peux pas porter ça !

Malika dit :

    - Tu voudrais pas que les voisins découvrent une photo de ta gueule de truie avec son groin dans leur boîte aux lettres hein ?

J'éclate en sanglots et bredouille.

    - Non, non pas ça !
    <- Ou bien que Luca et Djamel se chargent eux-mêmes de te l'enfourner dans ton cul et ce ne sont pas des poètes je te promets ! Alors tu vas faire ce pour quoi tu es faite et la prochaine fois tu feras l'épreuve jusqu'au bout me dit-elle en me tendant le plug : tu as 2' pour te l'enfiler dans ton trou du cul devant nous ! Eh, Luca ! Filme bien l'introduction ça va être drôle !/ul>

    Je me retrouve avec l'objet en main tétanisée. Je me mets accroupie n'osant pas offrir une vue de derrière ma croupe en l'air. La queue à l'extérieur je dispose le plug devant mon anus et essaie d'appuyer ; mais alors même qu'il n'est pas très épais je n'arrive pas à l'enfoncer. C'est trop dur et trop sec. Honteuse mais réaliste, je le reprends en main et crache sur le bout pour le lubrifier avec mes mains et réessaye en appuyant plus fort devant la caméra. Je le sens maintenant m'élargir et rentrer mais ça me force. Malika me presse :

      - Il te reste 30 secondes, chérie, tu traines !

    J'en peux plus, je dois me forcer et j'appuie et descend ma croupe sur le plug qui s'enfonce encore un peu puis un dernier coup de rein et il s'enfonce entièrement entre mes fesses en poussant un grognement animal sous la dilatation de mes intestins. Je me sens écartelée, coincée de l'intérieur, c'est horrible ! Mais le gage n'est pas fini !

    Malika sort une barquette en polystyrène de supermarché du rayon boucherie et lit l'étiquette

      - 150 grammes de gras de porc ! du pur gras tout blanc !

    Je mets un moment à comprendre mais rapidement Malika me donne la règle :

      - Je vais jeter à mes pieds ces 5 bouts de gras un par un, sitôt le premier tombé tu l'enfournes dans ta bouche et ensuite ce sera le 2ème et ainsi de suite. Il ne doit jamais y avoir 2 bouts de gras en même temps au sol et tu n'as pas le droit de te servir de tes doigts : t'es une truie maintenant et t'as déjà vu une truie prendre de la nourriture avec ses doigts qu'elle n'a pas ?

    Je lui réponds non sans réfléchir, comme une conne, c'est surréaliste, je suis tombée dans un autre monde, me voilà prête à être complètement avilie par ces trois personnes qui m'emmènent directement en enfer !

    Le 1er bout tombe à ses pieds, Je me précipite pour le prendre avec les dents et le mettre en bouche ! Beurk le gras est mou et flasque mais j'essaie de surmonter mon dégoût et mâche le bout de gras : C'est pas cuit, c'est horrible mais je me force docilement obéissante pour faire de mon mieux et j'ai bien eu raison car le 2ème bout tombe rapidement. Je dois finir d'engloutir le 1er et prendre le 2ème et faire la même opération, c'est un stress inimaginable ! Et le 3ème tombe, puis le 4ème. J'ai maintenant 2 bouts en bouche que je n'ai pas finis d'avaler et je dois attraper le 4ème ! Je suis obligée d'en avaler un tout rond et je le sens descendre dans mon estomac ; je me sens salie, souillée, grasse de l'intérieur mais je suis concentrée et j'attrape le 5ème quasiment au vol ! Me voilà avec trois bouts dans la bouche, j'ai la bouche pleine les joues gonflées ; je me relève et vois avec effroi la caméra qui me filme mon groin sur le nez et ma bouche et mes joues déformées !

      - Allez dit Malika tu avales tout ça sans rechigner comme une vraie truie.

    Je me surprends à me forcer, je sens les bouts de gras à peine mâchés que j'avale ; je veux m'en débarrasser sans délai mais en me précipitant je manque de vomir et de tout recracher ! Ouf voilà qui est tout englouti mais j'ai le goût affreux du gras pas cuit dans la bouche, sur mes lèvres, dans ma gorge…

    Malika me dit :

      - Bon, on fatigue. On va faire une pause et se servir quelque chose avant d'engager l'épreuve suivante.

    Je vois Djamel fouiller mon bar bien rangé, en sortir la bouteille de notre meilleur whisky et servir un verre pour chacun d'entre eux et s'assoir sur les fauteuils confortables de mon salon ! Quant à moi je dois rester à 4 pattes, nue sur la table basse du salon offerte à la vue de tous et de tous côtés toujours affublée des accessoires qui me signifient ma condition animale qui n'a plus rien à voir avec le genre humain !

     

    Florence 2

 

 

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